Oppositions Et Parallélisme Dans Tartuffe De Molière

Textes Chapitre 1 La comédie et la tragédie classiques Séquence 1 La comédie classique et ses précurseurs Le poète d’Hadrumetum (mosaïque) Molière, L’École des femmes D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 Aristophane, Lysistrata ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Molière, L’École des femmes TEXTE 2 Molière, Le Misanthrope D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Ménandre, Le Bourru TEXTE 3 Molière, L’Avare D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Plaute, L’Aululaire ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS Deux mises en scène de L’École des femmes

Problématique : En quoi l’orgueil des héros fait-elle hésiter cette scène entre le comique et le pathétique ? I- De la passion à l’homicide ? (l. 1 à 12) 1- Une peine de cœur (l.1 à 4)Parallélisme : « Emporté par son malheur, égaré par la surprise » → désespoir extrême Hyperboles : « du ton le plus tendre et qui venait de l’âme » → superlatif + mention de la partie la plus noble de l’Homme, décalage avec la réponse brutale de MathildeComplément

l’Antiquité. La tragédie (CORNEILLE, RACINE) se fixe des règles strictes ; MOLIÈRE critique les artifices des précieux au nom du naturel ; LA FONTAINE (Fables, 166893), BOILEAU (Art Poétique, 1674), LA BRUYÈRE (Les Caractères, 1688), s’inspirent d’auteurs grecs et latins. L’esthétique baroque (1580-1650) L’époque classique (1650-1700) Révisions 7 Cned – Académie en ligne Des polémiques opposent MOLIÈRE aux dévots (Tartuffe, en 1664, puis à nouveau en 1667), PASCAL aux jésuites (Les Provinciales

simplicité, l’équilibre, le respect des règles imitées de l’Antiquité. La tragédie (CORNEILLE, RACINE) se fixe des règles strictes ; MOLIÈRE critique les artifices des précieux au nom du naturel ; LA FONTAINE (Fables, 1668-93), BOILEAU (Art Poétique, 1674), LA BRUYÈRE (Les Caractères, 1688), s’inspirent d’auteurs grecs et latins. Des polémiques opposent MOLIÈRE aux dévots (Tartuffe, 1664 - 1667), PASCAL aux jésuites (Les provinciales, 1656), ou divisent les écrivains (Querelle des Anciens et des Modernes

théâtral ▶ Distinguer la notion de genre de celle de registre ▶ ▶ Approfondir votre connaissance du théâtre classique Revoir les règles du théâtre classique ▶ Revoir la notion de registre comique ▶ Étudier une pièce de Molière dans son intégralité ▶ Mieux connaître et mieux maîtriser les mouvements artistiques et littéraires des XIXe et XXe siècles, en particulier le romantisme, le Parnasse, le symbolisme et le surréalisme ▶ Comprendre le fonctionnement

lettres qui sautent du coq à l’âne (renvoi de Catau aux moustiques), propension aux néologismes, ponctuation expressive- fort travail de théâtralisation de ses lettres pour les rendre + vivantes et + plaisantes . récurrence de persos secondaires, réf à Molière- pour Freidel, on a trop négligé présence du potin, du ragot et de la raillerie qui sont légion . mariage du duc de Ventadour suscite moqueries récurrentes, à cause contraste entre la laideur du duc « monstre » et la beauté de sa future épouse, Mlle

« poétique » spécifique du genre, les rapports implicites qui lient le texte à des œuvres connues figurant dans son contexte historique (intertextualité), et enfin l'opposition entre fiction et réalité, fonction poétique et fonction pratique du langage, opposition qui permet toujours au lecteur réfléchissant sur sa lecture de procéder, lors même qu'il lit, à des comparaisons. Ainsi, l’horizon d’attente peut permettre de comprendre le rôle des genres. En effet, le genre sert à modeler un horizon d'attente

œuvres d’art significatives étudiées en classe et associées à des mouvements culturels (livre de l’élève, chap. 2 et 3, pp. 24-37). *2. Situer auteurs et œuvres dans différents mouvements L’humanisme  : Montaigne, Essais – Le classicisme : Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal

Si E1 (13) construit le discours qu'assume le personnage E2 et dont celui-ci s'affirme auteur et responsable, le scripteur E1 dégage sa responsabilité de ce discours ; et il est vain de le lui attribuer. Non, Alceste, n'est pas le porte-parole de Molière, pas plus que Philinte, d'ailleurs. Il n'y a pas d'auteur-scripteur dont la voix se fasse entendre directement dans le dialogue de théâtre ; l'auteur E1 est responsable de la totalité du texte de théâtre (fable + paroles de tous les personnages +

l’amant sont-elles une condition sine qua non de l’amour que consentirait à lui porter la dame ? On pourra rapprocher cette étude de cas de la question du « mérite » chez Corneille et de celle de l’« honnête homme » – Alceste du Misanthrope – chez Molière. ... à vous de participer au jeu poétique... (p. 38) On veillera à obtenir des élèves une définition acceptable du paradoxe, dont il retrouveront maints exemples au XVIIe siècle. 5 Réponses aux « … à vous… » Moyen Âge L’exercice peut