Paradoxe Baroque

et des couleurs et du charme. » Signifie-t’il par là qu’il veut se démarquer du lyrisme des romantiques (le terme romantique ayant à l’origine été apposé à un paysage de montagnes qualifié aussi de pittoresque). Desnos recours, pour montrer les paradoxes de l’amour et son caractère fluctuant et mouvant, à l’hétérométrie des vers, à des figures de styles du registre de l’opposition et à des images très marquantes Toutefois, il ne faut pas manquer de se questionner sur le titre du

substance ». Il tente de faire réagir les auditeurs en lui prédisant un mort brutale : « et alors nous tomberons, manque de soutien » (l.35). Nous sommes tellement faibles et tellement petits, que nous ne serions rien sans lui. Il a recours aux paradoxes, tel que le paradoxe qu’il y a à s’étonner de la mort d’un mortel, il rapproche « mort » et « mortel » dans la phrase « On n’entend que paroles d’étonnement de ce que ce mortel est mort » (l.3 - 4), ce qui doit étonner c’est le fait que l’on se masque une

romantique. -Expression «qui que tu sois» répété -Lettre qui renforce l'anonymat et l'humilité de RB (ex: «un homme est là dans l'ombre» mystère et anonymat) 3) Une tragédie en marche. -Indice de dénouement Image du poison qui désaltère → paradoxe Dont de lui-même que fait RB → «donnera son âme» annonce qu'il va tout donner Symbole du feu pour évoquer une passion coupable et dévorante Conclusion général: Monologue particulièrement émouvant poétique qui révèle la dimension de femme

grâce à différents procédés : la ponctuation, les paradoxes et l’appel aux valeurs morales entre autres. On trouvera des paradoxes destinés à critiquer les occidentaux, notamment celui des "fétiches hollandais" qui agissent envers le nègre à l’opposé de ce qu’ils prêchent. Ce paradoxe est déjà présent dans la description des traitements qui lui sont infligés : ils sont inhumains alors que le nègre est "germain" avec eux, donc humain. Ce paradoxe se rencontre aussi dans la remarque du nègre qui

auxquelles vous pourriez répondre en évoquant des faits ou des connaissances scientifiques. La question philosophique doit en effet porter à controverse, pouvoir faire l’objet d’un débat. Et il lui faut donc pour cela contenir une contradiction ou un paradoxe, peu importe s’il s’agit de le résoudre, d’en démontrer l’inanité ou le caractère inéluctable. Une fois votre question trouvée, il vous faut aussi lui fournir une réponse. À partir du moment où vous entrez dans un débat, quatre positions possibles

allons en traiter quelques une ici que le critique a abordé également comme l’utilisation de paradoxes, l’effet de surprise et l’utilisation d’image. Le poète est en perpétuelle contradiction ce qui donne un effet surprenant à ses écrits, notamment lorsqu’il est sujet de la beauté. En effet, le Beau physique s’oppose au Laid moral ce qui entretient une certaine esthétique de la discordance. Le principe du paradoxe est abondamment utilisé, c’est ce qui fait l’essence de sa poésie. On peut le constater

------------------------------------------------- Méthodologie de la dissertation littéraire 1) Analyser le sujet : un crayon à la main, en repérant dans la citation les parallélismes, les oppositions, les liens de cause à effet ou du général au particulier, les paradoxes, les images, les nuances, les réserves etc. Vous pouvez aussi souligner les mots qui vous semblent importants. -Tâchez en même temps de qualifier le ton de la citation, par exemple, polémique, laudatif, ironique, normatif etc. -Tenir compte éventuellement

l'abstraction des images, la poétique de l'expressivité du discours séduisent le lecteur. Sidonie, une métaphore oxymorique Ce qui interpelle la curiosité du lecteur, c'est avant tout le titre, ses déclinaisons multiples, ses contresens, ses paradoxes. En lui-même déjà, il vaut tout un emblème. Sidonie donne à entendre une séductrice résonance. Elle préfigure un personnage aux allures bienfaitrices dignes des saints du panthéon judéo-chrétien. Sidonie ! On se méprendrait à y voir un visage beau

qu’on n’a pas faim devant un tel tableau… 1.2 Le tableau de l’horreur - Lexique de la vermine exagérément développé : « mouches, larves… » - Gaieté ironiquement associée à ce monde de la décomposition « en pétillant, vivait en se multipliant » (paradoxe de la vie qui naît de la mort, effet presque surnaturel, renforcé par « étrange musique ») + « vivants haillons » - Réorganisation de la vie à partir de la matière de la mort « noirs bataillons ». II – Comparaison de la femme et de la charogne

pas un héros = satire de la vanité. b- morale explicite . Présence dans les deux derniers vers “les gens sans bruits sont dangereux/Il n’en est pas ainsi des autres” (v.24-25) “gens sans bruits” = Rivière paradoxe ; dangereux” Les gens qui font du bruit = Torrent paradoxe, absence du danger . Sens de la morale ; ne pas se fiez aux apparences apparence X réalité Texte nº3 – Les Animaux Malades de la Peste de la FONTAINE Reprise d’une tragédie grecque “ Oedipe et Roi “ parodié