Odilon Barrot

cette immunité toute « question de gouvernement », toute « question de haute politique », tout acte « du gouvernement » ou « de gouvernement » (V. les interventions des députés BAUDOT, BÉCHARD, CRÉMIEUX, MARTIN DE STRASBOURG, du garde des Sceaux Odilon BARROT, etc., publiées au Moniteur de janvier à mars 1849). Formalisant ce compromis, l’article 47 de la loi organique prévoit alors une procédure particulière, dont les débats parlementaires éclairent seuls le sens, selon laquelle : « Le ministre de

fixées au 10 et 11 décembre 1848. Le courant populaire est représenté par les candidats les plus conservateurs et va porter son choix sur Louis Napoléon Bonaparte qui va choisir des ministres, principalement dans le parti de l’ordre, parmi eux : Odilon Barrot et Falloux. Les plus conservateurs sont donc aux commandes du gouvernement et le pouvoir exécutif échappe ainsi aux républicains. Il reste à ces républicains le pouvoir législatif mais l’assemblée constituante se sent discréditée à l’issue de l’élection

avril n'est plus représentative de l'électorat. Les élections législatives de 1849[modifier] Articles détaillés : Élections législatives françaises de 1849 et Assemblée nationale législative (Deuxième République). Le président nomme Odilon Barrot à la tête d'un gouvernement à forte coloration monarchiste. Ils vont œuvrer pour affaiblir le camp républicain en vue des élections législatives que l'Assemblée (à majorité républicaine) est contrainte, le 29 janvier, sous la pression militaire

Dans une démocratie, il ne peut, il ne doit pas être ailleurs ». 66. À cet égard, ces critiques ressemblent fort à celles qui seront adressées, plus tard, à la catégorie des « régimes d’assemblée » par la doctrine constitutionnelle. 67. Ainsi Odilon Barrot, sous la Constituante de 1848, critiquait-il, un peu abusivement, le monocamérisme défendu par Lamartine (séance du 27 septembre 1848, Le Moniteur Universel, Journal officiel de la République française, p. 2622) : « Oui, il s’agit de savoir si

avec la création des préfets. Elle correspond à une logique que Napoléon III exprimait très bien : « On peut gouverner de loin, mais on administre bien que de près ». Cette organisation présente l'avantage de l'efficacité ce qui fit dire à Odilon Barrot (homme politique, 1791-1873), comme le rappelle Jean Gicquel, qui y voyait surtout l'efficacité de la répression : « C'est toujours le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche ». La décentralisation territoriale Il s'agit

annonce une fraction durable entre une partie de la résistance avec François guizot et Casimir périer qui désir terminer en 1830 la révolution et figer l’histoire dans un état terminable stable. De l’autre côté on a le partie du mouvement avec Odilon Barrot qui est hostile à toutes personnalisation du pouvoir et qui ne voit dans la révolution de 1830 qu’un point de départ vers plusieurs réformes. Donc on va avoir deux périodes sur la monarchie de juillet dans une première partie c’est une partie de

restauration, il soutient Charles X de France. En cela, il s'inscrit dans la ligne politique de Chateaubriand. Lors de la Révolution française de 1848, Victor Hugo, pair de France, prend d'abord la défense de la monarchie (le président du Conseil Odilon Barrot, le charge de défendre l'idée d'une régence de la Duchesse d'Orléans). La république étant proclamée, Lamartine lui propose un poste de ministre (Instruction publique) dans le gouvernement provisoire de 1848, il refuse. Aux élections d'avril 1848

en son nom, dans le cadre d'une circonscription administrative, et sont soumis à son contrôle sous la forme d'un pouvoir hiérarchique. Selon l'expression bien connue, « c'est toujours le même marteau qui frappe mais on a raccourci le manche » Odilon Barrot. Remarque → Contrairement aux collectivités territoriales, ces représentants de l'État, tels les préfets, ne bénéficient pas de l'autonomie. Ils sont nommés par le pouvoir central. Ils ne sont pas soumis, comme elles, à un simple contrôle visant

hiérarchique : ces autorités sont soumises au pouvoir hiérarchique : il s’agit de la contre partie de leurs prérogatives. La technique de la déconcentration permet seulement un déplacement du pouvoir de décision du centre vers la périphérie. Odilon Barrot : « c’est toujours le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci le manche ». B) Le pouvoir hiérarchique : il s’exerce tant sur les actes des agents que sur les agents eux-mêmes. 1) Le pouvoir hiérarchique exercé sur les actes des autorités

territoire. Préfet : inventer en 1800, par une loi : la loi du 28 pluviôse An VIII Napoléon III : On peut gouverner de loin mais on administre bien que de près. « C’est toujours le même marteau qui frappe, mais on en a raccourci la manche » Odilon Barrot C’est pour retrouver de l’efficacité (1791-1873) La décentralisation territoriale : C’est une idée que l’on doit à Alexis de Tocqueville relaté dans l’ouvrage « Démocratie en Amérique » La logique est toute autre. L’état abandonne des