Opposition Jeune Et Vieux

communautés chrétiennes à la loi, l’apôtre exprime une opposition radicale. Le mot « loi » désigne ce qu’on appelle la Torah. Selon la tradition juive, la Torah contient 613 commandements. Paul, en fin connaisseur de la loi dit, après sa conversion, qu’elle ne justifie pas. La loi conduit à la mort. Mais par la foi, l’homme est libéré de toute forme de légalisme. Dans cette vie de liberté, il est animé par l’Esprit. S’ajoute alors une autre opposition : l’Esprit vs. la chair. Vivre selon l’Esprit c’est

et « n’ » nous laisse paraître le pessimisme de l’auteur quand à la puissance de la ville. Lamentation V2-v7 : « rien » et « tout » : Opposition qui montre que Rome n’est plus ce qu’elle était. V2-v3 : « aperçois » et « vois » : Les rimes des vers 2 et 3 montrent qu’un simple coup d’œil suffit à comprendre que Rome n’est plus que ruine. V3-V4 : 3X mot « vieux » : Du Bellay insiste sur la décadence des monuments romains. La succession des monuments cités va dans l’ordre décroissant quand à l’importance

présentation et une situation du passage. Ici : *Présentation : Lorenzaccio = drame romantique d'Alfred de Musset ; Lorenzo est un jeune Florentin qui a décidé de tuer le duc Alexandre de Médicis pour délivrer la ville de son tyran et qui, pour approcher le duc, est devenu son compagnon de débauche. *Situation du passage : scène 3 acte III ; Lorenzo révèle au vieux Philippe Strozzi, un républicain, son intention mais il lui avoue aussi qu'il pense que ce meurtre sera politiquement inutile en raison

comme époux pour sa fille. Or, sa fille, Kany, n’aime pas Famagan et ne peut pas l’épouser parce que celui-ci est vieux et en plus polygame. D’autre part, ce mariage, s’il a lieu, comme le veut le père, empêchera la jeune fille de continuer ses études. En revanche, Kany aime Samou, un jeune homme de la même classe d’âge qui fréquente aussi l’école. Les trois frères cadets de la jeune fille se rallient autour de leur sœur, tandis que Sibiri, l’aîné, soutient leur père. C’est ainsi que se noue l’intrigue

FRANCAIS Commentaire: Le roi de France est vieux, Montesquieu INTRODUCTION : Montesquieu, né en 1689 et mort en 1755, est un moraliste,précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières. Il fait des études de philosophie, est passioné par les sciences et la politique; il s'attache à analyser la société à travers la littérature. En 1721, il devient célébre avec la publication des Lettres persanes. A partir de 1728, il voyage en Europe, y observe de nouvelles moeurs

avec le bruit du "gros sou" que donne en son honneur une mère de soldat en "vieux bonnet noir" et qui, seul, semble pouvoir faire sortir la divinité de sa douce torpeur d'après manger et boire ("nappes", "calices")... Cette insistance des verbes de sensation permet au poète de toucher le lecteur, de l'émouvoir plus intensément ; nulle argumentation ici d'ordre logique ou intellectuel : de simples rapprochements, des oppositions brutales permettent de nous faire saisir immédiatement les intentions de

La Guerre Importance de la place de "crachat". Un mot aux sonorités dures, terme très vulgaire et trivial, qui évoque le désagréable, le dérangement et le réalisme. "Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Nous avons un enjambement entre le vers 1 et 2 qui met en valeur le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique :

sur des mythes comme Eurydice (1942), Antigone (1944) ou Médée (1946).  L’œuvre de Jean Anouilh, apporte une nouvelle vision d’Antigone de Sophocle en ce sens on peut définir le prologue d'Anouilh par opposition à celui de Sophocle, comme de l'anti-théâtre. Fille d'Oedipe et de Jocaste, la jeune Antigone est en révolte contre la loi humaine qui interdit d'enterrer le corps de son frère Polynice. Présentée sous l'Occupation, en 1944, l'Antigone d'Anouilh met en scène l'absolu d'un personnage en révolte

VOLTAIRE, L’Ingénu, 1767 Chapitre 14 (en entier) "Progrès de l’esprit de l’Ingénu" Introduction. Enfermé en prison avec Gordon, un vieux prêtre savant et janséniste, l’Ingénu forme son esprit sans accepter toutes les idées de son maître. C’est sur le mode de la résistance, mais aussi sur celui de la raison, qu’il affirme sa différence. Après avoir défini la raison et la religion de l'Ingénu dans leur force naturelle, Voltaire complète le portrait (et le progrès) de son héros en en faisant

Parmi ceux-ci se trouve Hérodias qui est celui qu’il préfère. On retrouve dans ce récit les fastes et les particularités des civilisations orientales. Le passage étudié se situe presque à la fin du conte. L’extrait nous présente la danse d’une jeune fille, qui n’est autre que Salomé, la belle-fille d’Hérode. Danse au terme de laquelle on sait qu’elle réclamera la tête de Jean-Baptiste. Nous nous demanderons comment ici le réalisme de la description contribue paradoxalement au mythe. Nous étudierons