Organisation De La Chretiente Medievale

siècle) *conquête perse *Alexandre Legrand (332 av jc). L’Egypte passe sous la domination Chrétienne. Puis annexion a Rome en 30 av jc. Pourquoi on a des traces de l’Egypte et de la Mésopotamie ? Car c’est un pays extrêmement fertile, une organisation sociopolitique très forte et une religion collective en étroite liaison avec le pouvoir. Quels documents possédons-nous? Beaucoup d’acte relatif a la pratique, pas de livre de droit mais beaucoup de recueils d’instructions. Dans ces recueils

élaboration tout à fait particulière, dont nous n’avons pas le souvenir, ou dont les économistes eux-mêmes n’ont pas le souvenir, bien que ça les travaille, sans qu’ils le sachent. Ce mot a connu toute une élaboration par les pères de l’Eglise, par la chrétienté, a traversé ce qu’on appelle aujourd’hui non pas la fin de l’empire romain mais l’Antiquité tardive, les premiers siècles de l’ère dite chrétienne, en tout cas dans cette partie du monde. Et ensuite une élaboration constante chez les théologiens

d’énormes progrès en peu de temps. Exemples : • les conditions de travail au 19ème • la diffusion des technologies. L’histoire n’est jamais neutre. Cela ne veut pas dire que l’histoire soit inutile. Exemple d’un historien qui s’intéresse au rôle de la chrétienté dans les développements politiques de l’occident. Pensée économique ? Pourquoi pas histoire des faits économiques ou encore des théories économiques ? Les faits économiques : • les grandes découvertes 1495 • la première société par action • le

après la mort, parce que le gui reste vert malgré la chute des feuilles des arbres en hiver. On croit que les Gaulois pratiquaient les sacrifices humains dans quelques rares occasions. Les romains ont apporté en Gaule leur langue, le latin, leur organisation sociale, leur droit, leur mode de justice et d’administration. Ils construisent des cités, des fortifications ou oppidum, comme, à Lutèce, sur la rive gauche de la Seine, des arènes, comme à Nîmes ou à Lutèce, des thermes (ceux de Lutèce sont visibles

marché sans passer par un autre principe. Les individus ont des rapports grâce aux échanges. I/ Les grandes idées Etape 1: réflexion sur l'économie Elle se déroule sur une grande période allant de l'antiquité grecque au Moyen-âge (réflexion médiévale) Ces deux grandes époques ont une chose en commun : la réflexion sur l'économie n'est pas autonome. Les auteurs n'ont pas l'objectif de fonder une science économique. Dans l'antiquité grecque, ce qui prévaut c'est la réflexion sur l'éthique

patriarches d’Orient Pape : le patriarche romain est considéré comme le père de toutes les églises 1er pape : Sirice (384-399) 1er à émettre une décrétale (réponse que le pape effectue par voie épistolaire) ⇨ 1er à légiférer pour l’ensemble de la chrétienté ⇨ Droit canonique C) La reconnaissance d’une juridiction ecclésiastique par l’Etat romain - Début 4ème siècle : on formalise cette juridiction (tribunal de l’évêque) ⇨ audientia episcopalis 1) L’audientia episcopalis - 318 :

monde se situait en Russie et en Pologne encore peu avant la Première Guerre mondiale, le Dr Segal reprend : La guerre de 1914-1918 a détruit les dernières traces de la société juive en déclin qui menait une fruste existence dans les ghettos semi-médiévaux de Pologne et de Lituanie : quoique s’affaiblissant, ces communautés constituaient cependant le dernier refuge du judaïsme dans la diaspora. En elles survivaient encore quelque chose de la vieille vie juive, des vieilles institutions, pratiques et

il n’y a pas de système de pouvoir. Les choses fonctionnement avec un certain bonheur, de façon empirique. Mais avec les conquêtes, les peuples nouveaux doivent être administrés et pour qu’ils le soient efficacement, il a fallu constituer une organisation politique ordonnée. Les institutions romaines s’avèrent finalement limitées, insuffisantes. Et toute une série de conflits éclate, notamment un siècle avant JC. Et ces conflits entre la plèbe et le pouvoir débouchent sur la naissance du concept

pouvoir de banc découle du mundium, il renvoi au gouvernement et au pouvoir de contrainte. L'obéissance due aux rois est inconditionnelle. Le pouvoir va s'organiser entre un pouvoir central (roi et entourage proche) et un pouvoir local. Cette organisation s'inspire de l'exemple romain. Le roi est a cette époque itinérant (il se déplace, avec une cour importante). Entre le roi et son entourage ie des liens personnels formalisés par des serments de fidélité. Le roi est considéré comme le maître de

société libérale non finalisée, sans projets humains mobilisateurs. De nouveaux raccords s'établissent entre le privé et le public, la conscience et la politique, les changements de mentalité et les transformations de structures. On exige des organisations et des leaders politiques, financiers, syndicaux ou autres un souci prioritaire de l'intérêt général, un respect plus évident de la démocratie. Et les citoyens eux-mêmes s'interpellent sur leur volonté réelle d'implication dans la mise en place