Par-delà bien et mal

citation médiévale : « Qui chante son mal enchante ». On verra dans un premier temps que dire son mal peut être beau, enchanteur, mais en seconde partie que l’expression du mal ne l’est pas forcément, en synthèse nous verrons en quelle mesure la poésie moderne qui traite du mal peut faire la beauté de cet art. Un poème lyrique est par définition un poème qui exprime des sentiments, en l’occurrence on étudie les poèmes exprimant le mal. Le mal en tant que mal être, malheur, ou souffrance. De nombreux

tout mal on peut tirer un bien ? Sommaire Introduction Première partie Deuxième partie Troisième partie Introduction L'expression "est-il vrai" laisse entendre que l'idée que l'on peut tirer de tout mal un bien est une idée commune, une idée reçue : "A tout malheur quelque chose est bon" - dit-on . Mais peut-on tirer de tout mal, quel qu'il soit, un bien? Encore faut-il savoir ce qu'on entend par "tirer" et ce qu'on désigne par "mal". Si l'on dit qu'on tire ou retire un bien d'un mal

org/actualites/memoire-et-oubli-de-baudelaire-dans-l-oeuvre-de-proust-matthieu-vernet_59457.php http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/litt_0047-4800_1986_num_63_3_1398 introduction I- Présentation de l'auteur et de son œuvre "Les Fleurs du Mal" 1.1 Le vécu de Baudelaire 1.2 Présentation de l’œuvre II- Baudelaire et la mémoire 2.1 La mémoire 2.2 Les souvenirs 2.3 Le rêve et l'imaginaire baudelairien 2.3.1 L'élévation 2.3.2 Les parfums et les sens III- Baudelaire et l'ennui

Élévation Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ses miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu

l'autorité. Hétéronomie : capacité de penser par soi-même, de recevoir le bien d'autrui. La pensée se caractérise par la philosophie. A/ Invention de la philosophie : Les grecs ont inventé la philosophie. La philo est à distinguer de ce que les grecs appellent sophia = la sagesse. Au sens propre, la sagesse est la capacité de vivre bien, d'être heureux. Pour les grecs, il n y a pas de différences à faire entre le bien et le bonheur. Il n'est pas évident qu'on sache s'y prendre au mieux pour

qui met en présence deux personnages que tout oppose : le moribond est un libertin, athée et débauché qui va tenir tête au prêtre et va essayer de le convaincre que l’au-delà n’existe pas. Il va s’efforcer de combattre les préjugés religieux tout en défendant une morale très personnelle. C’est un affront de deux opinions de l’au-delà totalement opposés. Le premier paragraphe est une remise catholique et la défense d’une morale laïque. Dans le second paragraphe l’auteur met en avant l’exhortation au

Le poème « De profundis clamavi » représente bien le dualisme métaphysique exploité dans la poésie baudelairienne. En effet, des références au spirituel sont énoncés tout au long de celle-ci à cause d’une opposition entre l’au-delà et l’enfer. Conscient de sa condition humaine, Charles Baudelaire supplie un « Toi » inconnu désignant une entité surnaturelle : « J’implore ta pitié, Toi, l’unique que j’aime, (1) / Du fond du gouffre ou mon cœur est tombé (2) ». Par ces vers, l’auteur montre qu’il voit

recenser les différentes formes du mal. Ce n'est pas tant dans le fait qu'il faudrait d'abord s'épuiser à le définir, par rapport à un bien suspect, lui aussi, de variabilité. C'est surtout que le propre du mal est de s'installer dans la pluralité, la déviance, l'invention de formes toujours nouvelles. Le bien, lui, vise l'unité, la pacification, la norme, au point que ses chemins paraissent parfois ternes et fades. Rien ne dit mieux, au fond, cet ondoiement du mal que les anneaux du serpent qui en

effet d’attente dans ce poème à la tonalité lyrique. in Les Fleurs du Mal (1861) Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par delà les éthers, Par delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans l’air supérieur

07:21    Sujet du message: | Répondre en citant | Tout d'abord, je dois dire que cet épisode m'a jeté sur le cul et la fin était pour moi, sublime, rien de moins! Je crois aussi finalement que la série toute entière peut être interprétée de bien des façons, selon nos croyances personnelles. Ce sera intéressant de lire comment tout le monde perçoit la chose, mais dès maintenant, personne ne peut affirmer avoir tout compris alors que plusieurs interprétations peuvent être valables. C'est du