Odilon Barrot

nommés par Napoléon III, tout comme les présidents, vice-présidents et secrétaires des conseils généraux. Lors de la période plus libérale du Second Empire, Napoléon III rebondit sur un courant important en faveur de la décentralisation, mené par Odilon-Barrot ou le Comte de Chambord. La Troisième République apporte deux lois fondamentales quant à la démocratie locale et la décentralisation. En 1871, la Loi départementale prévoit que chaque département est doté d’un conseil général qui élit la commission

locaux. Et quand on parle de cela il y a deux formules possibles a) Déconcentration La déconcentration consiste en un transfert de certaines attributions administratives du pouvoir central au plan local, au bénéfice d’un agent de l’état. Odilon Barrot : « C’est toujours le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche ». C’est toujours l’état qui prend la décision, cependant ce ne sont plus les ministres mais des agents situés plus près. Ex : Le préfet. b) Décentralisation

législatif uni, une institution exécutif uni, un pouvoir législatif. La déconcentration : La déconcentration est un système d’organisation administrative dans lequel sont créés à la Périphérie des relais du pouvoir central. Comme le disait Odilon Barrot : « dans le cadre de la Déconcentration c’est toujours le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le Manche ». C’est donc toujours l’Etat qui agit mais pour être plus efficace, il rapproche Certaines de ses autorités de ses administrés

agents subordonnés hiérarchiquement au pouvoir central. Il s'agit d'un simple aménagement technique de la prise de décision, confiée à des représentants locaux du pouvoir central : « C'est le même marteau qui frappe, mais on raccourci le manche » (Odilon Barrot). En revanche, la décentralisation consiste à transférer la gestion des affaires locales à des collectivités autonomes et élues. Dans la décentralisation l'Etat n'est pas la seule personne publique .Au contraire il cohabite avec d'autres personnes

réhabilitation de Versailles en musée de l’Histoire de France).). Les orléanistes = royalistes partisans de la monarchie de Juillet. Ils se divisent en deux tendances : · Le « parti du Mouvement » (Odilon, Barrot…) qui approuvent les réformes · Le « parti de la Résistance » ( François Guizot  : symbole réactionnaire, refuse tout…) qui estime que la révolution est finie et qui refuse

de remettre certains pouvoirs de décision à des agents locaux du pouvoir central. Le Préfet en tant que représentant dans chaque département du pouvoir du Ministre de l’Intérieur est reconnu apte à prendre certaines décisions. Comme le disait Odilon Barrot, dans la déconcentration, « c’est toujours le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche ». La différence entre la déconcentration et la centralisation repose sur le pouvoir de décision accordé à des agents locaux représentants

opposés. MAIS la cohabitation n'est pas née avec la constitution de 1958 ; à plusieurs reprises, roi ou PR ont été contraint de cohabiter avec un chef de gouvernement qui ne partageait pas leurs convictions : ex : Louis Napoléon Bonaparte et Odilon Barrot en 1848-1849, ou R. Poincaré et G. Clemenceau entre novembre 1917 et janvier 1920. * → 2 PDV : anomalie ou preuve de la capacité d'adaptation du régime politique de la Vème République ? - Initialement, la cohabitation n'avait pas

soumission hiérarchique au pouvoir central. Exemple du Préfet : il n’y a pas de délégation du pouvoir politique mais simplement du pouvoir administratif. Autrement dit, « c’est toujours le même marteau qui frappe, on en a raccourci le manche » (Odilon BARROT, XIXème siècle). Mais la déconcentration s’est un peu éclipsée car d’une part elle ne constitue qu’un aménagement du principe d’Etat Unitaire et d’autre part elle devient la norme du système administratif. Parallèlement

est ainsi totalement soumise à l’Etat qui la nomme et peut la révoquer discrétionnairement… Il n’y a pas ainsi d’élection… L’autorité déconcentrée va agir au nom de l’Etat au plan local étant ainsi très proche des citoyens. Comme a pu l’écrire Odilon Barrot au 19ème siècle : « c’est toujours le même marteau qui frappe, on a simplement raccourci le manche » 2. La déconcentration : un concept aux conséquences très positives a) Une solution salvatrice La déconcentration permet de désengorger l’Etat

publiques gérées par le pvr central, dans la capitale. -Déconcentration : Pour s’adapter aux mœurs locales, aménagement des structures administratives. Pouvoirs délégués à des agents agissant au nom de l’Etat (Préfet en France dans les dpts). Odilon Barrot : « C’est le même marteau qui frappe sauf qu’on en a raccourci le manche ». -Décentralisation : agents locaux indépendant, élus. Suppose des collectivités autonomes (pas de tutelle) avec une personnalité morale, un budget, pouvant agir en justice