Ontologie

mythe ? * 1.5 Hypothèses sur l'origine du texte * 1.6 La caverne et la cité à l'époque de Platon * 2 L'allégorie comme exposé de métaphysique * 2.1 L'accès au réel, le mouvement ascendant * 2.2 Allégorie de la caverne et ontologie platonicienne * 3 L'allégorie comme leçon sur les devoirs du philosophe * 3.1 Le mouvement descendant * 3.2 Autorité, soumission et pouvoir * 3.3 Une allégorie universelle * 3.4 Une allégorie intemporelle * 3.5 Une

..........................................................3 2 « Peut-on prouver l'existence du monde extérieur ? »........................4 2.1 Quelle est la cause de notre croyance en l'existence des corps ?.6 2.2 L'existence extérieure : deux ontologies possibles..................6 2.3 La perception............................................................................7 3 Les sens, la raison et l'imagination.....................................................7 3.1 Les sens...............

2 Contexte et rôle de cette allégorie dans La République 1.3 Allégorie ou mythe ? 1.4 Origine du texte 1.5 La Cité à l'époque de Platon 2 L'allégorie comme exposé de métaphysique 2.1 L'accès au réel, le mouvement ascendant 2.2 Allégorie de la caverne et ontologie platonicienne 3 L'allégorie comme leçon sur les devoirs du philosophe 3.1 Le mouvement descendant 3.2 Autorité, soumission et pouvoir 3.3 Une allégorie intemporelle 3.4 Une allégorie du déni de réalité (René Descartes) 3.5 Une allégorie du conditionnement 

mairie. ----- Fin de la question Revision de cours Chez Marx : Qu'est ce que la dialectique : L'idée que ce soit deux forces contradictoires, ici on parle de conflit de classe (bourgeoisie / proletariat), deux forces antagonistes. ONTOLOGIE : Position de l'auteur face a la nature objective de la réalité ou des réalités. Comment l'auteur voit le monde ? La représentation de la connaissance et du raisonnement ? Quelle est la position ontologique de l'auteur, soit le réalisme

Cela ne concerne la philosophie que par la politique (indirect). Il y a un ordre dans la réalité que la raison ne définit pas, qu’elle se contente de dévoiler.   ( Philosophie de la nature (cosmologie, psychologie) ( Métaphysique ou ontologie   Philosophie de la nature : science des principes premiers de la réalité mobile, en devenir (l’essence de la matière, du mouvement, de l’espace, etc…) Essence = ce qui fait qu’une chose est ce qu’elle est. (essence de l’Homme = la raison)

des moyens de restaurer les connaissances (Knowledge Management prend ici la même signification que Data Base Management). La gestion des connaissances a trois dimensions.11 4.6 La structuration des connaissances Ontologie, du mot grec ontos, signifiant être. Les ontologies désignent habituellement des hiérarchies de concepts rassemblant les notions utiles pour représenter les connaissances d'un domaine. 12 Les_dimensions_de_la_gestion_des_connaissances , de : http://fr.wikipedia.org/wi

pas pour elle auparavant, et qui est de dire qui nous sommes, de dire : qu’est-ce que notre présent, qu’est-ce que ça, aujourd’hui [sic] 3 ». Cette tâche est à la fois historique et anthropologique, car il s’agit d’une ontologie de l’actualité qui est tout à la fois une ontologie de nousmêmes : « je crois que l’activité philosophique conçut un nouveau pôle, et que ce pôle se caractérise par la question, permanente et perpétuellement renouvelée : “Que sommes-nous aujourd’hui ?” 4 ». Le philosophe

Or, cette dernière n’existe que dans le monde intelligible. D’où pour Platon, la métaphysique est une purification par l’accès à l’idée du Bien. 2) La métaphysique chez Aristote : Chez Aristote, la métaphysique revêt deux dimensions : elle est ontologie et théologie rationnelle. • L’ontologie : Aristote met en relief avec l’ontologie l’universalité de la métaphysique, dans le sens qu’elle s’occupe non pas d’un secteur de la réalité mais de la réalité dans sa totalité. Dans la ligne inaugurée

principes ultimes qu´il nous faut mobiliser pour dégager ainsi le sens de l´être ? Ces questions métaphysiques relèvent plus particulièrement de ce qu´on appelle, depuis le XVIIIe siècle, l´« ontologie », en recourant à un terme formé à partir du mot grec qui désigne ce qui « est » (to on : l´étant) : l´ontologie est le discours qui essaie de rendre raison de l´étant comme tel, dans ce qui fait qu´il est quelque chose et non pas rien. Platon avait été l´un des premiers à dessiner l´espace d´une telle

L’illusion peut dont être perçu comme un remède sédatif, guérisseur me protégeant du pathos. Finalement parce que l’Homme est un être soumis à l’insatiabilité de ses désirs, l’illusion lui est consubstantielle. Mais telle que Freud la définit, son ontologie est ambivalente. Si elle peut parfois se réconcilier avec la réalité elle peut à la fois prendre définitivement ses distances avec elle. La voila transformé idée délirante. Se laisser porter par son illusion est donc une entreprise dangereuse et