Paradoxe Relativisme Culturel

voilà ce qu'il faut faire ou connaître, mais bien entendu il y a mille raisons de le refuser, sentez-vous bien à l'aise de le faire tout de suite ! Nous privons donc les jeunes du temps de déploiement de leur liberté en voulant trop la garantir. Ce paradoxe a des conséquences, il serait temps de les considérer. Le deuxième cas de figure est celui qu'avait décrit Alexis de Tocqueville, reprenant les constats de Platon sur l'individualisme dans la démocratie4. La maladie des régimes démocratiques

appliqué à la politique, l’éthique de la responsabilité seule, privée de conviction, dégénère en politique de puissance. « Celui qui, en général, veut faire de la politique et surtout celui qui veut en faire sa vocation doit prendre conscience de ces paradoxes éthiques et de la responsabilité à l’égard de ce qu’il peut lui-même devenir sous leur pression (…). Celui qui veut sauver le salut de son âme ou sauver celles des autres doit donc éviter les chemins de la politique qui, par vocation, cherche à

effectives, qui prennent parfois de très grandes libertés avec les directives du texte Mais, quelle que soit l’option retenue, l’interdisciplinarité est incontournable. C’est évident pour la réception, qui dépend du moment historique, des normes culturelles en vigueur et de l’identité sociale des lecteurs considérés. Mais l’interdisciplinarité s’impose aussi aux théoriciens de l’effet : pour analyser la façon dont les stratégies textuelles impliquent le lecteur, il faut une théorie du sujet humain

monopole de la culture, en laissant tout ce qui n’entrait pas dans son cadre, dans la catégorie informe des « barbares », des « sauvages », des « primitifs ». Nous savons aujourd’hui que le modèle culturel occidental n’est qu’un modèle parmi d’autres. Mais cette reconnaissance de la diversité culturelle a aussi eu pour conséquence la relativisation extrême de la notion de culture. On passe aisément du traditionnel au tribal et du tribal au social. L’homme postmoderne a été habitué à considérer

ne pas rester solitaire, ni oisif, de ce théologien des humeurs qu’était Burton eût dû s’appliquer d’abord au savant d’Oxford, dont la vie s’écoula dans l’étude érudite et acharnée de tous les livres de la bibliothèque de Christ Church. De tels paradoxes sont fréquents chez les moralistes, dès lors que l’on met en relation leurs actes et leurs pensées. Si l’amour de l’étude est un acte de penser, né de la solitude, qui se concrétise parfois par des travaux écrits, l’écriture n’est elle qu’une oisiveté

créateur d’une œuvre d’art. Or, il est difficile de saisir le sens de ces termes puisqu’ils se définissent les uns en fonction des autres (en effet, l’artiste est défini à partir de l’œuvre qui est elle-même défini à partir de l‘artiste). ( premier paradoxe de notre expérience de l’art : celui de la difficulté à cerner précisément le domaine de l’art et à le définir. -2- le problème du jugement de goût (cad lorsque nous apprécions la beauté esthétique d’une œuvre) : si nous reconnaissons

finalité, que le même personnage va s'appeler d'abord Catherine puis « elle », puis « la jolie petite fille ». Il découvrira qu'un texte possède une réelle cohérence et identifiera les indices qui la manifestent. 3 http://www.bienlire.education.fr Le paradoxe des méthodes de lecture Bien souvent, les méthodes de lecture tentent vainement de concilier l'inconciliable. Faire comprendre comment fonctionne le code écrit par la découverte du principe alphabétique et en même temps, sur les mêmes supports, faire

adultère… Ce sont des barrières négatives mais la légitimité n’a pas de contenu précis. Fondamentalement, elle s’apprécie ici et maintenant (inc et nunc), cad c’est une appréciation délicate où l’on pèse le pour et le contre selon l’environnement culturel, le système des valeurs, les temps, les lieux et les personnes. On se pose la question de savoir si le gouvernement fait plus de bien ou de mal au pays. Les théoriciens médiévaux ont débattu autour du meurtre du tyran car il s’agit de pondérer l’appréciation

l’absurde dans l’existence. Quand il est sage à l’image de l’amour altruiste, il donne un sens positif à l’existence, mais quand il est fou comme l’amour passion, il peut mener à la destruction la plus absurde ! Il y a incontestablement un mystère et un paradoxe de l’Amour qui veut que la plus belle des choses dans l’univers puisse en même temps être la source de la plus terrible des souffrances. Toujours est-il que l’Amour est tellement beau et sublime qu’il ne faut jamais hésiter à prendre le risque d’aimer

définition, son concept) ne nous donne pas son existence. L'existence n'est pas une propriété parmi d'autres, mais ce qui fait qu'une propriété se réalise. En l'Homme, l'existence précède l'essence. L'Homme n'a pas d'essence, il n'est que ses œuvres culturelles. Définitions Expliquer | Étymologiquement, expliquer, c'est déplier.On associe souvent l'explication à une démarche analytique : décomposer un phénomène pour le rendre intelligible, alors qu'on associe plutôt la compréhension à une démarche synthétique