Obscurité

en deux"  et qui dans la nature se traduit par l'opposition jour vs nuit ; lune vs soleil  autrefois et aujourd'hui  ville et forêt  la vie et la mort ( les champs lexicaux se mêlant de l'un à l'autre :"apparition, disparition, lumière, obscurité, dualité, constante opposition etc..." Transition et il est évident que cete dualité s'incarne parfaitement dans le personnage de Jérôme 2 La double personnalité de Jérôme  un homme partagé entre la ville et la forêt → 56 ans

différents : la fréquence et l’amplitude des ondes cérébrales varient d’une phase à l’autre L’électro-oculogramme (EOG) L'électro-oculoconsiste à mesurer l'évolution du potentiel de repos de la rétine en fonction des conditions d'éclairement (obscurité et éblouissement). 3.3 Le scanner Il utilise des rayons X pour analyser la densité du cerveau. Il permet une analyse statique du cerveau comme une photo. 3.4La PetScan ou TEP Une tomographie par émission de positrons (TEP) est un examen

je voulus dormir, j’éteignis les lumières, et c’est alors qu’ils s’illuminèrent. Je souris. La première pensée qui traversa mon esprit était que tu serais capable de me retrouver dans le noir, si tu étais à me chercher dans la nuit, ou dans une obscurité quelconque. Je me sentais lamentable. J’étais lamentable. Je lavais son dos dans la pénombre de sa chambre de bain. Je mouillais l’éponge avec soin et essuyais sa peau avec délicatesse, comme si j’avais peur de le casser. Cet homme qui était assis

favorisée par une atmosphère très particulière, celle de l’emprisonnement aveugle. Différents mots et expressions nous plongent dans une ambiance ouatée propice à l’échange : l 1 « voix très basse », l 4 « auréole trouble », l 26 « donnée dans cette obscurité »... Le positionnement des personnages et leurs contacts entre eux nous évoquent aussi une certaine image de fraternité. Katow est très près de ses camarades. Cela implique une plus grande facilité de contact. L 1 « Souen, pose ta main sur ma poitrine

Marais. Elle débute au moment où Marais gravit les marches de la cabane cependant qu'il espionnait son maitre, comme chaque nuit, depuis « trois ans » (p. 109). Les scènes sont sombres, seule la lumière de la bougie amène une faible clarté. Cette obscurité suppose le peu de vie restant au janséniste, et elle ne dévoile que l'utile : les instruments, les visages, les objets. Tout le reste est ombre car vanité ou mystère. b) Union des deux violistes Surtout, le dévoilement de l'image, la lenteur

allongé, sans vie, devant la maison. Il a en réalité préféré de faire le mort que de recevoir de nouveaux coups de bâton. Horace demande à son ami Arnolphe de protéger Agnès pendant quelque temps, en attendant qu'il puisse l'épouser. Dans une demi obscurité, Agnès change ainsi de défenseur, passant de la protection d'Horace à celle d'Arnolphe. Arnolphe se fait reconnaître par Agnès et lui exprime de vifs reproches. Arrive alors Oronte, le père d'Horace, qui souhaite marier son fils avec la fille d'Enrique

Analyse du texte 1. La salle de l’Hôtel de Bourgogne, en 1640. La salle est vide et dans une demi-obscurité. Le public commence à arriver. 2. Cavaliers, bourgeois, laquais, pages, tire-laine, portier, marquis, cuiguy, brisaille, distributrice, violonistes, mousquetaire, bouquetière, garde, 3. Un vrai phénomène, un appendice, un milieu de visage, un roc, un pic, un cap, une péninsule, une ablonde capsule, une écritoire, une boîte à ciseaux, un perchoir, une cheminée, ce poids, ce pignon, le navet

proprement a nôtres, nos actions vraiment volontaires, sont celles qui s’accompagnent de raison Qu’ainsi donc chaque homme soit cette partie dominante même, ou qu’il soit tout au moins principalement cette partie, c’est là une chose qui ne souffre aucune obscurité, comme il est évident aussi que l’homme de bien aime plus que tout cette partie qui est en lui. D’où il suit que l’homme de bien sera suprêmement égoïste, quoique d’un autre type que celui auquel nous réservons notre réprobation, et dont il diffère

foules et les races. Nous sentons, frissonnants, des souffles sur nos faces. Nous sommes le gouffre agité; Nous sommes ce que l'air chasse au vent de son aile; Nous sommes les flocons de la neige éternelle Dans l'éternelle obscurité. Pour qui luis-tu, Vénus? Où roules-tu, Saturne? Ils vont: rien ne répond dans l'éther taciturne. L'homme grelotte, seul et nu. L'étendue aux flots noirs déborde, d'horreur pleine: L'énigme a peur du mot; l'infini semble à peine

fleurs, comme les ciels, comme les soleils couchants. Sur les murs nulle abomination artistique. Relativement au rêve pur, à l'impression non analysée, l'art défini, l'art positif est un blasphème. Ici, tout a la suffisante clarté et la délicieuse obscurité de l'harmonie. Une senteur infinitésimale du choix le plus exquis, à laquelle se mêle une très légère humidité, nage dans cette atmosphère, où l'esprit sommeillant est bercé par des sensations de serre chaude. La mousseline pleut abondamment devant