Odilon Barrot

sont beaucoup plus diffuses, elles sont prises localement, c'est à dire que l'état se rapproche des citoyens. Dans l'état unitaire centralisé tout est décidé depuis la capitale. Le préfet est le représentant de l'état par département. Ex : Odilon Barrot lorsqu'il parlait du phénomène de déconcentration: « c'est toujours le même marteau qui marche, mais on a raccourci le manche ». Ce phénomène de déconcentration en France existe toujours. Il y a également les administrations de l'équipement qui

de décisions à des agents locaux du pouvoir central. La décision est toujours prise au nom de l’Etat par un de ses agents, il y a seulement substitution d’un agent local au chef de la hiérarchie. L’Etat n’est dessaisi d’aucun de ses pouvoirs. Odilon Barrot « c’est le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche » (puisque la décision est prise au niveau local) | DECENTRALISATION Transfert de compétences de l’Etat à des personnes morales distinctes qui sont administrées par des conseils

bénéfice d'un agent de l’État. La compétence rationae loci émanant de l’État, autorité déconcentrée, est définie par les limites de la circonscription administrative. Le but de toute politique de déconcentration est l'efficacité administrative. Odilon Barrot « c'est le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche ». En France le préfet est l'autorité déconcentrée de droit commun dans le département ou dans la région. Il est là pour assurer une meilleure efficacité de l'action publique

PERIER et GUIZOT estime que cette charte est une bonne chose, ils modèrent le fait révolutionnaire, selon eux : la France a trouvé sa stabilité. · Les orléanistes de mouvement  : Adolphe THIERS et Odilon BARROT ont soutenu l’arrivée de Louis Philipe et sont partisan d’évolution et pour eux, cette charte doit évoluer a moyen terme vers une monarchie plus démocratique et veulent que les libertés et les jeux du parlementarisme soient développé.

distribué assez largement. Il milite pour la mise en place d’un régime parlementaire et pour la limitation du roi. Ce parti du mouvement positionné à gauche de l’échiquier est représenté par des hommes comme Thiers, Laffitte, Duvergier de Hauranne, Barrot et Tocqueville. Ce parti du mouvement ne sera au pouvoir que très brièvement sous la monarchie de juillet, principalement pendant des épisodes de crise auxquels il ne parviendra jamais à faire face. Le second parti, celui de la Résistance, correspond

autorités locales sont soumises au pouvoir hiérarchique des autorités centrales (ex : le ministre). L’État reste compétent en tout matière, reste la seule personne morale du D public, mais on va rapprocher l’adm des administrés. En France, c’est Odilon Barrot (penseur du 19e s) qui a mis en place ce système : « C’est le même marteau qui frappe, mais on a raccourci le manche ». La déconcentration va améliorer les choses, mais là aussi il a fallu faire une amélioration. L’État a vu ses missions augmenter

fait que des pouvoirs de décision importants échappent au pouvoir central et son exercés sur place. Leurs significations sont pourtant politiquement et pratiquement différentes : la déconcentration n’est qu’une technique de commandement (selon Odilon Barrot : « C’est le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche »), n’ayant pas par elle-même de valeur démocratique, puisqu’elle laisse toute l’Administration aux mains du pouvoir central ou de ses agents ; la décentralisation a une valeur

vers des collectivités territoriales possédant une personnalité morale propre. La déconcentration a pour but de décongestionner l'administration centrale et ainsi d'accélérer les prises de décisions au niveau local, comme le traduit l'image de Odilon Barrot « C'est le même marteau qui frappe mais on en a raccourci le manche ». • Services déconcentrés L’expression services déconcentrés est apparue dans la loi du 6 février 1992 concernant l’administration

administrés. On corrige ainsi le défaut de lourdeur et de lenteur du système : la décision pourra être prise par un agent local de l’Etat (le Préfet ou le Recteur). Cette notion de déconcentration a été théorisée par un penseur du XIXème siècle, Odilon Barrot : « c’est le même marteau qui frappe mais on a raccourci le manche ». Cette déconcentration se poursuit et se développe encore aujourd’hui. III - L’Etat unitaire décentralisé et déconcentré La décentralisation telle qu’elle est pratiquée

qui a un patrimoine, une culture. Ces autonomies sont décidées par la loi, donc elles peuvent être retirées par la loi. Les régions et les départements en France ne peuvent pas s’opposer à la modification de leur pouvoir par l’Etat. Odilon Barrot : gauche dynastique sous Louis Philippe dans la monarchie de Juillet. « La centralisation on peut la voir comme une personne unique qui tape avec un marteau unique, si cet Etat procède par décentralisation, le manche du marteau s’allonge pour atteindre