Paradoxe Baroque

Ninive, Babylone » ( l 12) III- Les paradoxes des valeurs. Le peuple allemand, qui représente l'aboutissement d'une certaine civilisation dont Valéy semble faire l'éloge associé à des valeurs éminentes comme «  travail » « l'instruction » « la discipline », a engendré des comportement destructeurs et a été responsable de la mort de grand nombre d'homme. Le paradoxe : se sont les vertu qui ont rendu possible ces manifestations de pur horreur. Ce paradoxe ce prolonge dans l'hyperbole «  les grandes

au milieu du XVII) et, pour éviter tout trouble, a décidé d’affaiblir la noblesse en la domestiquant à la cour. c) la gestion de l’état - Montesquieu dénonce la ruine de l’état provoquée par le goût du faste et des guerres incessantes (notez les paradoxes qui traversent le texte : « comblé de richesse » / « accablé d’une pauvreté », « prince » / « particulier ») Conclusion : efficacité de la dénonciation au travers du regard étranger, de l’ironie et de l’implicite 

assonances insistent sur la complicité. Elle fait du bruit dans l'eau pour attirer l'attention. 2. L’ironie Elle est due à la distanciation entre l'adolescent et l'adulte : c'est le recul du narrateur : opposition v18/20 et 27/28 : ce sont des paradoxes mis en évidence par l'absence de « mais », c'est la parataxe. Décalage renforcé par anaphore v20 et 28 = ironie due au décalage entre ce qui est perçu et l'interprétation qui pourrait être faite ; l'interprétation est faite rétrospectivement. Elle

(v. 1) est un alexandrin = vers traditionnelle « ancien » (v. 1) diérèse Paradoxe entre la forme et le thème Alourdie le vers, insistance Métaphore « Bergère Ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin » (v. 2) paradoxe (réf pastoral) Pour suggéré le bruit de la ville Tour = symbole de modernité, elle veille sur la ville. Une image champêtre pour décrire la modernité « automobile ancienne » (v. 4) Paradoxe « ce matin » (v. 2) Renvoie à l'effet de renouveau « Ô tour Eiffel »

surviennent en temps de guerre. Marjane, la protagoniste principale, mets en lumière les paradoxes de la guerre par son ignorance des raisons d’évènements sociaux causés par la révolte et démontre, par son regard enfantin, que la guerre occasionne des conflits entre l’individualité et la société. Dans le tome I de Persepolis, l’incompréhension de l’enfant quant aux évènements occasionnés par la révolution soulève les paradoxes de celle-ci. On peut constater que, dès le début du récit, puisque Marjane ne saisit

des lois ) = homme mature(l'age) = au sommet de l'échelle (socialisation). =>Vieille femme = femme(inégalitées des lois ) = on appuie sur "vieille"(l'age ) = au plus bas de l'échelle (socialisation ). b) des personnages de contradiction (paradoxes) Chose illogique: une personne a tout pour etre heureuse et est malheureuse , inversement , comme par exemple plus on fait des éfforts moin on est recompensé cela est un paradoxe.A travers ces deux personnages, on constate que leur mode de vie est

certains renâclaient devant le triomphe annoncé de cette nouvelle doxa. Catherine Kerbrat-Orecchioni 29 1.2. Une position para-doxale En 1981, avec ses Éléments de pragmatique linguistique, Berrendonner met les pieds dans le plat, en osant ce paradoxe : « Quand dire, c’est ne rien faire » (titre du chapitre III). Il note que la notion d’acte fonctionne en pragmatique comme une sorte de « terme primitif, dépourvu de définition » (p. 79), et que cette notion d’acte de langage va à l’encontre du

la rend iréelle. 2) Une mère aimante : -les termes en italiques : comptine de la mangeuse d'âme, la traduction attire notre regard, elle a de l'importance. → montre l'horreur car sa comptine est joyeuse et contraste avec la cruauté de la scène. - paradoxe de la comptine → elle est dans la sphère du mal, personnage capable de douceur mais aussi capable d'être aimant. 3) une irréalité monstrueuse : -La mangeuse d'âme représente l’allégorie de la mort, « nous avions ordre sous peine de mort de ne pas

milieu du XVII) et, pour éviter tout trouble, a décidé d’ affaiblir la noblesse en la domestiquant à la cour. c) la gestion de l’état - Montesquieu dénonce la ruine de l’état provoquée par le goût du faste et des guerres incessantes (notez les paradoxes qui traversent le texte : « comblé de richesse » / « accablé d’une pauvreté », « prince » / « particulier ») Conclusion : efficacité de la dénonciation au travers du regard étranger, de l’ironie et de l’implicite

constitue le sujet ? dans quelle situation la question se pose-t-elle ? pourquoi ?  repérer les thèses en présence : quels arguments peuvent-elles faire valoir ? quels concepts mobilisent-elles ? quelles sont leurs implications ? quels difficultés ou paradoxes soulèvent elles ? II La construction de l’argumentation 1°) les types de plan On distingue traditionnellement 2 types de plan : le plan dialectique et le plan thématique. Dans les deux cas il doit y avoir une progression de la réflexion