Panthéisme

celles des autres. Au bout de son voyage, Christopher veux obstinément atteindre son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature. Son esprit se tourne vers l'idéalisme et le panthéisme. Rejetant la société moderne de consommation, il a un certain dégoût de l'être humain qui va le pousser à s'isoler. Jeune, il dévorait les livres de Henry David Thoreau, d'Emerson et de Jack London et partage les idées philosophiques de ces auteurs

En 1853 ont lieu les séances de tables tournantes chez Delphine de Girardin. Cette expérience permet au poète de se former une nouvelle religion, très précisément évoquée dans le poème des Contemplations intitulé « Ce que dit la bouche d'ombre ». Panthéisme et christianisme s'y mêlent pour former une pensée qui relève aussi bien de la religion que de la philosophie. Le dieu de Hugo n'est ni tout a fait impersonnel, ni tout à fait anthropomorphe : il serait plutôt la voix de la conscience, une forme

comme créée de même par la «  peur », l’ « (appréhension de) la liberté », et les « dieux » comme des « maîtres » permettant de combattre cette angoisse diffuse. La religion est ainsi désacralisée de manière comique, le poète libertin la réduit au panthéisme, sorte de réponse technique à cette angoisse existentielle ; selon CdG, ce ne sont plus les dieux qui créent les hommes mais les hommes qui fabriquent les dieux. L’emploi de la voix pronominale de sens réfléchi « se forgent  », l’énumération finale

En 1853 ont lieu les séances de tables tournantes chez Delphine de Girardin. Cette expérience permet au poète de se former une nouvelle religion, très précisément évoquée dans le poème des Contemplations intitulé « Ce que dit la bouche d'ombre ». Panthéisme et christianisme s'y mêlent pour former une pensée qui relève aussi bien de la religion que de la philosophie. Le dieu de Hugo n'est ni tout a fait impersonnel, ni tout à fait anthropomorphe : il serait plutôt la voix de la conscience, une forme

matière elle-même, qui joue, sans que les partisans de l'éternite la matière l'admettent, le rôle de la divinité. Il n'est pas étonnant de voir tant d'athées, déçus de leur vie, retourner à une forme de divinisation de l'univers. C'est la théorie du panthéisme, sur laquelle nous reviendrons un jour. Bonne lecture ! 

par rapport à Dieu. Aux vers 5 et 6, apparaît une conception de l'amour comme étroitement lié à la douleur, comme ne pouvant exister que par elle. Dans la deuxième partie de la deuxième strophe, avec «celui que tout nomme» le poète manifeste son panthéisme. Les êtres aériens que sont les oiseaux servent d’intermédiaire entre l’homme cloué à la terre et la divinité. Commence au vers 13 un tableau de la nature dont on sait qu’il est très précis. Ainsi, «l’arbre» était un châtaignier qui servit, à Hugo

finale seule la violence soit un moyen de rompre avec cette attente. 2- Les allusions culturelles Spinoza est un philosophe du XVIIe siècle, qui a développé une nouvelle forme de pensée philosophique qui fait de lui le père du rationalisme et du panthéisme. Spinoza étaye sa théorie en développant les concepts de substance, d’essence, d’auto causalité, d’autodétermination. Sa pensée ne sera reconnue qu’après sa mort, et elle inspira moult philosophes. Churchill (1874-1965) est un homme politique britannique

est diabolique. La thèse qui est ici dénoncée par P. est celle selon laquelle la perfection serait au pouvoir de l’homme. 2) Cet orgueil du vouloir est précisé à la fin de cette intervention par trois points : - le stoïcisme serait un panthéisme (l’âme … divine) : tout ce qui est connaturel à Dieu - la négation du mal : la douleur et les maux ne sont pas des maux ; en fin de compte, s’il y a du mal, ce n’est pas du mal en un sens négatif, mais de privation - l’autorisation du suicide

fondement ultime, indépassable : absorption de l'absolu dans le « je ». Le particulier, l'individuel est valorisé. l'absolu seul est le sujet, en particulier sujet de l'histoire : absorption de l'individuel dans l'absolu. Cette conception tend vers le panthéisme : l'individu n'est pas le sujet de la pensée qu'il perçoit comme sienne, mais c'est l'idée, Dieu ou la nature. Cette dernière conception montre que l'on ne doit pas associer par habitude le sujet et l'individu, car il est possible de nier à ce dernier

de continuer à s'intéresser à la théologie. Il développe dans ses écrits, et notamment dans Le Tractatus theologico-politicus en 1670 et l'Ethique en 1674, une nouvelle forme de pensée philosophique qui fait de lui le père du rationalisme et du panthéisme. Pour Spinoza, Dieu est l'univers. A partir de là, Spinoza étaye sa théorie en développant les concepts de substance (à laquelle il reconnaît des attributs et des modes), d'essence, de conatus, d'autocausalité, d'autodétermination... Sa pensée ne