Ouverture Une Charogne

extérieur préfigurant les massacres à venir. La référence à la pourriture rappelle un thème développé tout au long du roman : celui de la contamination de la société par Nana (cf. extrait B , « La Mouche d’or »). On y retrouve le même vocabulaire : « charognes tolérées » l.34, « ferment » l.35, ainsi que les références à la boue, à la pourriture et à la moisissure. Nana jusqu’au bout aura « empoisonné un peuple ». l.35 Associé à ce thème de nombreuses notations péjoratives font de cette description un

impact ne concernera-t-il que quelques lecteurs ? Plan dialectique : I/Le pouvoir de l’écrivain et de ses œuvres pour améliorer la société II/Les limites ou obstacles rencontrés Introduction : (Ouverture, entrée en matière pour introduire le sujet de dissertation) Il arrive que la littérature soit considérée comme un simple divertissement où l’auteur se contente de raconter des histoires. Or, véhiculer des idées et les défendre n’est pas seulement

Problématique : Comment Charles Baudelaire, dans son poème Une Charogne, pressent-il qu’au fond de la laideur peut germer l’ébauche de la beauté d’un monde gracié ? En quoi cette présentation paradoxale crée-t-elle de l’ironie ? I – La fusion du laid et du beau et l’ironie qui s’en dégage 1.1 Le choc des oppositions - Antithèses et rimes antisémantiques : « beau matin d’été si doux » -> « charogne infâme » + « mon âme » qui désignent la femme et rime avec « infâme » - Oxymores

et engagée. - Les écarts qu'elle s'autorise permettent de souligner les limites du texte. Son écrit porte donc une part critique très forte et le but est clair : défendre l'idée d'une égalité naturelle et indiscutable entre la femme et l'homme. Ouverture: - introduire le postambule et les lois , en définissant l’objectif du texte - On pourrait mettre ce texte en opposition avec le postambule situé à la fin de l'œuvre car là où celui-ci reste majoritairement froid et juridique. - Le postambule est

abominable. Et, sur ce masque horrible et grotesque du néant, les cheveux, les beaux cheveux, gardant leur flambée de soleil, coulaient en un ruissellement d’or. Vénus1 se décomposait. Il semblait que le virus pris par elle dans les ruisseaux, sur les charognes tolérées2, ce ferment dont elle avait empoisonné un peuple, venait de lui remonter au visage et l’avait pourri. La chambre était vide. Un grand souffle désespéré monta du boulevard3 et gonfla le rideau. - À Berlin ! à Berlin ! à Berlin ! 1. Nana

ne put creuser des sillons à ensemencer. Alors l’étreinte de la famine se resserra sur la population toute entière. Quand on eut mangé les bêtes sauvages et les oiseaux, les gens, poussés par une faim terrible, en arrivèrent à se disputer les charognes et autres choses innommables. Certains contre la mort cherchèrent un recours dans les racines des bois et dans les plantes aquatiques. D’après le moine Raoul Glaber, Histoires, XIe siècle Doc.2 : En 1033, une crise alimentaire 1- Quelle est

ainsi: «C’est une bien grande charogne en moins dans le régiment !» Quant au colonel, lui, je ne lui voulais pas de mal. Lui pourtant aussi il était mort. Je ne le vis plus, tout d’abord. C’est qu’il avait été déporté sur le taus, allongé sur le flanc par l’explosion et projeté jusque dans les bras du cavalier à pied, le messager, fini lui aussi. Ils s’embras saient tous les deux pour le moment et Pour toujours. mais le cavalier n’avait plus sa tête, rien qu’ une ouverture au-dessus du cou, avec du

en scène chargée. Cependant, le dénouement reste traditionnel. Avec la mort tragique du héros éponyme. On a également une touche comique apporté par la présence de Sganarelle qui fait bien de cette pièce une tragi-comédie. Nous pouvons faire une ouverture sur la critique peu modérée de la foi chrétienne, devra attendre 1841 pour que le texte intégral soit rejoué su scène. Ceci traduit de l'impact de la censure sur cette pièce. Texte 14 ORAL Les Membres et l'Estomac (1668) par Jean de La Fontaine

qu’ils sont pauvres, laids, impuissants, différents. Dimension esthétique : poésie comme regard autre sur le monde qui sait transfigurer le laid en beau, dimension sociale, considérer l’être dans son essence au-delà de l’apparence. Ouverture vers Baudelaire, La Charogne, par exemple. « Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. […] Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, A cette horrible

« Heureux qui comme Ulysse… » ; * des situations réelles (Ronsard, « Quand vous serez bien vieille » ; Hugo, « Demain, dès l'aube » : rappel de son deuil) ; * des éléments très réalistes (Villon, « Ballade des pendus » ; Baudelaire, « Une charogne »…) ; * les maux du monde (Hugo, « Depuis six mille ans la guerre… ; Souvenir de la nuit du 4 » ; Rimbaud, « Le Mal »). Cherchez des poèmes qui, par leurs images et leur symbolisme, permettent d'atteindre le réel absolu, de percer le mystère