Ontologie

signifie « vie » aussi) le signe de cette union des contraires qui est au cœur de sa pensée : l’instrument qui porte la mort s’appelle vie également4. La guerre s’introduit donc dans le champ de la pensée occidentale comme l’élément central d’une ontologie. C’est chez les historiens (cités plus haut) qu’une théorie implicite de la guerre comme phénomène anthropologique apparaît. Les philosophes en parlent mais de manière rapide : il faudra attendre longtemps pour voir s’élaborer une véritable théorie

paradigmes, P1 et P2 et non pas une difference entre les formes des ecuations de P1 et P2. Adhere a des paradigmes differents c'est vivre dans des mondes differents. Ne feront pas les memes jugements de similitudes differences ils n'auront pas la meme ontologie ils n'accepterons pas le meme principe methodologique et la meme idee de scientificite. L'hommme de science travaille dans un monde different. Le monde pour l'homme de science n'est rien d'autre que ce que le paradigme dit du monde. ''Guide par

compris comme philosophique dans la mesure ou il ce distingue de la réponse mythologique. De vénération muette l’étonnement c'est transformé en interrogation et en quête rationnelle, la première question des penseurs pré-socratiques est ontologique ( ontologie : c'est la science de l'être ), elle a commencé à porter sur la nature les penseurs pré-socratiques ont tous peu ou prou (= plus ou moins ) tenté d'y répondre par la théorie des 4 éléments ( l'eau, le feu, la terre et l'air ) au lieu de l’interpréter

cogito, ou puis-je être un autre, totalement différent et étranger à ce que je me représente ? Y a-t-il un dédoublement de l’être ? Une opposition entre l’être et le paraître d’une part, entre le paraître et le représenté d’autre part ? En ontologie (science de l’être), on pourrait expliquer qu’il y a une surproduction d’être ; Moi-même, je pourrais être deux ou trois personnalités différentes. N’est-ce pas un peu surprenant ? Nous allons essayer de démêler les fils de ce nœud. Plan

impératif : ferme la porte ! ou encore sur les termes péjoratifs ou mélioratifs : le cleps (des termes insultants : le mot s’épelant « N-e accent grave-G-R-E » : remarquez que je ne prononce pas ce mot : pourquoi ? Son simple usage est insultant.)ontologie Une réalité morale ? Un accord ? qqchose en nous ?épistémologieComment sait-on ce qui est moralement correct, ce qu’on doit faire ?La raison seule ?Les émotions ? Autre faculté ? par exemple, de la même façon que nous connaissons tout le reste.On

produits standards à grande échelle recherchera des outils de codification de connaissances pour réaliser des offres standards et présenter des descriptions précises aux clients. 2.6 La structuration des connaissances Elle est appelée quelquefois ontologie, du mot grec ontos, signifiant être. L'ontologie étant ici une représentation formelle des connaissances (concepts, propriétés, relations). Il s'agit en effet de la structuration du cœur de métier de l'entreprise, de sa mémoire, avec des entités

cette vision, en traduisant le vide par la relation qu’il tisse entre les entités qu’il distingue. Cette relation vient s’exprimer dans cet intervalle d’espace-temps que génère le Ma. Par la suite, l’auteur vient faire la dichotomie entre deux ontologies spatiales et culturelles. Il fait apparaitre qu’au japon, le concept du vide, de l’intervalle ou du ma vient créer une connivence entre différentes entités spatiales juxtaposés. Pendant que la spatialité occidentale continuerait à tendre vers

l'Académie pendant plus de vingt ans, il prit ensuite une distance critique vis-à-vis des thèses de son maître et fonda sa propre école, le Lycée. Il fut également précepteur d'Alexandre le Grand. Sa conception de l'être comme « substance » (ou ontologie) et de la métaphysique comme « science de l'être en tant qu'être » influença profondément l'ensemble de la tradition philosophique occidentale, d'Alexandre d'Aphrodise à Martin Heidegger en passant par Thomas d'Aquin, et orientale, d'Averroès et

 inséparable  de  l’histoire  des  sciences.  Ques+on  récurrente  :   l’Homme   peut-­‐il  être  objet  des  sciences  ? La  Métaphysique  :   o Science  de  l’être  en  tant  qu’être  (ontologie).  C’est  Andronicos  de  Rhodes  qui  présenta  la   première  fois  la   no+on  de  «  méta   ta  phisica  »  signifiant  «  après  la  physique  »  :  chaque   savoir

toujours aussi fort. Selon Michel Tournier, l’histoire racontée dans un mythe est « fondamentale », c’est-à-dire qu’elle peut être lue comme une simple histoire, mais aussi comme une théorie, ou comme une morale, une métaphysique, une ontologie. Le mythe est « histoire fondamentale » car il fonde la pensée humaine, autrement dit il fonde l’humain. « L’homme ne s’arrache à l’animalité que grâce à la mythologie ». Nous pouvons préciser cette idée grâce au texte de Serge Boimare selon qui