Oxymore

pas. » (vers 1655-1656). Ici, afin d'exprimer son souhait, à travers ses paroles, Émilie utilise deux oxymores (deux termes évoquant des réalités contradictoires sont unis dans un même groupe de mots) : la « gloire » est un terme positif, opposé au terme négatif « la honte » et « le plaisir » est également un terme positif, opposé « [aux] tourments », un terme négatif. Puis un troisième oxymore entre les verbes « unir » et « séparez ». Auguste accepte ce qu'Émilie souhaite au nom de leur amour :

sent persécuter par les Dieux. Victime ou bien jouet de l’Olympe ? Question a laquelle Oreste cherche une réponse. “au comble des douleurs”, « Ta haine a pris plaisir à former ma misère » conforte l’idée de la persécution dont est victime Oreste. Un oxymore est présent. En effet, la haine n’est en aucun cas un plaisir, mais ici cela renforce l’idée que les dieux ont pris jouissance à accabler Oreste de malheur. Néanmoins, sa passion toujours présente le pousse à mettre fin a la persécution orchestré

une antithèse. Dans le deuxième cas, il utilise l’expression « aimable tyrannie » pour désigner son amour pour Chimène, l’adjectif connotant positivement son sentiment, le substantif connotant négativement son caractère oppressif. Il s'agit d'un oxymore. Troisième vers : Premières conséquences négatives Tous mes plaisirs sont morts, ou ma gloire ternie. « Plaisir » : 1. État affectif fondamental, un des pôles de la vie affective; sensation ou émotion agréable lié à la satisfaction d’une tendance

refus à son amie et se comporte correctement pour ne pas se fâcher avec elle. Dès le début de la lettre, Valmont commence par flatter la marquise de Merteuil afin de ne pas la heurter lors de l’annonce de son refus. Pour cela, il utilise des oxymores tels que « Vos ordres sont charmants » et « vous feriez chérir le despotisme » qui traduisent l’aspect calculé de sa lettre. De plus, ses réflexions qu’il transmet à l’écrit sur la conquête de la jeune Cécile Volanges montrent à quel point il a réfléchi

démontre que l'enfant doit être respecter comme l'adulte. Il va nous parler a présent de bonheur et de malheur, une réflexion nouvelle de l'esprit Judéo-chrétien. Dans ce paragraphe l'auteur s'appuie sur des oxymores "plus-moins", "heureux-malheureux", "souffrance-jouissance" ; oxymores placées dans des figures de parallèle se qui les met encore d'avantage en relief. Il leur adjoint le pronom d'anpathie "on" afin d'impliquer le lecteur dans son propos et arrive a la conclusion que l'état de bonheur

...........Vous avez l'art des baisers. » 3. Exemple du mélange tragique et comique ACTE III Scène 1. Échange de plaisanterie entre Benvolio et Mercutio qui va finir malheureusement par la mort de Tybalt. 4. Réplique comportant un oxymore Oxymore : Figure de style consistant a associer deux mots contradictoires ACTE I Scène 1 page 26. Tirade de Roméo qui parle de Rosaline. « Amour ! Ô tumultueux amour ! Ô amoureuse haine ! Ô tout créé de rien ! Ô lourde légèreté ! Vanité sérieuse 

en nous créant une confusion. Il utilise des oxymores pour nous surprendre et nous faire penser. Dans « pendant cette boucherie héroïque », il réunit dans une même expression deux termes contradictoires. Il met en relation les héros avec les soldats, mais il ajoute « boucherie » donc on sait que c’est une antiphrase puisqu’en parlant de « boucherie » on ne peut pas parler de quelque chose de héroïque, surtout chez Voltaire. Il utilise un autre oxymore avec deux mots opposés entre eux « harmonie »

valeur un contraste fort. À la différence de l’oxymore, l’antithèse est une figure macrostructurale1. Chiasme : Un chiasme est une figure de construction qui consiste à disposer les termes de manière croisée suivant la structure AB / BA. Oxymore : Un oxymore est une figure d’opposition qui consiste à réunir deux termes de sens contraires à l’intérieur d’un même syntagme, c’est-à-dire dans un même groupe de mots. Bien souvent, l’oxymore cherche à créer un effet de suprise. Figures de substitution

se multipliant »(v22, v23 et v24). Il y a une antithèse qui marque l'ironie : « Le soleil rayonnait sur cette pourriture ». Malgré la description repoussante de la charogne, l'auteur en extrait la beauté : « carcasse superbe »(v13). C'est un oxymore et Baudelaire cherche à montrer ici qu'il existe de la beauté dans la laideur. De plus, la charogne est peut-être une femme, et elle est aussi comparée à une fleur : « Comme une femme lubrique »(v5); « Comme une fleur s'épanouir »(v14); « comme une

Ophélia allie caractérisation méliorative pour un simple refrain sans grande signification, chose que Laertes remarque lorsqu’il déclare : « Mélancolie, affliction, frénésie, enfer elle donne à tout je ne sais quel charme et quelle grâce » avec cette oxymore marquant l’incompréhension. Puis elle désigne « perfide » un intendant que personne ne connaît. Elle fait de même lorsqu’elle dit « le bon cher Robin est toute ma joie » grâce à cette métaphore entre le bonheur et un inconnu. Ces caractérisations