Néoclassique Dichotomie

économiques, qui sont d’essence réelle, de leur expression monétaire. Dès Boisguilbert, on souligne que la finalité de la richesse réside dans la satisfaction des besoins, ce que la monnaie et les métaux précieux ne sauraient réaliser. Avec cette dichotomie entre la sphère réelle et la sphère monétaire de l’économie, on retrouve les principes de l’analyse en termes réels qui va alors être étendue. Les physiocrates vont en effet estimer que, si la valeur monétaire des richesses n’est pas leur valeur

par le mécanisme des prix. La théorie néoclassique n’explique donc pas vraiment ce qui se passe l’intérieur de la firme. La coordination ce fait par l’employeur et non pas par le mécanisme de prix. L’entrepreneur dirige l’allocation des ressources et des individus dans l’entreprise • dans la réalité souvent, on observe des passage du marche vers la firme et inversement. La firme peut se substituer a la firme et inversement. Dans la théorie néoclassique il n’y a rien qui explique de manière

firme. Williamson est a peine mentionne. on ne le trouve que dans une note sur la spécificité des actifs comme facteur de détermination des arrangements contractuels et de l’intégration verticale. Conformément a son refus de s'enfermer dans une dichotomie marche/firme, Demsetz montre dans cette note que la spécificité des actifs seule ne permet pas de trancher la question du meilleur arrangement. Est-ce que t'actif spécifique en question est important ou pas dans le contrat global ? La réponse a

prix et quantité d’équilibre, donc le prix est le salaire et la quantité est le volume de l’emploi. Généralement, deux analyses théoriques s’opposent l’analyse libérale du marché du travail, qui émane de la théorie néoclassique, et l’analyse keynésienne. Pour les économistes néoclassiques : Le travail est un bien comme un autre qui est offert et demandé sur un marché. Cela signifie que le marché du travail fonctionne comme n’importe quel autre marché. Sur le marché, la rencontre de l’offre et de la

monnaie en circulation la courbe d’offre se déplace vers la droite et inversement. Section 2 : La demande de monnaie A. L’analyse classique et néoclassique 1. Les classiques Pour les classiques la monnaie est exogène, c’est-à-dire qu’elle trouve son origine en dehors de l’activité économique. De même ils postulent qu’il y a une dichotomie forte, autrement dit la monnaie n’a que des effets nominaux sur l’économie et non des effets réels, elle est un voile. Cette idée se retrouve dans

un état de production maximum dans l’économie, au-delà duquel on ne peut progresser donc à terme la croissance sera de zéro. • La dichotomie monétaire : la sphère financière n’est que la contrepartie de la sphère réelle. Au sein du courant classique on trouve, en autres, trois économistes dont les conclusions vont être largement reprises par le courant néoclassique. Adam Smith : la main invisible stipule que l’intérêt égoïste de chacun conduit à maximiser l’intérêt collectif. Cela pousse à conclure

mondialisation èPlan 1er semestre chap 1 : introduction : objet de l'économie chap 2 méthodologie économique 2.1 quelques illusions constructivistes : détour par la phénoménologie 2.2 critères d'analyse et grilles de lecture en économie (classique, néoclassique, marxiste, keynésienne) Chap 3 : notion de la comptabilité nationale 3.1 : le crircuit économique 3.2 : le crircuit des agrégats 3.3 utilité et les limites de la comptabilité nationale èQu’est-ce que la science économique ? Science qui

dépressive . → Loi du Corn Law = interdiction légale d'importer du blé en Angleterre → Plonge L'État dans une situation stationnaire . Abolition corn laws 1846 - Idée de Ricardo → poursuivie par courant Marxiste = théorie de l'impérialisme . Néoclassiques privilégient thème bienfaits spécialisation. - K.Marx - Le Capital - prolonge démonstration Ricardienne → M = permettent réduction salaires et X = permettent éviter situation crise du à une surproduction . - Rosa Luxembourg XXe ->[ Analyse

monnaie , on vend un produit n’en pas pour récupérer de la monnaie mais pour en acheter un autre produit ( les produits s’échangent contre de nouveaux produits ) la monnaie ne serai qu’un voile qui masque le caractère réel de l’économie on parle d’un dichotomie entre le secteur réel et le secteur monétaire par conséquent chaque producteur qui vend un produit utilise ses recettes pour acheter d’autre produits et crée ainsi une demande d’un montant équivalent conclusion : chaque offre crée sa propre demande

au sens large : politique de l’Etat + redistribution des revenus, revenus de transferts). La fiscalité a donc une grande importance sur la répartition. - Pour Keynes, la monnaie n’est pas neutre, elle est passive, il n’y a pas de séparation (dichotomie) entre la sphère monétaire et la sphère réelle. Il distingue trois motifs de préférence pour la liquidité (qu’est ce qui incite les agents économiques a détenir des liquidités ?) o Motif de transaction o Motif de précaution (se prémunir de