Oraison Du Soir

avec une certaine curiosité par ce vieillard, se retourna, et dit brusquement : – Quel est ce bonhomme qui me regarde ? – Sire, dit M. Myriel, vous regardez un bonhomme, et moi je regarde un grand homme. Chacun de nous peut profiter. L’empereur, le soir même, demanda au cardinal le nom de ce curé, et quelque temps après M. Myriel fut tout surpris d’apprendre qu’il était nommé évêque de Digne. Qu’y avait-il de vrai, du reste, dans les récits qu’on faisait sur la première partie de la vie de M. Myriel

dans les jardins de Versailles à l'occasion des fêtes pour la conquête de la Franche-Comté. La mort de Molière Les circonstances La page du registre de La Grange qui relate la mort de Molière. « Ce même jour après la comédie, sur les 10 heures du soir, M.de Molière mourut dans sa maison rue de Richelieu, ayant joué le rôle du Malade imaginaire… » Fauteuil utilisé par Molière lors de sa dernière représentation et dans lequel il serait mort exposé à la salle Richelieu de la Comédie-Française.

tu veux le taureau qui rumine, la chèvre qui broute et laisse-nous rire de tes satires. 174 boSSuet Oraison funèbre d’Henriette d’Angleterre Objectifs page 182 – Analyser les procédés lyriques dans un texte en prose – Étudier l’art classique Repères Au siècle, le mot « oraison » (du latin ratio) avait le sens de « discours », sans nuance religieuse : on parlait des « oraisons » de Cicéron. Mais Bossuet ne pouvait se satisfaire d’une conception aussi profane. Voici comment il conçoit

avec une certaine curiosité par ce vieillard, se retourna, et dit brusquement : – Quel est ce bonhomme qui me regarde ? – Sire, dit M. Myriel, vous regardez un bonhomme, et moi je regarde un grand homme. Chacun de nous peut profiter. L'empereur, le soir même, demanda au cardinal le nom de ce curé, et quelque temps après M. Myriel fut tout surpris d'apprendre qu'il était nommé évêque de Digne. Qu'y avait-il de vrai, du reste, dans les récits qu'on faisait sur la première partie de la vie de M. Myriel

rose apparaît sur son astéroïde. L’élément perturbateur qui pousse le petit prince à entreprendre son voyage à travers l’univers arrive quand la rose, pour qui il commence à éprouver des sentiments sans le savoir, lui ment sur sa provenance.   « Le soir vous me mettrez sous globe. Il fait très froid chez vous. C’est mal installé. Là d’où je viens… » Mais elle s’était interrompue. Elle était venue sous forme de graine. Elle n’avait rien pu connaître des autres mondes. Humiliée de s’être laissée surprendre

je pourrai la monter ce soir-même ? — Non. — Pourquoi ? Artem se mit à rire doucement, les yeux plissés, la bouche fendue sur une dentition jaune et serrée : — Ah ! Quel gamin ! Monte donc ton cheval de poupée, et laisse les vrais chevaux aux vrais hommes. — Tu crois que la jument me désarçonnerait ? — Allah ! Allah ! Que dirait ton père si tu te fracassais l’épaule ? — Il dirait qu’un vrai Tcherkess doit savoir tout supporter sans se plaindre… — Peut-être… Mais, le soir même, il me convoquerait

avec une certaine curiosité par ce vieillard, se retourna et dit brusquement : – Quel est ce bonhomme qui me regarde? – Sire, dit M. Myriel, vous regardez un bonhomme et moi je regarde un grand homme. Chacun de nous peut profiter. L’empereur, le soir même, demanda au cardinal le nom de ce curé, et quelque temps après M. Myriel fut tout surpris d’apprendre qu’il était nommé évêque de Digne. Qu’y avait-il de vrai du reste dans les récits qu’on faisait sur la première partie de la vie de M. Myriel

avec une certaine curiosité par ce vieillard, se retourna, et dit brusquement : – Quel est ce bonhomme qui me regarde ? – Sire, dit M. Myriel, vous regardez un bonhomme, et moi je regarde un grand homme. Chacun de nous peut profiter. L’empereur, le soir même, demanda au cardinal le nom de ce curé, et quelque temps après M. Myriel fut tout surpris d’apprendre qu’il était nommé évêque de Digne. Qu’y avait-il de vrai, du reste, dans les récits qu’on faisait sur la première partie de la vie de M. Myriel

naturelles. Rabelais était à peine mort que Ronsard lui composait une épitaphe bachique qui allait fixer pour des siècles sa physionomie de Silène bouffon On le libre : Jamais le soleil ne l'a veu Tant fut-il matin qu'il n'eust bcu, Et jamais au soir la nuit noire, Tant fut tard, ne l'a veu sans boire. Car altéré sans nul séjour Le gallant boivoit nuit et jour. Mais quand Tardante canicule Ramenoit la saison qui brûle, Demi-nus se troussoit les bras, Et se couchoit tout plat à bas Sur la jonchée

pourquoi il reçut le coup de pierre et perdit sur le long de sa joue un petit sang cou lant. Qui donc avait lancé la pierre ? Les réponses à cette question furent tellement prolifiques que la vérité vraie nous échappa toujours. Pourtant, le dimanche soir des années bissextiles, il nous arrive de soupçonner le plus terrible des habitants de Texaco : un surnommé Julot-la-Gale, qui n’éprouve aucune peur sinon celle du retour sur terre de sa manman défunte. Mais, sitôt la mise en terre de cette marâtre