Paradoxe temporel

description que ce soit. Je est un autre. Tant pis pour le bois qui se trouve violon et Nargue aux inconscients, qui ergotent sur ce qu'ils ignorent tout à fait. I. Introduction :  A. Reformulation :  « Je est un autre » Proposition qui forme un paradoxe : le pronom qui désigne celui qui parle, celui que nous croyons le mieux connaître serait, à en croire Rimbaud, un autre. En quel sens l'entendre ? Est il un autre que celui qu'il croit être, un autre que celui que l'on croit connaître ? Ou alors

on s’aperçoit alors de notre erreur d’interprétation : - « canons » introduit ironiquement dans la liste des instruments de musique provoque un décalage étonnant ! - « harmonie » et « enfer » dans la même phrase forment une antithèse, voire un paradoxe ; car les enfers sont tout sauf harmonieux ! Cela introduit l’idée de chaos et de vision d’horreur du 2e paragraphe. * 2e paragraphe = vision d’un massacre dans la population civile ; tout le monde est touché (pluriel + groupes nominaux crus et

rencontre accidentelle entre deux ennemis. Problématique : Dans quelle mesure JV risque-t-il sa propre vie pour sauver la vie de quelqu’un d’autre qui le déteste ? Dans quelle mesure la force physique de JV devient sa faiblesse ? I- Le paradoxe d’un exploit Herculéen Après quelques hésitations face à la présence de Javert qui ne croit pas à la rédemption JV témoigne d’une force corporelle et intellectuelle héroïque. A- La robustesse « Tout à coup on vit l’énorme masse s’ébranler

la Pensée » contre la liberté d’expression jusqu’à son extrême, « novlangue » veut faire disparaître les idées et constitue une arme de propagande. - Terreur et répression : perte de liberté individuelle d’où la prudence mais pas de révolte. - Paradoxes des slogans : arrogance et cynisme des élites qui manipulent les masses pour les soumettre et les déshumaniser : « instinct », « débiter », « cabanes à lapins » + présence de la voix passive => comme des animaux. C. La crainte du totalitarisme

 STRUCTURE FORMELLE DE DISSERTATION EN PHILOSOPHIE INTRO : -Phrase d’accroche. -Reprendre le sujet. -Interrogez vous sur les sens possibles du sujet. Sur la raison sous-jacente qui pousse à poser cette question /sujet... sur le présupposé (l'idée acceptée sans analyse) qu'il y a derrière le sujet. -1 ère définitions des termes -Quels sont les différents sens du sujet à partir des différents sens des termes importants ? -Soulignez la problématique. -Plan 1

le passage est construit sur des paradoxes : cf : connecteurs logiques d’opposition « et si »  Opposition sécurité du philosophe / peur « encore que » : crainte / solidité des galeries Eet si » encre que » : vertige de Montaigne/ fermeté coutumière / absence de danger Conjonction « mais » opposition précipice jalonné d’un arbuste et d’une bosse / précipice qui n’offrirait aucun obstacle à une chute éventuelle Anecdote de Démocrite = caricature du paradoxe de la vérité accessible aux seuls

occidental est aux prises avec de nombreux paradoxes face auxquels son corps et sa psyché se débattent à la marge de deux mondes : l’enfance qu’il quitte et la vie adulte vers laquelle il tend. Premier paradoxe, l’adolescent est fragile du fait des nombreuses mutations dont il est sujet, mais se trouve également mu par des forces vives, au niveau corporel (transformation du corps) et psychique (réactivation des pulsions sexuelles par exemple). Deuxième paradoxe, son environnement relationnel est capital

comparaison entre les cannibales et les européens ● Antithèse (l. 29) : « à manger un homme vivant » / « le manger mort »  = souligne la barbarie des prétendus civilisés ● Énonciation (l. 26)  : « je ne suis pas fâché ») + l. 28 : « je pense » ● Paradoxe (l. 33) : « et qui pis est, sous prétexte de pitié et de religion » = cruauté, Montaigne donne son avis ; la religion doit apporter la paix mais ici ; guerre, massacre. ● Champ lex du massacre : « barbarie », « tortures », « suplices », « mort »

j'en avais pour la journée à savourer ma peur…", cette antithèse et paradoxe résume tout à fait cette situation. La rencontre avec ce livre, en plus de procurer des émotions intenses à l'enfant, lui permet de découvrir la géographie et l'exotisme, ce qui est pour lui extrêmement fascinant. En effet le livre au centre de son aventure se nomme Géographie universelle, écrit par un certain Élisée Reclus. Ceci est un paradoxe tout à fait ironique car le livre en question donne accès au monde entier

cohérence interne de ce « secret ». En ce qui concerne la richesse, surtout avec l’engouement actuel pour la « loi de l’attraction », il est évident qu’on parvient à un paradoxe économique : tout le monde ne peut pas être milliardaire (en dollars ou en euros, du moins). Si ça vous amuse, vous pouvez facilement imaginer des paradoxes dans d’autres domaines, par exemple si deux ou plusieurs personnes voulaient provoquer des événements incompatibles ou contradictoires. Ici encore, on nous répondrait