Organisation De La Chretiente Medievale

sociales. Pr les hébreux, la Torah devait permettre l’économie d’un système juridique autonome en plaçant la loi morale et religieuse au dessus de tte loi civile, voir en rendant cette loi civile inutile. Par là s’est développée au sein même de la chrétienté naissante une réévaluation de la loi morale et de l’idée générale de justice contre la pensée juridique latine. On trouve en effet ds les textes des pères de l’Eglise chrétienne l’expression de cette dépréciation du droit positif au produit de

exacte, l'objectivité n'est jamais totale. Le seul fait de s'intéresser à ceci plutôt qu'à cela introduit un biais dans l'explication que l'on va fournir d'un bout d'histoire présélectionné. Par exemple, l'historien qui s’intéresse au rôle de la chrétienté dans les développements politiques de l’occident a clairement choisi de chercher les explications du développement dans une direction. Il aurait pu tout aussi bien s'intéresser au climat ou à la géographie mais il a choisi de se pencher sur l'Eglise

avaient accès à la lumière de l'antiquité et qu'ils redécouvraient les textes classiques ,ce qui sous-entend que ces textes auraient été perdus, ce qui est faux puisqu'il y a des preuves de leur usage; on enseignait Aristote dans des universités médiévales, on a accès à Platon et beaucoup de textes antiques sont disponibles dans les scriptoriums des monastères. Que le moyen âge fût une période sombre est un mythe historiographique qui a été colporté par les humanistes, qui a été repris pas la suite

et un serf à la terre, tandis que le prolétaire est attaché à son travail. Le prolétaire a des revendications, il constitue ses propres organisations politiques et cela perturbe donc le pouvoir de la bourgeoisie. Il remet en cause la bourgeoisie bien que cette dernière forme ses propres organisations. De cette organisation va naître une nouvelle organisation : l’Etat. B/ Histoire de la construction de l’Etat L’Etat n’est pas une construction naturelle : il n’a pas toujours existé. 1- L’existence

susciter un mouvement intellectuel important dans la pensée générale. Cette découverte se fera à l’université de Bologne en Italie, ce qui va engendrer ce que les européens appellent la renaissance du droit romain en Europe occidentale. L’occident médiévale va recevoir l’œuvre de Justinien et va se l’approprier, de cette manière le droit romain finira par être mélangé aux coutumes barbares d’origine germanique et de ce mariage naitra le droit qui sera propre aux états de traditions romano-germanique

de qualités intellectuelles, morales, esthétiques - instauration d’une relation avec Dieu en opposition avec celle qui était jusque là en vigueur. Début des temps modernes : 1453 : Chute de Constantinople : désunion entre les 2 chrétientés occidentales et orientales. 1450 : Invention de l’ Imprimerie. Premières années du 16ème, en France , dans les esprits , on voit l’apparition d’un sentiment de rupture avec le monde ancien dit « gothique ». Cet état d’esprit est déjà très répandu

...................................................................................... 2 LES DEMARCHES DE TRAVAIL DES HISTORIENS DE LA PENSEE ECONOMIQUE .................................................................. 3 1 LA PENSEE ECONOMIQUE MEDIEVALE : XII ............................................................................................ 6 SECTION 1 : LE PRIX ET LE JUSTE PRIX ...........................................................................................................

redécouvert en occident au 12e siècle et va susciter un mouvement fondamental. En Effet cet découverte seras faite en Italie à Bologne et cette découverte va engendrer la renaissance du droit romain du 12e siècle en Europe occidentale. L'occident médiéval va recevoir l'oeuvre de justinien et va se l'approprier de cette manière le droit romain seras mélangé aux coutumes barbare et de cette conjugaison apparaitra alors le droit propre au états de traditions romano-germanique. C La Coutume La période

facilement accessibles que d’autres à la généralité des lecteurs, voire même déjà plus ou moins familières à un certain nombre d’entre eux ; il est évident que cela est entièrement indépendant de ce que chacun peut penser de l’état présent des organisations par lesquelles ces formes initiatiques sont conservées et pratiquées. Quand on se rend compte du degré de dégénérescence auquel en est arrivé l’Occident moderne, il n’est que trop facile de comprendre que bien des choses d’ordre traditionnel, et

à la vie sociale et aux arts. On remarque que Whitehead recherche d'emblée à atteindre les « types plus fondamentaux du symbolisme » dans « la langue et l'algèbre », plutôt que dans les manifestations d'un symbolisme « superficiel » à l'époque médiévale. Serait-ce donc là un témoignage d'un « antihistoricisme » de Whitehead, puisque pour lui, « le seul fait qu'il puisse être acquis dans une époque et abandonné dans une autre témoigne de sa nature superficielle » ? Cela est confirmé par ce qu'il