Orphée aux Enfers

aux dieux du foyer et de la cité = garantit de la vie quotidienne. Ils étaient persuadés de vivre dans un monde soumis à des forces obscures, que la religion permet de se concilier, + fatalité. L’âme est conçue comme un double moi, rejoignant les Enfers à la mort. L’âme est semblable au corps mais sans consistance, elle est destinée à la mort. Au VI° siècle, des influences du nord (Thrace) entrainent l’apparition d’un nouveau culte et l’intégration de nouvelle « expériences » religieuses : les shamans

divinités antiques – Amour ou Phébus – puis a nouveau au monde médiéval – Lusignan ou Biron - ; d’autant que Phébus peut renvoyer aussi a Gaston Phébus, comte de Foix ; et le dernier tercet semble assimiler le poète au héros mythologique Orphée, descendu aux enfers pour ramener son Eurydice. Il y a donc une réelle difficulté à « décliner son identité » et en tout cas elle ne peut se faire que par des références a des êtres réels ou imaginaires du passé, puisés a des époques différentes et mêlées dans

formes d’atténuation –les formulations antithétiques ou les oxymores Emouvoir Le registre lyrique : « Lyrique » vient de « lyre », instrument de musique dont joue Orphée, figure majeure du poète. Grâce à sa lyre, il aurait réussi à charmer tous les êtres vivants et même à émouvoir le dieu des enfers. Par analogie, il désigne le texte qui possède une forme de musicalité. Leur rythme, les répétitions, leur sonorité sont au service de l’expression du moi, c’est-à-dire des sentiments

explicite dévoué à la mythologie gréco-romaine, puisque Nerval va jusqu'à se comparer à des divinités comme « Amour » ou « Phébus », et à un des personnages important de la mythologie grecque, « Orphée » et s’attribut même l’exploit que celui-ci avait accompli soit « traversé l’Achéron » (v.14), le fleuve des Enfers, de plus il dit l’avoir fait deux fois. Cela atteste de la connaissance acquise par Nerval de la mythologie et son goût pour les voyages qui cachait parfois sa quête du fantastique, de l’irréel

Articles consultés le 17/07/2011 http://www.rfi.fr/contenu/20100219-orphee-debaillonne-naissance-litterature-noire Orphée débâillonné: naissance de la littérature noire Par Tirthankar Chanda Née au siècle dernier, dans le creuset de la littérature coloniale et ethnologique, la littérature africaine d’expression française a très tôt affirmé son indépendance vis-à-vis de ses modèles coloniaux, en arrimant solidement ses productions aux préoccupations et revendications du peuple africain dominé

sur la notion de lyrisme Séance – Qu’est-ce que le lyrisme ? Support : Les séparés, de Marcelines Desbordes Valmore Dominante : Lecture Objectif : Définir la notion de lyrisme à travers une poésie de la séparation Le mythe d’Orphée Orphée (OrfeuV) fils du roi de Thrace, Oeagre, et de la Muse Calliope était le poète et le musicien le plus célèbre qui n'ait jamais vécu dans l'Antiquité. Apollon lui fit don d'une Lyre à 7 cordes; les Muses lui apprirent à en jouer et en leur honneur

divines qui président à la poésie : Orphée, Dionysos et Ulysse. En effet, Apollinaire minimise ses lectures par coquetterie, mais exprime sa passion pour la mythologie et les légendes les plus diverses, en faisant allusion à des mythes paiens et judeo-chrétiens. Il mêle alors des inspirations et des époques pour réinterprétersa propre existence et créer sa mythologie personnelle. En effet, Chez Apollinaire, le mythe d’Orphée est réinterprété. Le héros descend aux enfers représentés par les ténèbres, les

développé le poème en akkadien, langue dirigent vers les montagnes des cèdres pour tuer le monstre Huwawa. Ishtar2 invite Gilgamesh à devenir son époux ; il l’insulte en lui rappelant que tous ses amants ont pris la route des Enfers. Pour se venger, Ishtar place sur le chemin de des siècles), deviennent les meilleurs amis de la planète. Ils se Gilgamesh le taureau céleste, mais Gilgamesh et Enkidu le tuent. Les dieux décident de les punir en mettant fin aux jours d’Enkidu

avant de nous pencher dans un second temps sur le sentiment de plénitude et à la fois de vacuité qui transparaît dans ce poème. I) Un temps musical désaccordé : Dans le premier vers, la métaphore assimilant le soleil à une lyre semble évoquer Orphée, qui est le poète par excellence, et qui fut capable de vaincre la mort par le chant. Ainsi, nous pourrons nous demander si Apollinaire est capable de vaincre sa souffrance par la poésie ? Le second vers semble répondre négativement à cette question

l’un prés de l’autre chacun portant sur la tête une étoile de même éclat.   LE TAUREAU Zeus sous la forme d’un taureau blanc séduisit EUROPE la fille du roi de Tyr qui donnera naissance à Minos (roi de Crète) Rhadamanthe et Sarpédon (juges des enfers).   OPHIUCHUS (le serpentaire) LE SERPENT LE CORBEAU LE SAGITTAIRE ( ou CENTAURE) OPHIUCHUS (fils d’Apollon et Coronis) est plus connu sous le nom d’Asclépios ou d’Esculape. Il est élevé par Chiron le centaure qui lui apprend la médecine après