Paix Civile Selon Hobbes

possibilités d’approfondissement des solutions. iv. Conseils et perspectives dans la perspective kantienne v. Limites et critiques dans la perspective hobbesienne. vi. Perspectives mixtes 2) Forger des concepts selon Habermas, pour la géopolitique du monde contemporain A) L’enjeu : élever la géopolitique au delà du factuel pour la doter d’une théorie philosophique qui sous tende ses actions et lui donne une direction * L’histoire de la pensée

politique. D’après certains auteurs, le pouvoir est absolu, c’est-à-dire illimité. Une telle conception du pouvoir politique fait du gouvernant un être absolu qui dispose de tous les pouvoirs. Dans ce sens le pouvoir politique est séparé de la société civile ; il se structure de façon centralisée. Cette conception du pouvoir politique est récusée par certains auteurs comme John Locke, Montesquieu, Rousseau, entre autres. Pour ces derniers le pouvoir politique ne saurait être absolu. Ils défendent l’idée

propres. Selon Karl Von Clausewitz, la guerre est un conflit armé opposant au moins deux groupes militaires organisés réguliers 2. Elle se traduit ainsi par des combats armés, plus ou moins dévastateurs et implique directement ou indirectement des tiers. Elle qualifie donc tous les conflits, qui ont pour principales caractéristiques, la force physique, les armes, la tactique, la stratégie ou la mort de certains de ses participants (soldats, résistants, francs-tireurs etc.) ou de tiers (civils, employés

naturelle. En effet celui qui se soumet à la volonté d'un autre, a choisi de lui remettre son pouvoir de décision. On pourrait dire qu'il a choisi d'être dépendant d'une autre personne, qu'il ai décidé de ne plus décider et qui ne pourra plus agir selon sa volonté.Il sera donc libéré de sa liberté. Mais si nous reflechissont bien, cette renonciation volontaire nous prive t'elle vraiment de notre liberté ? On sait qu'il ne suffit pas, pour excuser ou justifier un acte par exemple, de dire qu'on a fait

Expliquer le texte suivant : On croit que l’esclave est celui qui agit sur commandement d’autrui, et que l’homme libre est celui qui se conduit selon son propre gré. Mais cela n’est pas absolument vrai. En réalité, celui qui se laisse entraîner par son seul plaisir, au point de ne plus voir ni faire rien de ce qui lui serait utile, est soumis au plus grand esclavage, et seul est libre celui qui vit volontairement sous la conduite de la raison. Quand à l’action commandée, c’est-à-dire l’obéissance

souveraineté Dilemme de sécurité Les réalismes ne peuvent pas expliquer les guerres civiles Le niveau de guerre diminue Conservatisme, ordre/anarchie, respect de l’autorité et volontés de sacrifier es libertés individuelles pour assurer la stabilité de la communauté S’occupe pas vraiment de ce qui se passe à l’intérieur de l’État. Caractéristique Réalisme : Structurel : Tout le monde est égaux. Il faut la paix. Anarchie sur le modèle Stato-centrisme. Il faut s’armée, nous sommes seuls. Classique :

subordonnés à la loi fondamentale de la nature. Pour lui, les mauvaises lois ne méritent pas le nom de loi : ce sont des décrets arbitraires de tyrans. Le respect de l’ordre divin apparaît à Héraclite comme le gage de pérennité des lois humaines. Selon lui, le peuple doit tout faire pour conserver la loi, qui fonde l’identité et la réalité d’un peuple. Ca ne veut pas dire que le peuple est l’auteur et le créateur de la loi, car la cité a besoin d’hommes exceptionnels et la loi, qui est une législation

transposée en bloc de l’ancien droit au droit contemporain, mais d’un mélange de traditions juridiques diverses issues du droit romain, du droit coutumier et du droit de la Révolution. La proportion de chacun de ces droits est variable dans les Codes selon les matières. L’évolution du droit après la Codification de Napoléon a suivi la même démarche : parfois, les principes révolutionnaires qui ont été conservés dans les Codes ont été atténués, et d’autres fois, des principes qui avaient été abandonnés

faite que de peu de principes, il ne s'appuie pas sur des ressors décisifs. Seule l'intélligibilité d'une approche définie peut permettre une étude fiable des relations internationales. En terme plus simple on étudie les relations internationales que selon une approche et des critères pré-définis. Soit l'Etat au centre de l'étude soit les organisations internationales, soit les relations entre les acteurs (modalités des relations pacifiques ou celles qui concernent les conflits). La guerre est quelque

démocratique et la démocratie n'est pas forcément représentative. Comment ces deux concepts se sont-ils rencontrés d'un point de vue historique? Et quand le concept de démocratie représentative apparaît-il pour la première fois ? N. Urbinati : Selon Gordon Wood, l'expression a été utilisée pour la première fois par Alexandre Hamilton en 1777 dans une lettre à Gouverneur Morris. La Révolution Américaine, contrairement à la Révolution française, n’a pas fait l’expérience d’un conflit dramatique