Paradoxe Du Marché Contestable

« MARCHÉ INFORMEL » : UNE LECTURE CRITIQUE DU MODÈLE D'AKERLOF1 par Jean-Bernard BOYABÉ* Le secteur informel, en Afrique subsaharienne, peut être analysé comme un marché de biens et services. Les principales caractéristiques de ce « marché informel » permettent d'introduire les hypothèses de sélection adverse et d'aléa moral. Dans le cas extrême du modèle sous- jacent, le marché informel devrait cesser d'exister. S'il perdure, c'est parce qu'il existe des mécanismes complémentaires qui permettent

lendemain, il doit réorganiser le marché du travail, l’encadrer et mettre en place de véritables instruments de recyclage, de requalification et de formation des travailleurs. Est-il nécessaire de rappeler, encore une fois, que dans ce domaine aussi, nous sommes loin du compte. travail des femmes, le rétrécissement de la sphère du droit et de la légalité. Au delà des chiffres sur la situation de l’emploi, objet de controverses, c’est davantage l’examen des tendances du marché du travail qui retiennent

consommateurs de démocratie. Schumpeter suggère une théorie de la démocratie qui part de la souveraineté du consommateur et compte sur la main invisible du marché pour qu’émerge la solution socio-politique optimale. Le citoyen est réduit à son rôle de gardien de ses seuls intérêts particuliers, et le forum réduit à n’être qu’un coin du marché. On est loin du citoyen producteur de gouvernance. Ce que suggère la démocratie classique en fait, c’est qu’on désire un forum qui a certaines caractéristiques

Autrement dit, doit-on donner à manger au plus fort ou au plus méritant même s’il n’a plus faim, ou au faible même s’il ne l’a pas mérité. Nous avons là 2 manières de concevoir –comprendre- l’économie : - La vision libérale qui fait du marché, de l’offre, de la demande, des réalités naturelles au sens ou elles relèvent de l’ordre du donné (ces libéraux dénonceront donc toute correction et toute tentative de réglementation –par l’Etat qui fixe des finalités et des lois normatives- comme

commercialisation et de vente en intégrant que la concurrence à laquelle elles sont soumises ne se réduit pas au seul acteur présent sur le terrain (au marché domestique). Il y a une globalisation de la concurrence qui concerne les FMN et FTN ainsi que toutes les PME et PMI - La globalisation financière Ouverture (dérèglementation, décloisonnement…) internationale des marchés financiers couplés à la multiplication des produits et services financiers comme la titrisation : on a fait un mélange de dette en les

rationnels cherchant à maximiser leur satisfaction (utilité pour les consommateurs, profit pour les entrepreneurs), à la différence de l’approche hétérodoxe keynésienne - macroéconomique et holistique - pour laquelle les mécanismes d’ajustement du marché sont imparfaits, d’où la nécessité de les compléter, les encadrer ou les réguler para une action publique, politique économique ou intervention structurelle. Dans le premier cas la réalité complexe est simplifiée et réduite à une “loi” que l’on veut

ESH CHAPITRE 4.L’OFFRE, LA DEMANDE ET L’EQUILIBRE DU MARCHÉ EN CONCURRENCE PARFAITEPLAN DETAILLÉ I/ LES COURBES D’OFFRE ET DE DEMANDEA. Offre et demande de marché : l’agrégation des offres et demandes individuelles1) De la courbe d’offre du producteur à la courbe d’offre de marchéa/Du coût marginal du producteur à la courbe d’offre du producteurb/ De la courbe d’offre du producteur à la courbe d’offre sur le marchéc/ La courbe d’offre à court terme et à long terme 2) De l’utilité marginale décroissante

avant tout à cause des intuitions qu'il souligne, et de la richesse des résultats qu'il propose. Cependant, il est contestable sur plusieurs points : La plupart de ses prédictions sont infirmées par les flux du commerce international : Alors que les États-Unis ont un taux de capital par tête parmi les plus élevés, ils exportent des produits relativement intensifs en travail (paradoxe de Leontief); L'égalisation des prix relatifs n'est que rarement observée, même au sein d'une union monétaire

macro économie : le paradoxe de l’épargne La micro économie étudie les comportements individuels au moment de la prise de décision, s’intéresse au producteur et au consommateur et aux prix du marché. La macro économie attache une structure logique qui se résume à un problème de maximisation, s’intéresse au nv global celui de la collectivité nationale ou internationale, a la conso des ménages, le chômage, l’inflation, l’équilibre ou le déséquilibre des marchés… Le paradoxe de l’épargne : trop d’épargne

- La vie représentée comme un jour : métaphores : milieu de la vie « feu de midi » v.23, l’enfance : « son matin »v.24 - Comparaison de la vie avec les saisons : « printemps »v.24 ( enfance, jeunesse qui bascule vers l’ombre à la fin : « marche toujours plus sombre » v.43 - Hugo insiste sur la notion de regrets : métaphore v.26 : « le fardeau croissant du repentir », l’Homme se retourne systématiquement vers son passé : « redemander cet âge ou l’or ne dormait pas » v.30. Dans chaque