Ordonnance De Charles Vi 1403

et de Bourgogne) Clovis III Childebert III Dagobert III, invasion arabo-musulmane en Espagne Chilpéric II, Charles Martel, maire du Palais Thierry IV Lettre du pape Grégoire II à Charles Martel pour lui demander d'aider Boniface dans sa mission d'évangélisation Le titre de princeps est appliqué pour la première fois à un maire du palais, Chartes Martel, et non plus au roi Victoire de Charles Martel près de Poitiers sur les Sarrasins (musulmans) Vacance du pouvoir royal Childéric III, dernier roi mérovingien

Charles VII de France[1], dit Charles le Victorieux ou encore Charles le Bien Servi, né à Paris le 22 février 1403 et mort à Mehun-sur-Yèvre, entre Bourges et Vierzon, le 22 juillet 1461, fut roi de France de 1422 à 1461. Il est le cinquième roi de la branche dite de Valois de la dynastie capétienne. Charles VII est le fils de Charles VI et d'Isabeau de Bavière[2]. Roi indissociable de l'épopée de Jeanne d'Arc, il réussit à renverser une situation compromise pour se faire sacrer à Reims le

Philippe V en 1322, n’ayant que des filles c’est son frère Charles IV qui lui succéda sans contestation. Puis à la mort de Louis XII en 1515, nul ne songera à ses filles, et encore à la mort de François II en 1560, la couronne passant à ses frères Charles IX puis Henri III. b. La seconde étape : l’exclusion des parents par les femmes. Les principes de masculinité et de collatéralité se sont affinés plus encore à la mort de Charles IV, qui lui aussi n’avaient que des filles. Trois prétendants

Entre 768 et 771 le royaume des Francs sous domination Carolingienne est gouvernée par deux rois : Charles et Carloman. En 771, décès miraculeux de Carloman, Charles devient l’unique roi des Francs jusqu’en 814 (Charlemagne en 800 car sacré empereur) qui fait des victoires militaires en 754 puis en 774 contre les lombards et ca ouvre une période de conflit entre la papoté et le roi. En 781, Charles offre la Lombardie à son fils Pépin. L’Aquitaine est remise à Louis son second fils (Louis le pieux)

néanmoins à poser les bases de l'Etat moderne et ce par une série de réformes qui tendent à le rendre maître de son territoire. Le royaume des Francs se transforme peu à peu pour devenir le royaume de France. La date de 1254, celle de la grande ordonnance de Louis IX, est retenue par la plupart des historiens médiévistes comme la plus importante dans l'histoire de l'idée de réforme en France. Revenu de sa captivité en Terre Sainte, Louis IX, à l'issue de cette épreuve spirituelle et matérielle, juge

Terrevermeille. Ce personnage est un juriste qui a vu la formulation de cette théorie pressée par les évènements. Il a en effet soutenu la cause du dauphin mis à l’écart par le Traité de Troie de 1420 plaçant ainsi à la tête du royaume, le roi Henri V puis Henri VI d’Angleterre. Dès lors, par cette théorie, l’héritier est dit « nécessaire » et la continuité de la Couronne est réaffirmée. Mais comment la continuité monarchique se manifeste-t-elle plus précisément ? Quelles conséquences va-t-elle engendrer ? En

système de preuve, à savoir l’enquête par TURBE. Il s’agit d’une sorte de jury dont les membres sont interrogé sur la coutume et ont pour rôle de répondre collectivement sur le point qu’il fait difficulté. L’enquête par tube est réglementé par une ordonnance de St Louis et à partir du 14e S Son fixé à 10 le nombre de témoins appelé à former la turbe. PARAGRAPHE 2 : L’air géographique et le domaine de la coutume L’aire géo de la coutume Elle est applicable à un territoire donné = détroit ou ressort

plusieurs grands fiefs. En 1316, le principe d’exclusion des femmes à la couronne est définitivement admis. Les précédents ne vont pas tarder à jouer et à devenir coutume. En 1322, Philippe V meurt en ne laissant que des filles : c’est son frère, Charles IV qui, en les écartant, lui succède sans contestation. En 1328 apparaît l’exclusion du principe de descendants par les femmes. A l’appui, on observe que les femmes n’ont aucun droit à la couronne aux termes de la règle posée en 1316. Un adage

l’hérédité triomphe (au XIIIeme), l’association au trône disparaît. Le sacre ne pouvant avoir lieu immédiatement, il y a nécessairement une coupure, un interrègne durant lequel la fonction royale n’est pas remplie. Pour éviter cela 2 ordonnances de Charles VI (1403 et 1407) décident que l’héritier du trône est tenu pour roi dès la mort de son prédécesseur, sans attendre le sacre. De fait le roi de France ne meurt jamais, définitivement formalisé à la mort de Louis XII (1515) : « le roi est mort,

réformes militaires Charles VII - copieTD - Exposé Histoire médiévale : Ebauche de plan pour le moment : Accroche : « Les lettres qu’il escripvoit estoient juridicques et toutes les faisoit veoir et mectre au Conseil, autrement ne les eust signées. Toutes les lettres ainsi veues et expédiées il lisoit de mot à mot et après les signoit de sa main, ne jamais n’eust cachet que la signature de sa main.  », selon l’extrait en annexe du livre de Philippe Contamine sur Charles VII, qui révèle du