Ordre de Saint-Benoît

Séances  | LES TEXTES PRESENTES | Daniel Liotta : le monde correctionnaire. | Michel FoucaultHistoire de la folie à l’âge classique  | Ronald Bonan : Ontologie de la dimension intersubjective. | Maurice Merleau-PontyPréface de Signes |  Benoît Spinosa : ordre et système. |  Michel FoucaultLes mots et les choses. |  Daniel LiottaLa sanction normalisatrice |  Michel FoucaultSurveiller et Punir  | Alain LacroixLes abdications de l’empirisme | Pierre BourdieuLe Métier de sociologue |  Marie-Jeanne

monastiques obéissent à des règles de fonctionnement différentes (mais les croyances religieuses restent les mêmes). Ils portent souvent le nom du monastère ou de l'abbaye où leur ordre religieux a été créé. Au début du xie siècle c'est l'ordre clunisien qui est très important (de l'abbaye de Cluny). Les moines bénédictins de cet ordre partagent leur temps entre la prière et les travaux manuels. Leur rituel religieux se fait dans des églises au décor fastueux. Ils ont aussi des bibliothèques importantes pour

L'ordre du Temple était un ordre religieux et militaire international issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge, ses membres étaient appelés les Templiers. Cet ordre fut créé le 22 janvier 1129[1] à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent

intitulé « Manifeste des 121 », sous-titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie », il est publié le 6 Septembre 1960. Il s’agit d’une déclaration pétitionnaire écrite et publique, issu à l’origine du groupe de la rue Saint-Benoît puis pensé et rédigé par Dionys Mascolo et Maurice Blanchot avec la collaboration de Jean Schuster dans le magazine Vérité-Liberté avant d’être signé par des intellectuels. Le penseur Dionys Mascolo, écrivain français, il est né en 1916 et est

La Compagnie de Jésus (abrégée s.j. : Societas Jesu) est un ordre religieux fondée par Ignace de Loyola et approuvé en 1540 par le pape. On appelle ses membres les Jésuites. Les Jésuites peuvent être prêtres, frères ou étudiants. Comme les autres religieux catholiques, ils professent les trois vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance à leur supérieur, après leurs deux années de noviciat. Ils prononcent aussi un vœu qui leur est propre : l’obéissance au pape. Le sceau de la Compagnie, ou christogramme

monastiques obéissent à des règles de fonctionnement différentes (mais les croyances religieuses restent les mêmes). Ils portent souvent le nom du monastère ou de l'abbaye où leur ordre religieux a été créé. Au début du xie siècle c'est l'ordre clunisien qui est très important (de l'abbaye de Cluny). Les moines bénédictins de cet ordre partagent leur temps entre la prière et les travaux manuels. Leur rituel religieux se fait dans des églises au décor fastueux. Ils ont aussi des bibliothèques importantes pour

infusion remplaça le baptême par immersion. Basilique: A partir du IVe église construite sur ce plan adapté aux exigences du culte. La plupart ont trois nefs. Type d'église répandu en occident jusqu'à l'époque carolingienne. Bénédictins: Ordre religieux fondé par st Benoit de Nursie (480-547) et qui, par des réformes successives, donne lui-même naissance à d'autres ordres ou congrégations, telles que Cluny à partir du Xe, et Cîteaux à partir de l'extrême fin du XIe siècle. Bénéfice: Terre tenue par un

Verdun en 843. Le morcellement féodal des siècles suivants, puis la division de l'Europe en États-Nations rivaux condamnent à l'impuissance ceux qui tentent explicitement de restaurer l'empire universel de Charlemagne, en particulier les souverains du Saint-Empire romain germanique, d'Otton Ier en 962 à Charles Quint au XVIe siècle, ou encore Napoléon Ier, hanté par l'exemple du plus éminent des Carolingiens[3]. Pourtant, Charlemagne peut être considéré comme le « Père de l'Europe »[4],[5],[6], pour

selon le Concile de Trente qui traita ensemble, dans sa 14ème session, des deux sacrements (cf. Denz. 907) ; mai elle est « véritablement et proprement un sacrement institué par le Christ », indépendant, celui qui a été « insinué » par saint Marc et « promulgué » par saint Jacques (cf. Denz. 809 et 926). Le Sacrement des malades, comme sa nouvelle appellation l’indique opportunément et comme l’indique clairement l’Apôtre St. Jacques, est le Sacrement qui a été institué par Notre-Seigneur pour venir en

monastères ou prieuré et soucieux de réforme et de rigueur dans l’application de la règle de St Benoit. Il quitte Molesme (qu’il avait fondé en 1075) face une révolte des moines qui n’acceptent pas son souci d’austérité ; il obtient du légat du pape la possibilité de fonder dans une vallée appartenant à Eudes, duc de Bourg ogne, un nouveau monastère Cîteaux et d’y appliquer son interprétation de la règle de St Benoit - Qui était Bernard de Clairvaux ? Moine ayant vécu de 1091 à 1153, canonisé en 1174