Obscurité

Nicolas Grimaldi dans ce texte extrait du Traité des solitudes s’efforce d’éclairer les obscurités du moi à partir du Je, ou activité consciente du sujet pensant le monde sans pour autant parvenir à se définir. Le moi peut-il se connaître ? Comment la conscience se représente-t-elle le moi ? Le texte est composé essentiellement de deux parties. La première de la ligne 1 (Début) à «  un des objets du monde «  ligne 17-18, qui traite d’une mise en perspective entre le Moi et le Je. Et d’une deuxième

 on y retrouve beaucoup de termes liés aux fantasmes et  à la noirceur, qui sont en antithèse comme le démontre la citation suivante: ≪Relativement au rêve pur  [...] l’art positif est un blasphème. Ici, tout a la suffisante clarté et la délicieuse obscurité de  l’harmonie.≫L.11 Cette antithèse est très subversive car elle fait référence à la noirceur, donc la vie  nocturne qui était appréciée des symbolistes, mais détestée des bourgeois, elle a donc été utilisée pour  provoquer. Tout au fil du poème

MILJENKO BULJAN DEVELOPPEMENT ET FONCTIONS DES RHIZOIODES DE LA CHARA Cette publication n’est qu’un fragment d’un ouvrage plus vaste, paru, il y a quelques années, en langue croate sous le titre de: Fiziološka istraživanja hranidbe parožina (Chara), par M. Buljan (thèse de doctorat). Cet ouvrage, dans son ensemble est une étude physiologique, mais la partie cytologique qui lui a été adjointe comme appendice indépendant, peut en être maintenant détachée et considérée comme oeuvre à part. Encouragé

dieu. L’autre serait orientale : les arbres et leurs branches forment une foret opaque où l'on avance avec inquiétude : figuration des divinités aux bras et yeux multiples .l'homme y est un privilégié que l'univers observe. il peut passer dans une obscurité confuse, mais peut aussi se faire reconnaître de la nature, et la rejoindre grâce aux symboles qu'elle lui propose et qui ne demandent qu'à être compris (v.4). La deuxième métaphore : " Forêts des symboles " : D'un côté, les arbres symbolisent

radieuse à en devenir presque gênante ». * Profondément jalouse des innombrables amantes « cachées » de son mari («La jalousie possède l'étonnant pouvoir d'éclairer l'être unique d'intenses rayons et de maintenir les autres hommes dans une totale obscurité».)  Bertlef : * richard américain * épicuriste : recherche d'un bonheur et d'une sagesse dont le but ultime est l'atteinte de la tranquilité de l’âme. * Artiste * Aime faire bonne chère. * Très pieux et se possède pour modèles

comme une lettre dont on ne connait pas le destinataire > Suspension du poème, où et qui? -Lecteur suit le poète dans un parcours mentale. -V.11: le lecteur découvre la tombe, la lecture du poème change. II) Le deuil du poète: -Etat d'âme: obscurité > esprit du poète -Poème comme offrande -Pèlerinage à la tombe de sa fille La mort des amants: I) L'amour: -utilisation du "nous" > union. Ames soeurs: "deux, double, miroir jumeaux" -Espace intime et chaleureux: "soir, lit, divan, flambeau

est le travail effectué (production, création, entretien, gestion . . .) ? Se fait-il seul ou en équipe ? – Décrire le poste de travail (équipements utilisés, tâche sédentaire ou répétitive . . .). – Quelle est l’atmosphère (bruit, chaleur, calme, obscurité . . .) ? – Quels sont les avantages et les inconvénients de cette profession ? – Quelles sont les aptitudes nécessaires (qualités physiques, contre-indications médicales, qualités intellectuelles ou morales . . .) ? – Quelles sont les conditions

| | |Ensuite, la description du paysage extérieur est faite de l’intérieur du train. Ainsi, le poète voyageur énonce ce qu’il voit, mais par des termes vagues puisque la vitesse du train l’empêche d’être précis : « campagne », « obscurité » (v.4), « paysage » (v.5), « le jour / Débutant » (v. 13-14), « la bruyère », « la vigne » (v. 15). Le mouvement du train est également rappelé par une succession d’images associé à des verbes de mouvements : « Traverser à la sauvette un chapelet

au moins quarante types d’organes visuels qu’on appelle « yeux ». Cette diversité pose la question de l’origine de la perception visuelle. Les yeux les plus simple, les ommatidies, sont tout juste capable de décelé la différence entre lumière et obscurité. Tandis que les yeux les plus complexe, comme l’œil humain, œil camérulaire, permette de distinguer en plus les formes et les couleurs. Actuellement, les scientifiques prônant l’évolution des espèces vivante sont capables de retracer le schéma

resta des heures et des heures, sans vraiment voir le temps passer. J’avais dû m’assoupir. J’entendis des bruits étranges qui venaient de la chambre de mes parents à l’étage supérieur. Dehors la nuit était tombée et la maison était plongée dans une obscurité profonde. Alors que je me levais pour allumer la lumière, je constatais qu’il n’y avait pas d’électricité, je dû donc me rendre à tâtons dans la cuisine pour sortir les bougies et le paquet d’allumettes que maman laissait toujours dans le tiroir