Ordonnance Civile Touchant La Réformation De La Justice

il y avait un certain nombre de formation, de mise à l’épreuve à la suite desquels «étaient prononcés des vœux et la prononciation solennelle de ces vœux entrainaient la mort civile » : celui ou celle qui avait prononcé des vœux perpétuels n’avaient plus la capacité de succéder, d’acheter, de vendre, plus de capacité civile, sa personnalité était fondue dans l’ordre (en cas d’héritage, c’est l’ordre qui le reçoit). En 1789, la déclaration des droits de l’homme remet en cause ce droit d’aliéner sa

de France à être qualifié de « majesté » pour monter son inégalité avec ce que l’on connaît: « majestas ». Il a autant de pouvoir que l’empereur. Tout ca fait que l’on va établir une liste non exhaustive de droits régaliens ( rendre et faire bonne justice, droit de grâce, faire la guerre , alliances et traités, faire la loi, battre monnaie, lever l’impôt, créer des offices, anoblir les roturiers). Dés lors cette structure moderne repose sur des hommes que l’on appellent grands officiers royaux et sur

jugements. Le droit n'est ni la morale, ni la justice. Le plus illustre représentant est KELSEN avec la pyramide des normes. Une norme est valable que si elle est conforme à une norme supérieure. Pour KELSEN, le système est vérouillé par la GRUNDNORM (au-dessus de la Constitution). B) La définition par les finalités du droit Le droit pourrait avoir comme finalité l'ordre et la justice. Qu'est-ce que la Justice ? Dans l'Antiquité, la justice est le SUM QUIQUE TRIBUERE (rendre à chacun son

l’aristocratie qui va se scinder en deux camps : Les populares, ceux qui sont sensibles au idéaux de la défense populaire. Les optimates, ils méprisent la Plèbe, ils la craignent et veulent la maintenir à sa place. → Conséquences de ces crises : GUERRES CIVILES Au II s av JC, les frères Gracques, chevaliers publicains populares. Tibérius, frère ainé, veut créer une réforme agraire. →redonner les terres de l’agere publicus en indemnisant les propriétaires aux pauvres. La loi est votée mais la nobilitas

loi, de la justice et de l’équité). Il y a l’idée de la vigueur du droit (une loi est en vigueur, elle a de la force) mais le droit c’est aussi l’idée de la balance. Il y a donc aussi l’idée de la Justice. Allégoriquement le droit c’est Thémis et on lui donne 3 attributs : une épée (un glaive) pour la force et la puissance, la volonté. Elle a une balance pour la justice, la rétribution et finalement elle a le bandeau sur les yeux. Il symbolise l’idée d’impartialité. « Sans la justice la force n’est

la bataille. En tant que juge le roi : est compétant pour les crimes qui portent atteinte à la communauté dans son ensemble. Les crimes qui relevé du roi sont : - Le meurtre d un pater - La trahison : le perduelio Pour tout le reste c'est la justice gentilis qui s applique. c) Les auxiliaires du roi Dans son gouvernement le roi est assisté par des auxiliaires de 2 sortes : - sénat : primitif ressemble a une sorte de cours féodale dans laquelle des seigneurs disposent d une armée composée

technique juridique (ex : recours pour excès de pouvoir) => instrument juridique au service de la collectivité - élément de l’organisation politique et sociale avec ou sans autonomie ; s’orientant vers l’individualité (ex : champs cadastré / cours de justice) • Détermination, D’un point de vue interne, une institution présente 3 caractéristiques : - une mission à accomplir - un personnel affecté à l’accomplissement de cette mission - un principe de continuité ; une institution quelle qu’elle

certaines situations méritent désormais d’être protégées par le droit. Les préteurs avaient la haute main sur la détermination et la fixation des actions en justice. C’est une prérogative fondamentale : d’un bout à l’autre du droit romain, on a toujours considéré qu’un droit n’existait pas dans l’abstrait, mais seulement dans les actions en justice. Les préteurs vont exercer cette compétence par le biais de l’édit d’entrée en charge. a) L’édit d’entrée en charge du préteur Tous les

bel inventaire des droits exigibles des citoyens romains. * Elle liste les hypothèses pour lesquelles un magistrat peut être ordonné à régler une affaire. Celui ci dès son ordonnance, ne peut refuser la mise en procès. * Le droit privé, la propriété, l’ordre de succession, la question de la responsabilité civile, les crimes capitaux ainsi que les déroulements personnels des procès sont fixé. Désormais l’ordre juridique est stabilisé. * L’arbitraire s’en voit limité. * Après cette

certaines situations méritent désormais d’être protégées par le droit. Les préteurs avaient la haute main sur la détermination et la fixation des actions en justice. C’est une prérogative fondamentale : d’un bout à l’autre du droit romain, on a toujours considéré qu’un droit n’existait pas dans l’abstrait, mais seulement dans les actions en justice. Les préteurs vont exercer cette compétence par le biais de l’édit d’entrée en charge. a) L’édit d’entrée en charge du préteur Tous les magistrats romains