Origine Du Toyotisme

FACTEURS DE PRODUCTION, PRODUCTIVITE, CROISSANCE Questions : 1. Les caractéristiques du facteur travail 2. Le capital technique, facteur de production 3. La productivité du facteur travail 4. Les gains de productivité : origine et répartition ? 5. Les déterminants de l'investissement de l'entreprise ? 6. L'origine de la croissance économique 7. Le progrès technique, les gains de productivité et l'emploi ? 1. Les caractéristiques du facteur travail La population

modèles d'organisation du travail et de la production, les relations entre la fabrication et le marché et entre la fabrication et son environnement de services. Ces changements sont maintenant repérés, sous des désignations diverses (postfordisme, toyotisme, production flexible, etc.), par des élaborations théoriques qui mettent l'accent sur le noyau industriel, technologique, de la production manufacturière. LES EFFETS D'AGGLOMÉRATION Ces changements impliquent l'espace. Les activités les plus dynamiques

– les enjeux économiques s Les contrôles qualité – les types de contrôles – le contrôle statistique s Le management de la qualité – la normalisation – la certification – la norme ISO 9001 s Le management total de la qualité – les origines du TQM – les pratiques – les prix qualité PRO MASTER Management de la qualité pro MASTER pro Management de la Qualité Algeria-Educ.com Frédéric CANARD Préface d’Élise TOSI f. canard Management de la qualité

évolutions technologiques et commerciales. Motivés par l’urgence de la reconstruction économique, les industriels japonais de l’après-guerre ont développé une approche scientifique de la qualité dont les termes nous sont à ce jour familiers : « toyotisme », « zéro défaut », « juste-à-temps », « compression des coûts ». Au fil des années, cette méthodologie s’est rationalisée, son champ d’application s’est élargi au monde mystérieux de l’immatérialité des services, des instruments élaborés de mesure

la productivité du travail. 2. Le financement des investissements  Pour investir, une entreprise doit disposer de ressources financières afin d’acquérir les équipements nécessaires à la production. Ces ressources ont essentiellement deux origines : • L’autofinancement : c’est à dire les ressources propres de l’entreprise (bénéfices non distribués,…). • Le financement externe : emprunts auprès des établissements de crédit, emprunts obligataires, augmentations du capital par appel à

l’accroissement de la productivité ne reflète rien de tangible au niveau du processus de production. En outre on ne peut pas non plus se baser sur de tels gains de productivité pour augmenter les salaires puisqu’ils ont déjà été “dépensés” (en fait c’est leur origine) en baisse du temps de travail. • Si on raisonne en termes de productivité par personne alors c’est le contraire: une augmentation du temps de travail va se répercuter en augmentation de la productivité par personne. Peut être parce que la personne

sens où l'histoire serait un mouvement progressif d'intégration des marchés. Jacques Adda nous rappelle l'apport essentiel des travaux de Polanyi sur ce thème, « ce type de commerce (au long cours et durant la période médiévale en Europe) trouve son origine dans une sphère extérieure à l'économie, sans rapport avec l'organisation interne de la société, qui tendrait plutôt à se défendre. C'est une affaire unilatérale, comme la chasse, le brigandage ou la piraterie, qui relève d'avantage du raid que du

valeur des services rendus par les administrations en les évaluant à leurs coûts de fonctionnement. Accumulation du capital, organisation du travail et croissance économique Les origines de la croissance Les limites de la croissance La croissance étant l’augmentation de la production, il faut, pour en trouver les origines, se tourner vers ce qui est nécessaire pour produire : le travail et le capital. On parle de croissance extensive lorsqu’elle est obtenue principalement par l’augmentation des facteurs

longue et souvent difficile à mettre en œuvre. Le mille-feuille des stocks Sous le terme générique de «stocks» se cache en fait un véritable mille-feuille, une stratification complexe faite d’un empilement de plusieurs types de stocks ayant des origines et des fonctions différentes, qui ont ou ont eu leurs raisons d’être. Le stock «actif» La couche du sommet, et la plus visible, du mille-feuille est constituée du stock actif, qui croît et décroît au rythme de la production et des ventes. © Groupe

longue et souvent difficile à mettre en œuvre. Le mille-feuille des stocks Sous le terme générique de «stocks» se cache en fait un véritable mille-feuille, une stratification complexe faite d’un empilement de plusieurs types de stocks ayant des origines et des fonctions différentes, qui ont ou ont eu leurs raisons d’être. © Groupe Eyrolles Le stock «actif» La couche du sommet, et la plus visible, du mille-feuille est constituée du stock actif, qui croît et décroît au rythme de la production