Pacte De Préférence Cass 20 Juin 2010

jour du trimestre, et avant la modification législative du 4 aot 2008 en respectant les usages locaux (V. par exemple Cass. 3e civ., 12 juin 1974 : Bull. civ. 1974, III, n̊ 250. – Cass. 3e civ., 8 avr. 1992 : Gaz. Pal. 1993, 1, pan. jurispr. p. 4. – Cass. 3e civ., 5 mars 1997 : Rev. Loyers, 1997, p. 302. – Cass. 3e civ., 27 janv. 1999 : RJDA 1999, n̊ 261. – Cass. 3e civ., 30 juin 1999 : Bull. civ. 1999, III, n̊ 152 ; D. 1999, inf. rap. p. 211 ; D. affaires 1999, p. 1203, obs. Y. Rouquet ; LPA 17

affecté à une créance déterminée. Cette sureté sera dénommée hypothèque. L’affectation conférera des droits spécifiques au créancier. Le créancier aura un droit de préférence et, le plus souvent, un droit de suite. Le créancier sera payé en priorité sur la valeur du bien qui lui a été affecté par le débiteur selon le droit de préférence. Il aura également le droit de demander à ce que le bien sur lequel il a une sureté lui soit attribué en pleine propriété afin qu’il soit désintéressé de ce qui lui

contrats qui fait de la liberté l’axe des pourparlers ; l’initiative, le déroulement et la rupture des pourparlers sont libres (1111 du projet de réforme). La liberté implique la liberté de ne pas aboutir à la conclusion du contrat projeté. Cas com 4 mai 2010 : « le fait de ne pas poursuivre les négociations ne constituent pas une faute, la rupture est libre ». Mais la rupture pourrait engager la responsabilité de son auteur, que dans des circonstances particulières. Ce sont les circonstances de la rupture

de la situation et on arrive à qualifier l’existence d’un contrat entre l’assistant et l’assisté pour mieux admettre son inexécution et faire peser la charge de la responsabilité contractuelle sur le débiteur de l’inexécution à savoir l’assisté. La CASS a opéré cette requalification prétorienne dans un arrêt CIV 1ère 01/12/1969 : la CAS considère que l’assistant émet une offre d’assistance qui es acceptée par l’assisté (En G le silence ne vaut pas acceptation mais ici l’offre est faite dans l’intérêt

laquelle les propriétaires mettaient la propriété rurale à sa disposition, la Cour d'appel, qui n'a pas tiré les conséquences de ses propres constatations d'où il résultait que la mise à disposition était à titre onéreux, a violé les textes susvisés » (Cass. civ. 3e, 17 octobre 2007, pourvoi no 06-12533, JCP N 2008, p. 34, obs. J.-J. Barbièri). En l’absence même de réglementation obligatoire, la qualification est une opération importante et parfois difficile en raison de l’architecture contractuelle

saurait être qualifié de donation que si cette intention libérale est démontrée. A défaut, ne pouvant être rattachée à la vente, le contrat serait annulé par l’absence de prix, plus largement pour absence de cause. - Vente pour un prix symbolique : C Cass 3 mars 1993, conclue moyennant le franc symbolique, la vente d’un terrain était valable car indissociable de la cession d’entreprise dont elle devait permettre l’apurement des dettes et poursuite activité >> la vente s’apprécie dans le cadre de l’économie

crédit. Dans cette situation, qui est celle que nous connaissons depuis 2 Cf. J.-M. Mousseron et alii, Droit de la distribution, Litec, 1975; D. Ferrier, Droit de la éd. 2010 ; J. Beauchard, Droit de la distribution et de la consommation, PUF, 1996; M. Behar-Touchais et G. Virassamy, Les contrats de la distribution, LGDJ, 1999 ; R. Bout, M. Bruschi, S. Poiloit-Perruzzeto et M. Luby, Droit

code civil prévoit également une règles, mais bien souvent privée d'efficacité : Le droit de gage général sur le patrimoine du débiteur (A.2284). Comme nous sommes en présence d'un droit personnel, il n'y a pas de droit de suite ni de droit de préférence (puisque c'est un lien entre personnes), c'est la raison pour laquelle le créancier a tout intérêt à prendre des garanties. — Obligation Naturelle => Elle s'oppose à l'obligation civile. Art.1235 : - L'obligation s'éteint par le payement (veut

septembre 2010 (pourvoi n° 09-13.345 ; D. 2010, p. 2061, et D. 2011, p. 472, spéc. 477, obs. Amrani Mekki) 4°) La violation ou l’inexécution de la PUV soulève des difficultés. La question posée est de savoir si la PUV est susceptible d’exécution forcée. Contre l’avis d’une doctrine quasi-unanime, la jurisprudence répond encore par la négative : Civ.3ème, 15 déc 1993 (Bull. civ. III, n° 174 ; D. 1994, p. 230, obs. O. Tournafond). Tant que le bénéficiaire n’a pas levé l’option, la violation du pacte n’a

européen et international, on peut citer, même s'il est limité aux aspects concurrentiels, le règlement d'exemption du 30 novembre 1988 spécifique à la franchise 3, remplacé par celui plus général du 22 décembre 1999, puis récemment par celui du 20 avril 2010 ( supra, n ° 787). En outre, l'organisation mondiale de la propriété industrielle a publié un remarquable Guide du Franchisage, avec l'aide d'experts du monde entier, qui donne un aperçu bref mais très intéressant de la structure et de la nature