Néotaylorisme

problèmes rencontrés : la crise du fordisme Les nouvelles formes d’organisation du travail une atténuation de la division du travail ? Oui : si on parle de post-taylorisme Définition Différentes formes Non : si on analyse les NFOT en terme de néotaylorisme Les principes de l’OST demeurent, seules les modalités de leur application changent Arguments 2 • Ce que nous appelons "travail" est une invention de la modernité. Celui que nous "avons", "cherchons", "offrons" est une activité dans la

Flexibilité et emploi C/ Progrès technique et emploi Dans la même rubrique C/ Le fordisme, mode d’organisation du travail et mode de régulation économique D/ Les formes d’organisation post-tayloriennes du travail B/ Crise du taylorisme et néotaylorisme L’idée selon laquelle la division du travail (la spécialisation de l’ouvrier) peut engendrer des gains de productivité n’est pas neuve. Elle a été analysée et exposée de manière systématique pour la première fois par Adam Smith dans la Richesse

facteurs d’innovation et de croissance. Quels sont ces investissements ? 16- Définir : rendements d’échelle croissants. 17- Les principes du taylorisme ? 18- Les innovations de Ford par rapport au taylorisme ? 19- Différence entre néotaylorisme et postaylorisme ? 20- Le recrutement et l’évaluation des salariés dans les entreprises se basent de plus en plus sur une logique de qualifications ou sur une logique de compétences ? 21- Les causes du chômage selon la théorie néoclassique

apports du toyotisme, à travers le juste à temps ou les flux tendus, la qualité totale (le kaizen), l’automation, la sous-traitance massive, la pression par l’aval … qui ont fortement influencé ces NFOT , ont été par d’autres perçus , comme un néotaylorisme, renforçant et prolongeant la rationalisation au-delà de l’entreprise . Cette vision incite sur de nouvelles formes de pénibilité physiques et mentales et sur des contraintes bien plus fortes imposées par les clients et le groupe . II)

de Taylor sera appliquée de son vivant et se développera dans différents secteurs comme le textile, l’acier, l’automobile… L’OST a permis de réaliser des gains de productivité et a contribué au développement de la production de masse. 1.2. - Le néotaylorisme ou le taylorisme d’aujourd’hui Au milieu du xxe siècle, le taylorisme est critiqué car : – la division des tâches rend le travail monotone et sans intérêt ; – la répétition d’une même tâche provoque des maladies du travail (troubles musculaires

théorie de Taylor sera appliquée de son vivant et se développera dans différents secteurs comme le textile, l’acier, l’automobile… l’OST a permis de réaliser des gains de productivité et a contribué au développement de la production de masse. B- Le néotaylorisme ou le taylorisme d’aujourd’hui Au milieu du XXè siècle, le taylorisme est critiqué car : -la division des tâches rend le travail monotone et sans intérêt ; -la répétition d’une même tâche provoque des maladies du travail (troubles musculaires par

développement de la sphère du travail prescrit, subdivisé et déqualifié techniquement. Chez les cols bleus de l'industrie, bien sûr, mais aussi désormais chez les cols blancs et dans les activités de services. A propos du néotaylorisme AE n°141 oct. 1996 par Philippe Zarifian* En réaction au dossier " Les habits neufs du taylorisme ", paru dans Alter Eco n° 137, Philippe Zarifian analyse les changements intervenus dans l'organisation du travail et, notamment, le rôle

d’optimiser la productivité. Aux USA, par exemple, la productivité par tête a augmenté d’un point durant la période 1970-2001 (doc. 6). D’une façon générale, par le biais des NFOT comme le toyotisme, le zéro délai, le juste à temps ou encore le néotaylorisme, les salariés acquièrent de plus en plus de responsabilités dans leur travail. Ils sont alors contraints de travailler de façon plus soutenue afin de préserver leur emploi _ la demande baissant en période de ralentissement économique et seuls les

Qu'est-ce à dire ? D'abord prendre vraiment au sérieux le fait qu'il demeure des métiers aussi pénibles, voire plus pénibles ou différemment pénibles que ceux de la première moitié du XXe siècle. Il y a encore des formes de taylorisme ou de néotaylorisme. Le travail, de plus en plus, s'intensifie, produisant le stress et de nouvelles maladies professionnelles. Le nombre croissant de suicides de salariés nous rappelle que le travail peut toujours user et même tuer avant l'âge. Mais il existe en

telles que l'ergonomie) pour apporter un diagnostic qui permette de sortir du flou et des idées reçues qui alimentent une forme de fatalisme sur la condition des hommes au travail. Le premier aspect abordé est la désillusion provoquée par le néotaylorisme. Alors qu'il annonçait la fin d'un travail pénible et aliénant par des pratiques économiquement indispensables et humainement positives (plus intellectuelles, plus valorisantes), on voit surtout apparaître aujourd'hui la réalité de l'intensification