Paradoxe Dicare

« Il n’y a plus d’individus. Il n’y a que des salles ». Cet étrange effet de globalisation, cette simplification dont le paradoxe est souligné par l’intervention à contre-sens de Robineau (« Et à la centième, tout se complique ? »), déshumanise le public et suscite chez les acteurs des réactions anxiogènes. L’énumération des différents types de « salles » et de leurs paradoxes, qui s’achève comme une litanie des contraires (« les salles heureuses, les salles malheureuses, les salles froides, les

: le faite de ne plus utiliser le prénom « Delphine » dans des phrases exemples pour illustrer des règles de grammaire, ou bien même les euphémismes frappant que le professeur fait en parlant d’un élève à ses parents à la réunion parent/prof. - Paradoxe : des élèves tous dissipés, un professeur qui se bat pour se faire respecter et celui-ci laisse une classe livrée à elle-même pour emmener un élève chez le principal du collège. Cela montre un côté invraisemblable de l’histoire, car l’abandon d’une

EXPOSE : Le paradoxe de l’inimitié amicale - Diderot : « l’histoire du capitaine de Jacques » Jacques le Fataliste, éd. Pléiade p 710 à 720 « Mon cher maître , la vie se passe en quiproquos […] ce n’est pas trop la qualité des maîtres envers leurs valets ». - Helvétius : chap. XIV, « De l’Amitié », De l’Esprit, éd. Fayard, p 314 à 323. INTRODUCTION : Jacques le Fataliste est un roman construit sous la forme d’un dialogue entre le héros éponyme, Jacques, et son maître. Ils vont

Mélanie , Coralie , Emeline Delphine , Thibault , Sébastien . Le recul de l’âge de départ à la retraite Paradoxe entre la loi et les problématiques d’entreprise Le recul de l’âge de la retraite. Paradoxes entre la loi et les problématiques entreprises Résultat d’une construction sociale, le système des retraites n’est pas figé. Des mesures relatives aux retraites ont été prises régulièrement depuis la création de la Sécurité sociale, durant les ordonnances d’octobre 1945. C’est aussi la

s’il leur est apparu simplement comme une discussion portant sur ce qu’est un paradoxe et une illusion. Plus délicat fut de dépasser l’idée qu’un paradoxe n’est pas quelque chose de problématique mais seulement quelque chose d’amusant. Si l’on prend l’énigme au sens d’Aristote - « L'essence de l'énigme est de dire ce qui est, en combinant entre eux des termes inconciliables », Poétique, XXII, 1458 a – certains paradoxes sont plus que de simples illusions, plus même que de simples jeux de mots (ou

et morale de l’enseignant, en définissant les idées maitresses de cette problématique puis en étudiant le rôle de référent de l’enseignant. Puis dans une seconde partie nous verrons les divergences qui existent entre morale et éthique ainsi que le paradoxe induit par la notion de référent. Pour finir nous verrons que cette pluralité de valeurs, un des fondements nécessaire de la fonction d’enseignant. I. La responsabilité éthique et morale de l’enseignant A) De nécessaires définitions

et qui est utilisée dans la plupart des grands systèmes, tels que l'aéronautique, l'espace, le nucléaire, etc. Paradoxes admis et inévitable ; cependant, sa matérialisation sera toujours intolérable pour les victimes ou leurs ayant-droits, qui réclameront, non seulement des dédommagements matériels mais, aussi, des sanctions et mesures pour que cela ne se reproduise plus. Paradoxe n° 3 : les grands systèmes sont définis et exploités dans l'optique d'une approche probabiliste, mais, si un accident

toujours un peu le contraire de ce que je veux dire. » -Même schéma dans la syntaxe des phrases : « Evidemment, la vie est ratée, mais c’est très très bien, la vie » >évidemment : doxa > paradoxe de la pensée du jardinier >construction en chiasme + antithèse : insistance et mise en relief du paradoxe. Cela montre que tout peut basculer dans son contraire, et que même la vérité est contradictoire (on peut détester quelqu’un à force de l’aimer). Qui peut savoir où se situe la vérité ? (problématique

sérieux : « la Sagesse », « les [...] mortels crédules» (9), « diligent » (10). Cf aussi insistance sur le rire (moqués, rire) et l’antiphrase finale (« de quelque semblable caresse ») : ridicule des hommes III. Un enseignement paradoxal 1. Un paradoxe manifeste ( le titre : antithèse fou/ sage ( présence d’autres figures d’opposition: oxymore « hiéroglyphes tous purs » ( opposition des deux parties du discours du moraliste : il faut fuit les fous mais le roi en a dans ses cours. 2. La nécessaire

(la rougeur) aveuglement vers 275: l'acte de voir par sa violence produit la nuit en elle juxtaposition de manifestations relevant de la perte des sens vers 276 : manifestation oxymorique : à la fois corps glacé et brûlant - insistance sur le paradoxe par répétition de " et " reprend l'oxymore initiale : rougis -> brûler (feu) = amour palis -> transir (froid) = effroi métaphore de la maladie : " mon mal " + " incurable amour" Amour qui se manifeste d'emblée par des troubles physiques opposés