Paradoxe Relativisme Culturel

rendus avec le problème, nous individus du XXIe siècle… Il ne faut pas commencer par Platon. La première partie : les mœurs et les manières d’apprentissage du petit d’homme. L’apprentissage des codes sociaux. La seconde partie : la tension du paradoxe. Ce recours aux codes peut être employé différemment et contradictoirement. Comment s’articule le sens moral dans sa dimension affective et d’autre part le rôle de la raison et du jugement… Kant affirme que chacun sait que chacun sait ce qu’est

devenu péjoratif. Le sophiste est le maître dévoyé qui enseigne qu'il n'y a pas de vérité en soi, qu'il n'y a que des opinions diverses variant avec les individus ou avec les cités et que l'opinion la meilleure est celle qui assure la réussite. Ce relativisme servait de fondement rhétorique. Protagoras fut le premier à enseigner "la vertu et la sagesse qui font qu'on gouverne bien sa maison et sa cité (Ménon, 91a) . Cet art du pouvoir, c'est par la parole qu'on l'acquiert. L'enseignement des sophistes

Question de l’existence : de quelle manière l’être humain existe ? 2. Différentes réponses apportées - Je suis ce que je suis car j’ai un corps, je suis mon corps. Mais le corps en lui-même est un paradoxe. Le corps est la chose en nous le plus naturelle MAIS le corps est un objet culturel (vêtements, cosmétiques,…) Le corps, c’est ce qui voit, qui perçoit MAIS c’est aussi ce qui est vu, ce qui peut être pris comme un objet de perception. Le corps nous singularise MAIS il nous fait aussi

lois, des normes, d’après des habitudes et des représentations morales. A ce titre tout homme est cultivé ou presque pcq ils appartiennent tous ou presque à une société ? Le problème c’est que ca semble impliquer plusieurs choses : un relativisme des valeurs culturelles cad que si tout homme est cultivé, toutes les cultures se valent , où s’arrête le champ d’application de cette définition ? Cela implique que la culture s’applique a un groupe d’hommes (entreprise, famille association), à une société

puisqu’elle n’est pas répandue sur ces terres jusqu’alors inconnues ? Ce bouleversement, c’est ce que l’on a coutume de considérer comme le début des temps modernes : pour les historiens, l’époque moderne commence à la Renaissance ; le mouvement culturel qui s’épanouit alors, l’humanisme, jette les bases de cette modernité N’oublions pas cependant que l’apparition de ce mouvement n’est pas seulement due à la découverte du Nouveau Monde, mais à un ensemble de facteurs Et la question de l’Autre et

de l’éducation est libéral : il a un idéal à la fois pédagogique et politique (démocratique). � Dans quel(s) but(s) éduquer ? Pour le philosophe, les fins de l’éducation sont la liberté, la moralité et l’autonomie et son moyen est la discipline (paradoxe assumé). Pour lui, « un des plus grands problèmes de l’éducation est de concilier, sous une contrainte légitime, la soumission avec la faculté de se servir de sa liberté ». � Qui doit éduquer ? Ni la famille, ni les princes mais des professionnels

permettant de s'intégrer, former un tout cohérent (comme les maisons des jeunes). La création artistique fait médiation, on a l'idée est que l’art est quelque chose de « magique ». La fréquentation artistique à une fonction intégrative. Cette médiation culturelle a un engouement parce qu'il y a un problème du politique à la question du vivre ensemble (la preuve est qu'on ressent ce problème de plus en plus et qu'on en parle de plus en plus). On met donc en relation l'art et le politique. L'art produit une

s’oppose à l’accent mit sur l’imitation et le respect des conventions pour souligner l’importance de l’imagination individuelle. Il exalte la liberté et conteste les règles du classicisme. Il y a un souci du retour aux sources, à des racines culturelles ethniques qui sont souvent inventées. Il n’y a pas UN romantisme mais DES romantismes qui ont parfois des tendances contradictoires. Ils peuvent être progressistes (+ de liberté) ou conservateur. Soit : visée universelle est défense des idéaux

auprès d’autrui avec toute l’exactitude possible » (Thucydide). Nous pourrions soulever le problème qu’il existe, dans cette phrase, un paradoxe entre « je n’ai pas cru devoir, pour les raconter me fier […] à mon avis personnel » et « j’y ai assisté moi-même ». Thucydide semble tour à tour soumettre et ne pas soumettre son jugement à la critique. Mais le paradoxe ici, n’est qu’une fausse impression. Le problème est que Thucydide, contemporain des événements, possède une certaine opinion sur ce qui

rapprochent de Dieu. Despotisme : Pascal vit dans le système de la monarchie absolue et s’il ne met pas en cause l’ordre établi par cette hiérarchie, l’exemple des rois est fréquemment employé pour justifier la misère humaine. Pascal s’appuie sur ce paradoxe : plus l’homme a de puissance et de privilèges, plus il se place dans une situation où toute sa vie sera marquée par l’angoisse de sa destitution : ce qu’il met en œuvre pour l’éviter relève de la tyrannie du divertissement. Pour Pascal, le Roi est