Odilon Barrot

vice-président. Hostile à la candidature de Louis Napoléon Bonaparte à la présidence de la république, lui préférant Cavaignac, il accepte cependant le ministère des Affaires étrangères entre juin et octobre 1849 au sein du deuxième gouvernement Odilon Barrot. Opposé au Coup d'État du 2 décembre 1851, il fait partie des parlementaires (dont Berryer et Lanjuinais) qui se réunissent à la mairie du Xe arrondissement et votent la déchéance du président de la République. Incarcéré à Vincennes puis relâché

au sein du ministère de la santé publique. Ce document renseigne ainsi que l’administration centrale du ministère définie la politique, la DRSP exerce une fonction stratégique et opérationnelle tandis que les SDPD ont des rôles opérationnels. Odilon Barrot, un homme politique français l’a parfaitement décrit, dès 1852 que « c'est le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche». Les responsables locaux ne font qu’exécuter les consignes dictées par leurs supérieurs hiérarchiques sans amoindrir

déconcentrées.   Ces   dernières  exercent   leurs   compétences   sous   le   pouvoir   hiérarchique   des   autorités  centrales. La déconcentration est une forme de la centralisation. L'Etat ne perd  aucune   de   ses   prérogatives.   Formule   de   Odilon   Barrot:   « C'est   le   même  marteau qui frappe, mais dont on a raccourci le manche ». Ses caractéristiques  peuvent être résumées ainsi : agents nommés par le pouvoir central, décisions  prises par le pouvoir central, contrôle hiérarchique, autonomie très limitée

dont il devient vice-président. Hostile à la candidature de Louis Napoléon Bonaparte à la présidence, lui préférant Cavaignac, il accepte cependant le ministère des Affaires étrangères entre juin et octobre 1849 au sein du deuxième gouvernement Odilon Barrot. Opposé au Coup d'État du 2 décembre 1851, il fait partie des parlementaires qui se réunissent à la mairie du Xe arrondissement et votent la déchéance du président de la république. Incarcéré à Vincennes puis relâché, il quitte la vie politique

jouant au sein d’une même personne morale qu’est l’Etat, pratique officialisée par décret en date du 1er juillet 1992 ( décret n° 92-604 du 1er juillet 1992 portant charte de la déconcentration). La déconcentration est parfaitement résumée par Odilon Barrot, au XIXe siècle : « C’est toujours le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche. » Ainsi, le préfet est «  le représentant de l’Etat, représentant de chacun des membres du gouvernement » (Constitution du 4 octobre 1958, article

à prendre, les autorité centrale, ne peuvent agir seule. Paragraphe2 la déconcentration. Système dans lequel le pouvoir de décision est déléguer à des agents locaux de l’état qui sont soumis au pouvoir hiérarchique des autorités centrale. Odilon Barrot «toujours le même marteau qui frappe mais on en à raccourci le manche» c'est toujours l’état qui frappe, mais c'est plus le ministre qui va prendre le pouvoir de décision, mais aussi les préfet pour être au plus proche des citoyens. Le pouvoir

representant locaux du pouvoir centrale designer par lui. L'etat met en place localement des agent charger de le representer et de prendre les decisions en son nom. L'etat reste centraliser mais son pouvoir est plus diffus et ce rapproche des citoyen. Odilon Barrot ministre de Napoleon 3" Cest tjr le meme marteau qui frappe mais on a raccourcis le manche". En france on a recouru de maniere importante depuis le 19e a la deconcentration qui avait un avantage et permettai dtre plus proche des populations mais

discrétionnairement par l’autorité centrale d’une part et font l’objet d’un contrôle hiérarchique (c’est-à-dire un contrôle exercé en permanence par une autorité administrative sur son subordonné) d’autre part. Ici la célèbre formule du professeur Odilon BARROT en dit tout : « C’est le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche »2, pour dire que c’est toujours la même institution qui décide et que simplement ses décisions et leur application peuvent se faire par des autorités déconcentrées

Bonaparte, c’est le silence. Avant le 2 décembre, il avait un conseil des ministres qui s’imaginait être quelque chose, étant responsable. Le président présidait. Jamais, ou presque jamais, il ne prenait part aux discussions. Pendant que MM. Odilon Barrot, Passy, Tocqueville, Dufaure ou Faucher parlaient, il construisait avec une attention profonde, nous disait un de ses ministres, des cocottes en papier ou dessinait des bonshommes sur les dossiers. Faire le mort, c’est là son art. Il reste muet

légitimistes – « Mouvement » de Philippon. - « Résistance » - « politique de sûreté de l’État » - Guizot – école communale. Villermé – socialisme – crise économique de Connaître la position des Républicains : 1846-48 – disette – campagne de banquets. « Odilon Barrot ». 3. La crise finale qui emporte le régime D - 1848, enfin la République ! 1. La République fraternelle, entre réfor- Gouvernement provisoire – Fraternité – « illu- Connaître une décision historique mes et illusions sion lyrique » - « esprit