Obscurité

« Spirituellement une année on ne peut plus noire et pauvre jusqu’à cette mémorable nuit de mars, au bout de la jetée, dans la rafale, je n’oublierai jamais, où tout m’est devenu clair. La vision, enfin. Beckett comprend alors que c’est cette « obscurité », ce magma des pensées et paroles intérieures, qui est la source de son inspiration créatrice. À Charles Juliet, il confie : « Jusque-là, j’avais cru que je pouvais faire confiance à la connaissance. Que je devais m’équiper sur le plan intellectuel

l’idée que le poète est bien à l’écart du monde « d’un rivage écarté », à son apogée. Démonstra° de sa créa° poétique av l’amour av les Muses, de la liberté, de l’inexplicable, du doute, du mystère av jeu de lumière entre clair et obscurité. Conclu : poème riche en symbole et qui montre l’importance de la source d’inspira° pour un poète  paradoxe pcq s’inspire de son manque d’inspira° pour élaborer son poème.

conditions de vie s'améliorent. Le dernier plan montre Marfa au volant d'une voiture, libre et heureuse. Des plans ont été étudiés avec les élèves pour analyser la construction simple mais efficace du film : jeu de mise en lumière ou mise en obscurité en fonction du parti-pris du personnage jeu de la caméra qui mixte plongée-contre-plongée pour montrer qui a le pouvoir et qui est soumis. | technique/matériel sonore (instr./voix) | style/courant/ mouvement | Message délivré

suivant quatrain, quelques-uns peuvent distinguer l’irritation que l'autour apparat pendant de l’infortune écrasante élévation-temps-mort. Chaque battement de cœur quelques-uns rapproche de la fin. L'air pessimiste de la solitude, de l'oubli et des obscurités qui se crée est aucun par la bizarrerie poétique et l'euphémisme. Il quelques-uns apparat une évasion du monde, à côté son imagination. L'enterrement du poète prend des accents de principalement en principalement positifs, parmi une catégorie de

tableau,  créant ainsi des  contrastes marqués (effet de ​ clair­obscur​ , héritage de l’école  hollandaise  et  du  peintre  italien  Le  Caravage) ;  cette  lumière  n’est  pas  de  nature  à  irradier  le  personnage,  à  le  sortir  de  son  obscurité ;  elle  est  là  au  contraire  pour  accentuer  l’ombre  dans  laquelle  est  plongé  le  sujet,  ainsi  que  pour  souligner  la  crispation  des  mains  dans  la  chevelure.  L’impression  dominante  est  celle  d’un  enfermement​ ;  comme  si 

qui s'entrebâille pour laisser passer les spectateurs. Sur les battants de cette porte, ainsi que dans plusieurs coins et au-dessus du buffet, des affiches rouges sur lesquelles on lit : La Clorise.Au lever du rideau, la salle est dans une demi-obscurité, vide encore. Les lustres sont baissés au milieu du parterre, attendant d'être allumés. »Informations sur le thèmeLes informations sur le thème sont données sur l’acte 1 scène 2. On parle de l’amour entre Christian De Neuviellette et Roxane qui est

se définissent par rapport à trois différences ou trois formes de ténèbres, soit, respectivement : l’abîme ; l’obscurité ; l’ombre et l’opacité. Lumière-séparation et abîme s’opposent dans une symbolique de la création. Lumière-orientation et obscurité structurent la symbolique de la connaissance. La lumière-transformation se heurte à une double dissemblance : s’opposant à l’opacité, elle est le symbole de la manifestation, se confrontant à l’ombre, elle devient le symbole de la purification

« dévorante tendresse » l.10 qui frappent les esprits par le rapprochement de deux notions antinomiques. – les images saisissantes métaphoriques ou allégoriques : « Dieu n'est pas tiède » l.8, « épieu rouge » l.35, métaphore filée de la lumière/obscurité l49/52 – un ton didactique sensible dans les connecteurs logiques (« mais » l.8 et 48, « voilà pourquoi » l.12), le présent de vérité générale (par exemple l.45 : « il ne faut pas être plus pressé que Dieu »), la simplicité du vocabulaire (verbes

si nous ne trouvons rien… dit une des voix. Katow, lui aussi, serrait la main, à la limite des larmes, prise par cette pauvre fraternité sans visage, presque sans vraie voix (tous les chuchotements se ressemblent) qui lui était donnée dans cette obscurité contre le plus grand don qu’il n’eût jamais fait, et qui était peut- être fait en vain. Bien que Souen continuât à chercher, les deux mains restaient unies. L’étreinte devint soudain crispation : -          Voilà. Ô résurrection ! … Mais : -         

comprend pas. → lire un texte de Teilhard de Chardin sur comment trouver "une paix et un épanouissement sans bornes" Et il conclut : « il est possible, en abordant sous un certain angle l'immense désordre des Choses, de voir brusquement leur obscurité et leur discordance se muer en une vibration ineffable, inépuisable dans la richesse de ses nuances et de ses notes, interminable dans la perfection de son unité. Si j'arrive à faire un peu comprendre et partager cette réussite, j'aurai donné la