Néotaylorisme

dangereux pouvant amener des maladies professionnelles. L’amiante, considérée comme un produit « miracle » dans l’isolation des bâtiments, est responsable de nombreux décès d’anciens salariés de cette branche. De même la pression morale accrue par le néotaylorisme pour accroitre la productivité du travail est source de stress au travail générant des externalités négatives liés au mal être des salariés : sur consommation de tranquillisants, dépressions voir même suicides ( ex France Télécom ). 3 ° Le progrès

individualisation des rémunérations. Accent mis sur les compétences et moins sur une qualification définie collectivement par des conventions collectives. D’où affaiblissement des collectifs de travail et des solidarités sur le lieu de travail. Néotaylorisme plus que post-fordisme. Développement de la sous-traitance et tertiarisation. Les salariés travaillent dans de plus petites structures. Déserts syndicaux. 2.3. Les évolutions de l’emploi fragilisent notre modèle de protection sociale Doc.

A retenir : « Penser à l’envers » (Coriat), Le toyotisme de T. Ohno, les cercles de qualité d'Ishikawa, flux tiré (Kanban), et flux tendu (zéro stock, zéro panne, zéro délai, zéro défaut, zéro papier), cohésion sociale, culture d'entreprise), néotaylorisme. 5) LES MUTATIONS DE L'APPAREIL PRODUCTIF AU XXème SIECLE (a) Définitions A retenir : Appareil productif, tissu productif, système productif, mésoéconomie, économie industrielle, secteur, branche. (b) Petites et moyennes entreprises (PME)

semble abandonné par les E ind. Cert1 auteurs pensent cpdt que le taylorisme n’est pas mort, qu’il connaît 1 essor ds le secteur des S et ds les pays émergents et il réapparaît ds l’ind des pays dvlp ss des formes déguisées av des new habits : c le néotaylorisme en particulier la différenciation retardé, les flux tendus, la modularité, la norme ISO 9000 et la traçabilité Modularité : découper les pdts, les sces, des offres de crédit en ss ensembles indépendants qu’on pt fabriquer, acheter, contrôler

tâches et la façon de les réaliser ; • un salaire en fonction du rendement de l’ouvrier ; • un refus de la grève et d’une action syndicale dans l’entreprise mais le souhait de ne pas exploiter l’ouvrier et de lui assurer une juste rémunération. Le néotaylorisme caractérise le maintien global des principes de Taylor et de son organisation du travail dans la société actuelle. On peut citer le travail minuté des femmes de chambre dans les grandes chaînes d’hôtels ou celui des hôtesses de caisse dans les

division axiale du travail à échelle mondiale. A partir des années 1990 : 4ème système technique basé sur les NTIC. Changement de mode de production désormais basé sur le toyotisme (la production est calquée sur la demande, travail à flux tendus) + néotaylorisme dans le tertiaire de base (Mac Do). Attention les systèmes ne s’annihilent pas les uns les autres mais se complètent. 2°) entraînent une industrialisation du monde une industrialisation d’abord limitée Les espaces concernés furent

gestion de production répondant aux dysfonctionnements du taylorisme, tout en restant dans la continuité de ce dernier. Aujourd’hui, on peut constater que l’ombre de Taylor plane encore au dessus de l’organisation du travail avec le concept de NéoTaylorisme. 2.3 Le Néo-taylorisme : L’OST d’aujourd’hui 2.3.1. Définition et principes Le Néo-taylorisme définit la doctrine qui vise à adapter le taylorisme aux contextes économique, social et technique de la société industrielle actuelle. Deux principes

pénibles.  Le travailleur est dépendant de la machine car c'est elle qui donne le rythme du travail. SUP'RH 37 SUP'RH 38  III. Le post taylorisme: Deux phénomènes font qu’économistes et sociologues parlent aujourd’hui de néotaylorisme: - le premier est celui de la qualité ; elle est devenue, durant les années 80, un enjeu central pour tous les producteurs de biens, mais aussi de services, un critère de différenciation essentiel. Avec la qualité, ce n’est plus le chef d’entreprise

et le « Small is beautiful » A) Les limites : facteurs de déséquilibres économiques mais surtout sociaux Svt, grandes entreprises utilisent leur situation monopolistique pr ne pas baisser px, et ne pas plus I ou innover (cf Schumpeter). Néotaylorisme  conditions de travail difficiles Les grandes firmes ont tendance à fixer les règles de l’économie globale. Avec mondialisation, renforce concurrence des systèmes productifs  Dumping social, vont dans une logique de compression des coûts qui

lieu de travail à la fois compétitif et plaisant pour celui qui y travaille. Certains modèles, quant à eux, font parfois l'objet de critiques comme c'est le cas pour l’organisation allégée qui s’est vue décrite comme « Une forme sophistiquée de néotaylorisme déshumanisant » par Linhart, et ceci, bien que les enquêtes de satisfaction des travailleurs se soient révélées plutôt positives. Il apparaît cependant clairement qu’une délégation des tâches, à n’importe quel niveau et de n’importe quelle manière