Odilon Barrot

Tous sont acquittés par le jury, sous les acclamations du public, le 18 janvier 183732. Si la tentative a été un échec complet et a été désavouée par la famille Bonaparte, elle a fait connaître le prince Louis-Napoléon qui écrit de sa prison à Odilon Barrot, le chef de l'opposition parlementaire, pour lui exposer ses motivations et ses revendications politiques reposant sur la restauration de l'Empire et le recours au plébiscite33. Retour en Europe[modifier | modifier le code] Le prince ne reste

probablement plus (environ 50). On met les corps sur des charriots et on les trainent dans toute la ville. C'est l'insurrection générale à Paris, qui réclame la république. Louis-Philippe démissionne Mollé, nommé la veille à la place de Guizot et nomme Barrot (gauche dynastique). Adolphe Thiers, qui est dans ce gouvernement (qui tiendra 15 jours), est pour sortir de Paris, l’encercler, attendre, et reprendre la ville (cela préfigure ce que sera sa stratégie au moment de la Commune), mais le Roi ne veut

communes lesquelles étaient sous le contrôle de l'État. Ensuite, à la Révolution les départements sont nés et avec ces derniers est apparu l'idée de déconcentration des pouvoirs qui est une forme atténuée de la décentralisation. Comme le disait Odilon Barrot: « c'est le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche ». Cela signifie qu'avec cette organisation on transfert à des agents locaux un pouvoir de décision normalement exercé par le chef suprême de la hiérarchie et l'administration

déconcentration consiste pour l’Etat à déléguer des pouvoirs de décisions des autorités centrales (ministères) à des autorités locales nommés par lui (préfets, recteurs…) lesquelles restent soumises au pouvoir hiérarchique des ministres. Pour Odilon Barrot (1791-1873), « c’est le même marteau qui frappe, on a seulement raccourci le manche ». • La décentralisation consiste à transférer des pouvoirs de décision de l’Etat vers d’autres personnes morales de droit public, essentiellement les collectivités

socialistes, font également partie du champs politique français. Ils veulent améliorer les conditions matérielles de la vie des ouvriers notamment. - Le déclenchement inattendu de la révolution … L’opposition monarchique de gauche est menée par Odilon Barrot. Ce dernier organise une campagne de banquets pr diffuser les idées politiques. Le 1er banquet a lieu en 1847 . 1200 personnes y assistent. Les campagnes restent plus ou moins exclues. Au total, 17 000 personnes assistent à ces rassemblements

70 réunions organisées par les réformateurs pour demander un élargissement du corps électoral et s’opposer aux décisions prises par le gouvernement conservateur de Guizot. Au début, on demande juste une reforme de la monarchie de juillet comme Odilon BARROT par exemple, et ce n’est qu’après que il y a vraiment une expression des idées républicaines. On peut voir ces banquets comme une ruse pour éviter l’interdiction des réunions politiques par le gouvernement Guizot. Le 22/02/1948, le gouvernement

La déconcentration : L’autorité centrale transfert certaine de ses attributions à une autorité territoriale.Ex : Du président de la république au préfet. Duc de Berciny : « il est possible de gouverner de loin mais on est administré de près ». Odilon barrot : « c’est toujours le même marteau qui frappe mais on en a rétrécit le manche. »On peut penser que les exigences sont plus rapides et plus adaptées aux circonstances locales.Les autorités locales sont déconcentrées, elles ne sont pas élues, elles

centrale, autrement dit, c'est une modalité de la « centralisation ». Certaines compétences étatiques sont exercées localement, mais ces missions sont bel et bien accomplies au nom et pour le compte de l’État. La définition imagée donnée par Odilon Barrot (politicien) permet d'expliciter cette notion : «  C'est le même marteau qui frappe, mais on en a juste raccourci le manche ». En clair, il s'agit d'une technique d’organisation consistant pour les autorités centrales à déléguer certaines compétences

révolutionnaires », les « chambardeurs », nous prospérons beaucoup mieux par les moyens légaux que par les moyens illégaux et le chambardement. Us partis de l'ordre, comme ils se nomment, périssent de l'état légal qu'ils ont créé eux-mêmes. Avec Odilon Barrot, ils s'écrient désespérés : la légalité nous tue, alors que nous, dans cette légalité, nous nous faisons des muscles fermes et des joues roses et nous respirons la jeunesse éternelle. Et si nous ne sommes pas assez insensés pour nous laisser pousser

étroitement hiérarchisées (ex : les préfets) auxquelles on confiera l’exercice de certaines attributions de l’Etat sur les instructions et le contrôle des autorités centrales. « C’est le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche » dira Odilon BARROT. La décentralisation est également pratiquée et fait souvent figure d’école de la démocratie car elle consiste à confier l’exercice de certaines attributions administratives à des autorités locales élues par les citoyens. Parfois même l’autonomie