Obscurité

= magie, chimique (drogue) : meubles vivants, tissus parlent, atmosphère, esprit, la mousseline pleut, pouvoir magique, curiosité, admiration -sensualité parfaite : comparaisons fleurs, ciels, soleils ; rêve pur, suffisante clarté et délicieuse obscurité de l'harmonie, senteur infinitésimale, exquis, sensations de serre-chaude, gradation : attirent, subjuguent, dévorent. Mais ces rêves inaccessibles et dangereux provoquent un choc douloureux quand il prennent fin et la réalité s'impose de nouveau

notion d’espoir de changement mais ce n’est pas le cas. N’a pas de valeur argumentative. Ce monde horrible est à nouveau souligné par l’anaphore « horreur » au vers 9. Enjambement vers 9-10 souligne fuite du temps. Vers 10 : froideur Vers 11 : obscurité. Il y a une redondance dans les termes descriptifs employés qui souligne l’ennui et le vide. Le poème n’obéit pas à une progression 2ème tercet : Le poète fait allusion à la mort dans ce tercet. La mort semble être la seule issue possible

toujours les mêmes. Dans un second temps, nous allons étudier l'image effrayante que donne le père de Chateaubriand. Pour commencer, on trouve le champ lexicale de la nuit composé des mots « bougie », « foyer », « éclairée », « lumière », « obscurité » et « flambeau » qui ajoute au caractère effrayant de la scène. De plus, Chateaubriand insiste bien sur les vêtements particuliers que porte son père « robe de ratine blanche » ligne 10, « grand bonnet blanc » ligne 11, « sa robe blanche, son bonnet

l’homme puisse supporter son existence sans imaginer que celle-ci perdure au-delà de la mort. Il cherche donc à guider le condamné vers la lumière du divin : « […] du fond du cœur, je sais que les plus misérables d’entre-vous ont vu sortir de leur obscurité un visage divin. C’est ce visage qu’on vous demande de voir » (l. 35-37). De l’autre côté, le narrateur semble, en bon existentialiste, solidement attaché à la vie terrestre, puisque, lui, ne conçoit pas une existence au-delà de la mort : « Peut-être

« dévorante tendresse » l-6 qui frappent les esprits par le rapprochement de deux notions antinomiques. Les images saisissantes métaphoriques ou allégoriques : « Dieu n'est pas tiède » l-5, « épieu rouge » l-19, métaphore filée de la lumière/obscurité l-27-29 un ton didactique sensible dans les connecteurs logiques (« mais »l-5-26, « voilà pourquoi » l-7), le présent de vérité générale (par exemple l-25 : « il ne faut pas être plus pressé que Dieu »), la simplicité du vocabulaire (verbes simples

nature est en train de mourir. Premièrement, les ravages causés par l’automne sur la nature plonge Lamartine dans un profond deuil puisque de voir disparaître la vie et la lumière le rempli de tristesse. D’une part, l’automne amène une telle obscurité que Lamartine pense qu’il voit la lumière pour la dernière fois : «J’aime à revoir encore, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière, Perce à peine à mes pieds l’obscurité des bois» (V. 6-8). Ce changement de saison affecte

de la rêverie. B. Un tableau en clair obscur tableau : souvenir présenté comme une vision : "je l'ai vue" vision statique, pas de fin au récit : C'est seulement l'arrivée de Junie ; majorité d'imparfaits tableau en clair obscur : obscurité/lumière vers 7 (tétramètre : beauté) les ombres/les flambeaux vers 11 dualité accordée à la dualité de la scène opposition des vêtements: "simple appareil" /ravisseurs en armes opposition douceur/ violence : larmes /armes douceur/ravisseur

ce pied », « au-dessous du pied » et « rien n’existait que ce pied » (gros plan). Le décor est symbolique : on note l’opposition lumière (« la seule lumière », « un grand rectangle d’électricité pâle », « rectangle de lumière ») à l’extérieur / obscurité (« un corps moins visible qu’une ombre », « la nuit ») à l’intérieur de la pièce ; l’obscurité connote la mort et la lumière la vie (« seule lumière […] comme pour accentuer […] la vie »). On relève au passage l’antithèse « cette nuit n’était que

certaines choses sont vraies. (Néanmoins ca peut être source d’erreurs). Pour Pascal la démonstration c’est l’art de persuader ( « Certaines vérités ne peuvent se démontrer (…) Mais comme la cause qui les rend incapable de démonstration n’est pas leur obscurité mais au contraire leur extrême évidence, ce manque de preuve n’est pas un défaut, mais plutôt un perfection ». - Scepticisme/ dogmatisme : Pascal propose une alternative entre le scepticisme (douter de tout) et le dogmatisme (seule la raison permet

couché au sol et inconsicient, étant dans le noir complet j'ai dû attendre qu'il se reveille pour savoir si il avait une blessure. Les abres étaient si grands qu'il cachaiennt la lumière de la lune. L'attente me paraissait interminable dans cette obscurité, enfin je l'entendis gémir et pleurer, il me dit qu'il avait atrocement mal à la jambe, je priais pour qu'il ne soit pas gravement bléssé. On était donc condamné à dormir sur place, malgré la peur qui nous rongeait, je n'avais pas la force non plus