Panarabisme

colonisateurs. 33 (expression de SAUVY en 1952) MOUVEMENT DES NON ALIGNES 1. La conférence de Bandoung 1955 1. 1. 1. (doc 3 p 170) 3 hommes deviennent les leaders du tiers monde : Nasser (nationalisation du canal de Suez et panarabisme), Nehru (1° ministre indien), Sukarno (Indonésie). Il faudrait leur ajouter : le président chinois : Chou Enlai A Bandoung : prise de conscience et médiatisation de la voix du tiers monde. C’est la 1° fois qu’ils se font entendre !

travailleurs pour remplacer ses hommes mobilisés et a collaboré activement dans le développement de matériel militaire. Israël, ancien allié de l'Iran du chah, avait autant de raisons de redouter le panislamisme de la République iranienne que le panarabisme laïque de l'Irak. Sa principale intervention dans le conflit a été le bombardement de la centrale nucléaire Osirak en 1981. Construite avec des technologies françaises, cette centrale aurait permis à l'Irak de se doter à terme de l'arme nucléaire

1952 par un groupe d’officiers. Parmi ses officiers on distingue Neguib et Nasser, la république est proclamée par le général Neguib en 1953. En 1954, Neguib est victime d’un coup d’état de Nasser, qui souhaiterait apparaître comme le chantre du panarabisme en se prononçant tout de suite comme contre Israël. Il veut de plus moderniser profondément son pays, et se présenter comme la porte parole du tiers monde. * En 1955, les tensions augmentent entre Israël et l’Egypte qui a besoin d’arme. En même

droits) et fondés sur les cultures propres aux populations indigènes. Par exemple : le nationalisme arabe qui s’est manifesté par le développement du panarabisme (recrée une grande nation arabe). Il a connu une vive renaissance à partir de la fin du 19e siècle lors de la rétractation de l’empire ottoman ayant profité aux colonisateurs européens. Ce panarabisme est aussi alimenté par le courant intellectuel de la nahda (renaissance arabe), un mouvement littéraire, politique et scientifique animé par des

d'être renversé par une révolution qui porte à sa tête l'ayatollah Khomeini, tandis que l'URSS envahit l'Afghanistan quelques mois plus tard. L'islamisme commence à devenir une force géopolitique importante, remplaçant peu à peu le marxisme et le panarabisme comme principale idéologie populaire au Moyen-Orient. De nombreux moudjahidins viennent combattre en Afghanistan contre l'URSS, soutenus par l'Arabie saoudite qui y voit une possibilité de diffusion du wahhabisme, le Pakistan via son Inter-Services

mais aussi influencés par la pensée panarabiste du Baâth. Ce climat a fait le lit de la naissance d’un courant islamiste algérianisé, c’est le courant des Djaz’ara. La djaz'ara est l'expression d'un melting-pot idéologique conciliant socialisme, panarabisme et islamisme. Cette nouvelle tendance, connue dans d'autres pays sous le «localisme», est la conséquence des défaites politiques et militaires arabes face à Israël et à l'idéal de l'unité arabe, ainsi que par la victoire de la révolution islamique

travailleurs pour remplacer ses hommes mobilisés et a collaboré activement dans le développement de matériel militaire. Israël, ancien allié de l'Iran du chah, avait autant de raisons de redouter le panislamisme de la République iranienne que le panarabisme laïque de l'Irak. Sa principale intervention dans le conflit a été le bombardement de la centrale nucléaire Osirak en 1981, attaque qui avait nécessité deux vols de reconnaissance préalable, le premier étant accompli par deux RF-4E de l'I.R.I.A

l’origine de la faible résistance qu’ils offrent à la poussée de ce peuple qui tend dans la zone septentrionale du pays, à absorber complètement certains de ces éléments (Ibid: 50). Mais la politique de la France visait à écarter toute influence du panarabisme dans la région comme on le retient dans le commentaire d’une note d’un chef de Subdivision de Fort-Fourreau consigné par Frank Hagenbucher dans ces lignes : « Il s’agit d’éviter toute progression culturelle de type arabisant, de préserver à tout

à parler d’une seule et même voix mais la création de l’Etat d’Israël va engendrer des déséquilibres politiques et économiques dans la région. De plus, avec l’arrivée au pouvoir du Ba’th en Syrie et avec la volonté nassérienne, une esquisse de panarabisme se profile. Pourtant, celle-ci va être confrontée aux intérêts de chacun. La République Arabe Unie est perçue comme la « formule magique » qui permettra d’affronter des grandes questions essentielles telles que l’économie et les relations avec

des Caisses d’épargne des pèlerins (Pilgrim’s Management Fund) (Tabung Hadjji). L’avènement de la finance islamique, telle qu’elle se pratique aujourd’hui, prend son véritable essor en 1975 concomitamment à ce que l’on a appelé la montée du panarabisme, au boom pétrolier, mais 17 1) Sous la direction de M. le Professeur Alain Couret, département de recherche Sorbonne-Finance. 2) Michel Lyonnet Du Moutier, Financement sur projet et partenariats public-privé, éd. Ems. 2006, p.16. 3)