Olivier Deleuze

4 AVANT-PROPOS – Choix de l'édition Pour ce mémoire, j'ai utilisé l'édition parue au Livre de Poche en 2001, préfacée et annotée par Jean-Luc Steinmetz. Mon choix s'est fait entre trois éditions : celle de la Pléiade, établie par Pierre-Olivier Walzer, l'édition Poésie / Gallimard établie par Hubert Juin et celle du Livre de Poche. Hors l'appareil critique, toutes ont un contenu quasi identique : Les Chants de Maldoror dans leur intégralité avec la version initiale du Chant premier publiée

rationnelle. L’idée d’artefact, qui renvoie à la notion d’ « artifice » sous la plume d’Herbert Simon, est certes liée à celle de machine, mais on peut entendre ce dernier terme d’une manière beaucoup plus élargie que ne le fait Taylor. En effet, pour Deleuze et Guattari, la notion de « machina » renvoie à celle de projet. Or, aucune machine n’a les capacités créatrices propres à l’homme et lui permettant d’élaborer des projets, de les réaliser et de les remanier en cas d’échec. La machine n’est donc pas

mort et, à ce titre, ces pratiques ne pouvaient apparaître que comme une contradiction, un désordre, une erreur 3 Le point le plus récent sur cette question a été fait par Wright, 1979. 4 Dans le mastaba d’Ima-Pepi, à Balat, A. Minault-Gout et P. Deleuze (1992 : 61 et n. 55) signalent que, selon toute probabilité, le squelette du gouverneur a été démembré. 5 Cf. Crubézy, Janin et Midant-Reynes, 2002 ; en particulier le chapitre 4, § 7 : « Les pratiques funéraires ». Voir également Crubézy, 1998a

/2007/09/john-abercombie-third-quartet-320-kbps /2007/09/manu-katch-playground-320-kbps /2007/09/mike-stern-who-let-cats-out-320-kbps /2007/09/olivier-calmel-mafate-320-kbps /2007/09/manu-katché-playground-320-kbps /2007/09/darrell-mansfield-live-at-flevo-128 /2007/09/john-abercombie-third-quartet-320-kbps /2007/09/manu-katch-playground-320-kbps /2007/09/mike-stern-who-let-cats-out-320-kbps /2007/09/olivier-calmel-mafate-320-kbps /2007/10/nils-landgren-funk-unit-licence-to-funk /2007/10/bugge-wesseltoft-film-ing-256-kbps /2007/10/katie-melua-pictures-320-kbps

Revue internationale de philosophie: «André Comte­Sponville» N°258 (diffusion Vrin), 138 pp., 25€. A Traverses, le blog d’Yves Michaud et Lettres ouvertes, les divagations de Raphaël Sorin • SUR LIBÉRATION.FR près Stanley Cavell et Deleuze, et avant William James ou Žižek, c’est André Comte-Sponville qui fait l’objet d’un numéro spécial de la Revue internationale de philosophie, dirigée par Michel Meyer. Un honneur, évidemment, pour l’auteur du Petit Traité des grandes vertus, que certains

l’indicible, combler les failles en créant une « autre langue », différente de la langue littéraire bien carrée. Pour ce faire, il appert qu’il faille martyriser la langue et la syntaxe, les faire trembler, balbutier, bondir, chuter dans le vide. Deleuze remarque ainsi qu’il est possible de transposer la réalité, grâce à une écriture en mouvement, mais que cela nécessite d’« être un étranger dans sa propre langue » afin de parvenir à « bégayer dans sa propre langue », à « faire une ligne de fuite

familiale, l’affirmation du fait multiculturel, le vieillissement de la population, la montée de la précarité et de la pauvreté, le développement de l’habitation périurbaine, l’expansion corrélative des mobilités... creusent chaque jour ce que Gilles Deleuze appelait le devenir minoritaire de tout le monde1 . » Pour revenir à l’action municipale en matière sociale, le CCAS est une base administrative identique à toutes les communes, mais des particularités peuvent apparaître en fonction des difficultés

la nature: chasteté, anorexie, culte de la beauté et de l'artifice. Après la descente dans le tragique de l'«instinct» jusqu'à l'apocalypse de Germinal, Zola retrouvera la nature comme fécondité, promesse de renouveau et d'avenir radieux. Gilles Deleuze a proposé une définition du naturalisme comme catégorie esthétique, caractérisée par le doublage d'un «milieu déterminé» par un «monde originaire» fait de «pulsions» , qui «prolonge le réalisme dans un surréalisme particulier». Le naturalisme au cinéma

la nature: chasteté, anorexie, culte de la beauté et de l'artifice. Après la descente dans le tragique de l'«instinct» jusqu'à l'apocalypse de Germinal, Zola retrouvera la nature comme fécondité, promesse de renouveau et d'avenir radieux. Gilles Deleuze a proposé une définition du naturalisme comme catégorie esthétique, caractérisée par le doublage d'un «milieu déterminé» par un «monde originaire» fait de «pulsions» , qui «prolonge le réalisme dans un surréalisme particulier». Le naturalisme au cinéma

vieillit et s'affaiblit en nous et même ailleurs""164 - On pourrait voir dans le "retour" du texte nietzschéen,une application dans le domaine de l'écriture de l'idée fondamentale chez Nietzsche de l'éternel retour, ainsi explicitée par Gilles Deleuze: "[...] nous ne pouvons comprendre l'éternel retour lui-même que comme l'expression d'un principe qui est la raison du divers et de sa reproduction, de la différence et de sa répétition." Nietzsche et la Philosophie. Paris, éd. PUF, 1962, p.55. 162