Obéissance Et Transgression

mais les termes de cette dialectique relèvent du seul fait du prince. Jamais l’idée d’une gestion participative n’aura effleuré les souverains arabes, car l’islam renforce l’autorité centrale au détriment des sujets et impose à ces derniers une obéissance au sultan qui vaut soumission à Dieu. Nous pouvons également évoquer la question de la féminité refoulée du monde arabe. Or, cette idée de féminité opposée à la masculinité occupe le devant de la scène depuis que l’islam est devenu régressif et

identifié l’agent auteur et faire appel à son supérieur. Les gouvernés obéissent à un ordre légal, ce qui le rend légitime. L’exercice du opuvoir organisé par règles écrites qui définissent droits et devoir des gouvernantts et gouvernés. Toute transgression de la loi menacerait leur légitimité à exercer le pouvoir. Les gouvenéers fne sont renus d’obéris que dans la limité des règles fixés jugées rationnels. Exercice du pouvoir dépersonnalisé. On obéit à des règles, des fonctions mais pas à des

règles que nous avons intégrées. Elles nous paraissent normales, évidentes, on dira qu'elles nous sont comme incorporées. Il se peut qu'à l'intérieur du groupe où se vit un habitus, l'un où l'autre transgresse les lois communément admises. Et la transgression peut être comprise comme une faute par les tenants de la loi comme par ceux qui transgressent la loi. Par exemple ne pas dire la vérité, mentir chez un enfant ne signifie pas que l'on remet en cause le système familial fondé sur la vérité. Lui

polythéistes l’approuvent.  DEUXIEME PARTIE : Compréhension du mot souverain (rabb) d’après le Coran et la Sunna et la conception qu’en on fait les communautés égarées.  TROISIEME PARTIE : L’univers et son aspect naturel (fitra) dans sa soumission et son obéissance à Allah.  QUATRIEME PARTIE : La méthodologie du Coran dans la démonstration de la présence du créateur et de son unicité.  CINQUIEME PARTIE : Mise en évidence que l’unicité dans la souveraineté (tawhid a-rouboubiya) implique l’unicité dans l’adoration

selon leur orientation. R. Quinn va distingue 4 cultures d’entreprise : - La culture de soutien : solidarité, les valeurs mises en avant dans ce genre d’organisation sont implication des salariés et coopération. - La culture de la règle : obéissance à l’autorité, on à a faire a des entreprises ou la division du travail et forte et où les normes sont strictes. - Culture de l’innovation. Entreprise qui favorise la prise de risque et la prise d’initiative. Ces entreprises sont dotées d’une

justification de la punition qu’il inflige au délinquant. C’est la sanction organisée et centralisée qui crée la règle juridique. Pour Hart, le juge punit la transgression justement parce qu’il y a une règle qui doit être transgressée. C’est la punition qui prouve l’existence de la règle. C’est parce que la règle existe que sa transgression est punie. Qu’est ce qui peut distinguer une règle d’une simple habitude si on considère que la peine peut être accessoire ? « Nous pensons qu’il existe dans

morale. Droit Exemple : « si tu veux la paix, ou ne pas être puni, il ne faut pas tuer ton prochain » (raison : cela nuit au bon ordre social) ; c’est dans mon intérêt Permis, interdit (licite, illicite) Sanctions pénales (prescriptions dont la transgression est suivie d’effets prévus par la loi) Relative et intéressée, utile (but : assurer l’ordre social) Extériorité Morale Exemple : « il ne faut pas tuer ton prochain » (raison : l’homme est une valeur absolue) Bien, mal Remords, punition divine (aucune

punition. Cette punition doit être distinguée de la sanction intangible de la morale, qu’il s’agisse du simple jugement ou du rejet social auquel s'expose le contrevenant dans l'ordre des mœurs. Notons enfin, comme l'observe Malem Seña, que la transgression de « normes de groupes subsidiaires de l'Etat, telles les dispositions dictées par les universités ou autres institutions ou associations à caractère public ou privé », peut être qualifiée de désobéissance civile. Dans la même ligne, Acinas parle

fonction des groupes qui composent celle-ci. Cela peut conduire à des situations où un individu qui obéit à la norme acceptée par son groupe viole d’autres normes acceptées par des groupes différents. En situation de conflit de culture, la simple obéissance à la norme culturelle minoritaire peut se traduire par une déviance, par une infraction. C’est finalement la norme culturelle dominante qui ici impose le respect de certaines conduites. B) Les théories relatives aux sous-cultures La théorie

'al-insan al-kamil), telle est la signification profonde de la sunna. D'après Ibn 'Ata' Allah : L'origine de toute désobéissance, toute négligence et toute passion réside dans notre approbation (al-ridâ) des penchants de l'âme ; et l'origine de toute obéissance, toute vigilance et toute vertu réside dans notre désapprobation des penchants de l'âme. Pourquoi l'homme donne-t-il de l'importance à son âme au point de l'approuver ? Parce qu'au fond de l'âme se trouvent la passion et l'orgueil. La passion