Ouverture Une Charogne

dénoncer la guerre ? Tout de suite après ça, j’ai pensé au maréchal des logis Barousse qui venait d’éclater comme l’autre nous l’avait appris. C’était une bonne nouvelle. Tant mieux  ! que je pensais tout de suite ainsi  : «  C’est une bien grande charogne en moins dans le régiment  !  » Il avait voulu me faire passer au Conseil3 pour une boîte de conserves. «  Chacun sa guerre  !  » que je me dis. De ce côté-là, faut en convenir, de temps en temps, elle avait l’air de servir à quelque chose la guerre 

sa sensibilité et l’acuité de son regard, mais aussi par le langage poétique, parvient à saisir la réalité dans son essence même : il dégage les éléments du monde ordinaire de leur existence contingente et de ce que Ponge appelle la « routine ». [Ouverture] Mais, au-delà, en transformant ce qui nous entoure, le poète crée des mondes nouveaux qui permettent de s’évader de ce que notre vie peut avoir de banal et de rêver. Exprimer la réalité du monde ou la transfigurer 

blessure et relation amoureuse soit établi. Evénements racontés dans un enchaînement surprenant, mécanique. Jacques ne peut influer sur cours de sa vie car Diderot à travers les questions de son narrateur (l.44, 45, 46) se joue du destin de son PP. Ouverture déroutante et déstabilisante pour lecteur, refuse codes du genre mais remplie une fonction fondamentale : piquer la curiosité : lecteur va vouloir connaître amours de Jacques que auteur va s’amuser à toujours repousser. Roman non conventionnel &

le poète est déchiré entre sa soif d’une idéalité perdue et son enlisement dans les tourments du quotidien, qu’il nomme « ennui » et surtout « spleen » (L’Albatros, Correspondances, L’Homme et la Mer, La Beauté, Parfum exotique, La Chevelure, Une Charogne, Le Chat, Le Balcon, L’Invitation au Voyage, Le Beau Navire, Spleen, Alchimie de la Douleur…). 2. « TABLEAUX PARISIENS » (poèmes LXXXVI à CIII), où la ville, « la fourmillante cité pleine de rêves » impose à la fois le miroir multiplié de sa laideur

abondantes, des inondations, des épisodes caniculaires qui compromettent les récoltes jusqu'en 1697. Des révoltes agraires, des émeutes frumentaires éclatent partout en France. On meurt de faim, le peuple se nourrit de racines, d'orties cuites, de charognes déterrées, d'entrailles nauséabondes d'animaux morts. Le royaume de France connaît des années noires : on manque de pain, la disette s'installe, les épidémies et les maladies carentielles se multiplient. La dénutrition frappe les populations les

rancune apparaît comme une passion fatale, au même titre que l’amour. Les trois questions de l’examinateur Question 1. Y a-t-il d’autres monologues dans Ruy Blas et quelle fonction ont-ils ? On retrouve trois autres monologues importants : en ouverture des actes IV et V, et à la scène 4 de l’acte III. Ce sont des monologues de Ruy Blas, qui ont avant tout une fonction lyrique : ils permettent au personnage de faire connaître ses sentiments au public. Toutefois, la scène 1 de l’acte IV et la scène

puces de la terre entière. Tout de suite après ça, j’ai pensé au maréchal des logis Barousse qui venait d’éclater comme l’autre nous l’avait appris. C’était une bonne nouvelle. Tant mieux ! que je pensais tout de suite ainsi : « C’est une bien grande charogne en moins dans le régiment ! » Il avait voulu me faire passer au Conseil pour une boîte de conserve. « Chacun sa guerre ! » que je me dis. De ce côté-là, faut en convenir, de temps en temps, elle avait l’air de servir à quelque chose la guerre

décrire les phénomènes du monde sous un regard particulier, en décalage avec la vision traditionnelle, farfelu), contestataire, « haïku ». Analyse: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Intro/amorce voc problématique structure thèmes effets de styles synthèse ouverture  les thèmes:   -l'humour - le fantastique/ le rêve/ l'irréalité  -la famille  -la mort  -l'histoire  -la guerre  -l'enfance  -le « petit peuple »  le style: -joue sur les accents -opposition oui/non -symétrie -renversement de

sur le talus, allongé sur le flanc par l’explosion et projeté jusque dans les bras du cavalier à pied, le messager, fini lui aussi. Ils s’embrassaient tous les deux pour le moment et pour toujours mais le cavalier n’avait plus sa tête, rien qu’une ouverture au-dessus du cou, avec du sang dedans qui mijotait en glouglous comme de la confiture dans la marmite. Le colonel avait son ventre ouvert, il en faisait une sale grimace. Ça avait dû lui faire du mal ce coup-là au moment où c’était arrivé. Tant pis

sur le talus, allongé sur le flanc par l’explosion et projeté jusque dans les bras du cavalier à pied, le messager, fini lui aussi. Ils s’embrassaient tous les deux pour le moment et pour toujours mais le cavalier n’avait plus sa tête, rien qu’une ouverture au-dessus du cou, avec du sang dedans qui mijotait en glouglous comme de la confiture dans la marmite. Le colonel avait son ventre ouvert, il en faisait une sale grimace. Ça avait dû lui faire du mal ce coup-là au moment où c’était arrivé. Tant pis