Paradoxe Dicare

efficacement son lecteur : →importance de la 1ère phrase «  Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles » : courte prosopopée des civilisations qui implique une personnification avec l'adjectif « mortelles ». Sorte de paradoxe (puisqu'il qualifie de mortelles, une abstraction). Rythme croissant (2/4/6/6) qui donne à la phrase de la majesté, digne des grandes déclarations officielles. Le référent du pronom « nous » est postposé et crée un effet de surprise et interpelle

vraiment ? On concède alors qu'au dialogue qui devrait être synonyme d'échange on préfère un nombrilisme prononcé. Celui-ci devient alors, à défaut d'être constructif, une éloge personnelle. On est donc actuellement dans une manifestation concrète du paradoxe du sens réel de l'échange et de la concrétisation de la conversation. Cependant, on ne peut accabler tous les hommes de ce vice. En effet, le martelage continuel que nous subissons chaque jours, par les médias, par la politique actuelle et par les

sujet en totalité ! ! !. 3. La citation : son auteur, son origine sont-ils connus ? renvoie-t-elle à un phénomène littéraire, de société que je connais (cf. histoire littéraire) . Reformuler la thèse exprimée : Présente-t-elle une opinion admise, un paradoxe etc. 4. Repérer les mots-clefs, les définir au besoin à l’aide d’un dictionnaire, même ceux qui semblent faciles (polysémie, sens second éventuel) 5. Circonscrire le domaine de réflexion  Eviter le hors sujet : Ce dont je peux/dois parler Ce

tout prendre moins violent qu'un masse qui se contenterait d'énoncer ce qui va de soi ; le "naturel!" est en somme le dernier des ouvrages." Il parle de l'évidence et du paradoxe. Para = contre (grec) doxa = opinion = contre l'opinion. Discours qui va contre l'opinion commune, le texte est paradoxal, paradoxe sur le paradoxe, texte auto référent et sur son opposé ; cela-va-de-soi : ce qui n'est pas justifié, ce qui ne fait pas appel à la démonstration, ce qui n'est pas réfléchi = platitudes = banalités

synecdoque: désigner le tout par une partie du tout (ou l’inverse): ex: les voiles sont de retour (= les bateaux à voiles). On insiste sur la légéreté de ces bateaux à voiles, leur grâce... LES FIGURES DE L’OPPOSITION : Antithèse, oxymore, chiasme, paradoxe : évoquent une contradiction qui peut être intérieure (registre lyrique), qui peut dénoncer les imperfections d’un système, ça peut être pour contrer ... antithèse: opposition de deux termes (qui sont par conséquent des antonymes) oxymore: rapprochement

saisir… par la pensée » (l. 2), la concevoir assez distinctement. Pour cette claire concision les mots manquent, alors que, avons-nous vu, notre familiarité à l’égard du temps est principalement attestée par le flux de nos paroles. C’est là un paradoxe, d’autant plus que pour Augustin, comme pour Platon, c’est au-dedans de soi, dans la pensée pure, que l’on comprend le langage (cf. ch. 3 et De Magistro4). Mais ce 3. La numérotation des lignes indiquée entre parenthèses renvoie toujours au texte

auteurs : se limiteront aux échanges dans le présent entre deux personnes parleront surtout de rétroaction négative, celle-ci jouant un rôle important quant à la réalisation et le maintien de relations stables. Dans le traitement des paradoxes, excluront les faux paradoxes dus aux erreurs de raisonnement ou tout sophisme induit dans l’argumentation. On ne peut pas ne pas communiquer. D’après la définition de la psychologie sociale de G. Bateson : « la psychologie sociale est l’étude des réactions des

et à l’usage des termes syncatégorématiques, c’est-à-dire des termes n’ayant pas de signification en eux-mêmes, à la différence des termes catégorématiques, à savoir, les noms, adjectifs… Ils ont également étudié les paradoxes qui naissent de l’usage du langage, notamment le paradoxe du menteur qu’on peut énoncer simplement ainsi : si je dis « je mens », alors si ce que dis est vrai c’est faux car je mens, et si c’est faux alors c’est vrai car je ne mens pas. La théorie la plus célèbre des médiévaux

Lecture Analytique 1: Incipit de La peste (pages 11-12) -(l.1) indice de lieu et de temps -"Oran"(l.2) --> ville française qui tient à cœur à Camus -"194."(l.2) --> paradoxe --> créer un trouble, on est à une époque sans y être --> date absurde -"curieux événement"(l.1) --> euphémisme tragique car les événements sont horribles (milliers de morts) -"chronique"(l.2) --> terme journalistique --> volonté d'objectivité absolue de la part du narrateur --> narrateur interne qui reste en dehors des

classant les arguments du moins évident au plus évident. Question ouverte. A) Au brouillon analyse du sujet et problématisation : 1) - Faire apparaître les mots essentiels, les reformuler. - Repérer les connecteurs logiques, paradoxes ou opposition ? - Problématiser, reformuler le sujet (explicite) - Déterminer le plan ( dialectique ou thématique ) 2) Puis organiser son devoir, comment y répondre