Oxymore

« comme moi » commence déjà avec une forme de comparatif d’d’identité, cela mène à une fausse question rhétorique car on voit la structure syntaxique de l’interrogation notamment avec ‘inversion du sujet verbe à deux reprises. On repère aussi un oxymore avec les mots « douleur savoureuse », il faut trouver la beauté dans la laideur, le plaisir dans la souffrance. C’est cette ambiguïté que doit capturer l’écriture poétique. Le vers 2 avec l’usage des pronoms personnels et notamment l’usage du pronom

de l'imprimerie et pour ce fait, il fait sembler de la critiquer (procédé ironique) Les livres occidentaux parlent également de l'histoire. Misérables philosophes: critique des philosophes (ils sont interdits et doivent se cacher) => C'est un oxymore La raison doit éclairer les hommes, elle est essentielle. Les religieux eux, s'appuient sur Dieu. ==> Voltaire défend donc la thèse selon laquelle "L'imprimerie est indispensable aux hommes/ L'imprimerie est nécessaire aux connaissances de l'homme"

donc d’inessentiel, de futile, et d’idée d’intime, de profond, cette douleur. Strophe 2 (second quatrain) - continuation du laudatif - ensemble de termes positifs - associé à des images paradoxales, construisant l’ensemble du poème comme oxymore. par exemple : la métaphore "sa jambe de statue" est une façon de dire la perfection de cette jambe. Elle est associée à l’adjectif "agile" et à l’ensemble des termes renvoyant au mouvement dans la strophe précédente. Pourtant si on dit

d’anes  »  > ton libre , excessif, comique + oxymore métaphorique du fromage blanc > «  aussi interprétez tous mes gestes et mes paroles dans le sens de la plus haute perfection ; révérez le cerveau de fromage blanc qui vous offre ces belles billevesées et autant que vous le pourrez, prenez-moi toujours du bon côté  » > l'auteur se considère comme un idiot (cerveau de fromage blanc > oxymore car le cerveau représente l'intelligence et le fromage blanc

aboutit à une mort plaisante --> Le vin rend au vigneron sa "peine" (v.6), il redonne vigueur à l'homme "usé par ses travaux". "quand je tombe ds le gosier" (=CCT) + "douce tombe" (= oxymore) --> le moment du sacrifice est une joieEt sa chaude poitrine est une douce tombe« une douce tombe » (v.11) = oxymore --> le sacrifice se fait avec joie.Où je me plais bien mieux que dans mes froids caveaux.Comparatif de supériorité: vin préfère le gosier aux caves où il est gardé"chaude" + "froids"

échangent leur place : « un serpent déchire un vautour » (v.17) le faible devient fort, « le feu brûle dedans la glace » (v.18), « le soleil est devenu noir » (v.19) lumineux devient obscure. C’est une alliance des termes incompatibles donc c’est un oxymore. Finalement, les deux dizains, les deux belettes et les deux renards provoquent un rythme binaire. En conclusion le poème « un corbeau devant moi croasse » remplit bien les caractéristiques de la poésie Baroque.

la femme. L’assimilation entre les deux est de plus en plus forte ce qui lui arrive à elle « les yeux ouverts » entrainent un effet chez lui. Les yeux ouverts ouverture sur l’extérieur, la femme est le lieu entre le monde extérieur. Vers 9 : oxymore « rêve en pleine lumière »

se trouve sur un bateau « Mme Roland, assoupie à l'arrière du bateau » ligne 6, et un de leur fils, fait des études de médecine « Combien en as-tu pris, toi, docteur ? » ligne 45. Nous pouvons suposer que la famille est une petite bourgoisie. Les oxymores utilisé dans ce passage, comme « une saine puanteur de marée » ligne 39 et « leur palpitation d'agonie » ligne 37-38, montrent une vision idéalisé de la pêche par le père Roland. Ainsi que les personnifications tel que « ventre plein de la corbeille

boue, j'en fais de l'or "). Le mal fait référence à quatre types de mal : - mal social (être déchu) - mal moral (goût pour le crime et le sadisme) - mal physique - mal métaphysique (âme angoissé car il ne croit pas en Dieu) Oxymore : Fleurs/mal

« Iceberg » pour faire un rapport avec la mort. L’iceberg est un élément froid de la nature, de part sa sonorité étrange et du fait qu’il se trouve dans l »hyperboréal. - Deuxième paragraphe : Ici, on retrouve une nouvelle figure de style, une oxymore. Henri Michaux utilise le mot « cathédrales » et ensuite il utilise ces termes ci « sans religion ». - Troisième paragraphe : Ici, il y a encore une nouvelles figure de style, la metonymie avec les termes « Nord Atlantique ». Il met sur un pied