Opposition Ville Campagne

roman comique de Scarron. Le premier nous raconte l’histoire d’un jeune esclave qui part avec son maître qui va lui faire une blague. Le second deux personnes en quête de nourriture. Enfin le dernier l’arrivée d’une troupe de théâtre dans une petite ville. Quels rapports ces textes présentent-ils avec le modèle chevaleresque du voyageur ? Un modèle chevaleresque puis un voyage comique. On observe une pauvreté récalcitrante dans les trois textes, Dans le premier on observe une pauvreté avec un champ

sont creusés de plus en plus entre pauvres et riches : on parle d’ailleurs dorénavant de monde à plusieurs vitesse pour caractériser cette diversité. En effet, même si jusqu’au début des années 2000, la tendance générale était de dépeindre une opposition classique entre pays dits du « nord », riches et industrialisés, aux pays dits du « sud », pauvres et en plein développement, beau nombre de sociologues ainsi que de géographes se sont attachés à bouleverser ce schéma classique, en montrant que

le modernisme et la ville dans son recueil Les Fleurs du Mal , section « Tableaux parisiens ». · Se tourne vers une forme nouvelle, le poème en prose, dans son recueil intitulé Le Spleen de Paris ( Petits poèmes en prose ), écrit entre 1855 et 1864 et publié à titre posthume en 1869. · Souhaite livrer un témoignage sur l’étrangeté du quotidien (déambulations dans la ville – regard du journaliste)

analytique : Maupassant – Une partie de campagne Avant d’arriver à l’auberge particulièrement champêtre de Bezons, les Dufour passent successivement d’un paysage urbain à un autre intermédiaire. Paris, rejeté par les Parisiens, n’est désigné que par deux lieux : les Champs Elysées et la Porte Maillot. La description devient plus détaillée quand les personnages portent leur regard sur l’horizon de la proche banlieue. On peut l’interpréter ainsi : à l'horreur de la ville, de la culture, s'opposerait la

extrait du recueil Les villes tentaculaires, publié en 1895. Dans ce recueil, il fait un blâme des villes qui s’agrandissent et vident les campagnes. Il veut démontrer que le monde moderne peut devenir une matière poétique. On y trouve aussi de superbes formules d'espérance et de confiance dans l'avenir. Mais c’est également une étude de la vie dans une grande ville moderne. LE PLAN Ce poème peut se diviser en plusieurs parties : 1- Introduction lignes 1 à 4 : La plaine est morne 2- Lignes 5

sur une opposition très nette entre le cadre urbain et un cadre champêtre. Le vers 3 présente par exemple deux antithèses mises en valeur par le parallélisme des deux hémistiches : «  Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés » . Ces deux oppositions produisent un effet de rapprochement : le regard s’attarde sur des détails plus précis, à mesure que le poème progresse. Strophe 1Elle développe principalement la description de la ville, présentée

„quelqu’une de ses fantaisies“ -donc il décrit les Francais comme capricieux, trop superfitiels -cette critique directe est complétée de la critique des comséquences l.6 „combien il en coûte à un mari“ -il y a des oppositions temporelles l.27 „autrefois“ l.28 „aujourd’hui“ -ensuite des oppositions d’action l.23 „hausser, baisser“, l.18 „montent“, l.19 „descendre“ -cette critique explicite est complétée par une critique implicite -cette critique implicite fait une caricature b.Critique implicite (critique

champs qui a travaillé dès l'enfance » ➢ détail réaliste : « une casquette à la mode de Rouen, en soie noire, très haute, pareille à celle des marchands de bœufs » 2- La description des mœurs ➢ champ lexical de la campagne : « campagne », « campagnard », « masures de fermes », « en argile », « de chaume » ➢ anaphore et parallélisme : « On arrivait au village, un petit village en bordure sur la route, formé de dix maisons de chaque côté, maisons de bourg et masures

« Algérie » inspirée par la ville natale de Dib, où est décrit, dans une « écriture de constat », l'atmosphère de l'Algérie rurale Cette trilogie contenant trois grandes œuvres : La grande maison (1952) L’incendie (1954) et Le métier à tisser (1957), met en scène dans chaque roman le personnage Omar, l’accompagnant ainsi dans différents espaces et étapes de sa vie. Dib y témoigne tel un « écrivain public », à partir de faits authentiques, de la misère des villes et campagnes, des grèves des ouvriers

ce soit dans le roman ou dans le film, il y a une certaine organisation. Nous avons une forte opposition entre la campagne et la ville. Cette opposition structure le roman : d’un côté, nous avons Paris (la ville des plaisirs, par excellence) qui est le domaine de Mme de Merteuil, de la prostituée Emilie. D’un autre côté, nous avons le château de Mme de Rosemonde (qui se situe à la campagne). Lorsque Valmont reste chez sa tante, ce n’est pas laissé au hasard : il prend ses distances avec le