Paradoxe

-------------------------(Année 2015-2016/ Terminales ES-S) Faire un alinéa d’environ 4cm INTRODUCTION (1) Introduire, amener le sujet (aller du sens le plus commun ‘la doxa’ au plus complexe). (2) Problématiser, légitimiser la question, montrer les paradoxes qu’elle peut soulever, les questions qu’elle amène etc. (3) Définir les termes du sujet avec précision et faire le lien entre eux (faire attention aux différents degrés et sens des mots). (4) Annoncer le plan : montrer toutes les facettes de la question

cher. Dans ce syllogisme, La seconde proposition (la mineure) est contradictoire avec la première (la majeure) : un cheval ne peut pas être bon marché et rare en même temps d’après la première proposition. Il y a un paradoxe beaucoup plus difficile à résoudre : le paradoxe du menteur. Il est tout simple : quelle est la valeur de vérité de la proposition « Je mens » ? Si elle est vraie, je mens, donc elle est fausse. Mais si elle est fausse, ce que dis est vrai, donc elle est vraie ! Bref, cette

entendre la symétrie. Ex : Vous êtes aujourd'hui ce qu'autrefois je fus (Corneille, Le Cid).. Oxymore : alliance de mots contradictoires dans un même groupe. Ex : Un blond obscur / Cette obscure clarté qui tombe des étoiles (Corneille). Paradoxe : figure d'opposition qui consiste à contredire l'opinion commune. Ex : Rien n'était si beau, si leste, si harmonieux que les deux armées (Voltaire, Candide). Alliance de 2 propositions dans un même énoncé qui produit un énoncé contraire à l'opinion

Laisser tout dire c'est laisser dire des propos qui peuvent être eux-mêmes intolérants, irrespectueux de la liberté et de la dignité d'autrui, tels que des propos racistes, xénophobes, misogynes, ou négationnistes par exemple. On arrive alors à un paradoxe : le principe de la tolérance, poussé au bout de sa logique, en viendrait à tolérer l'intolérance. Dès lors, laisser tout dire, ce ne serait plus être tolérant mais au contraire se condamner à ne rien pouvoir faire face à l'intolérance. Le principe

Le roi est un brigand. - Accusations "mignarder" (=cajoler), "sales plaisirs" - Accusations homosexuelles. - Indices stylistiques : début sur une apostrophe pour faire réagir le peuple ce qui trahit l’indignation de la Boétie. - Nombreux paradoxes "ils sont esclaves parce qu’ils le veulent". - Phrases et faits inacceptables par la raison. - Incompatibilité entre les actions du peuple et le roi. - Enumérations multiples et interrogations rhétoriques très appuyées qui incitent le destinataire

inné reçu dés la naissance sans qu'on l'ait choisi et sans que l'on puisse en changer. Un outil à l'inverse est un objet extérieur à moi, qui existe en dehors de moi et dont je peux librement me servir pour accomplir certaines tâches. Il y a là un paradoxe presqu'une contradiction il faut lui donner un sens. La main est la manifestation et la mise en oeuvre concréte pratique dans le corps biologique de l'homme, de son intelligence, de sa raison. Ainsi, il ne faut pas simplement la qualifier d'outil

est semblable à un prince) - Métonymie : expression d'une idée par un terme désignant une autre idée mais qui lui est reliée (exemple : de cause à effet) - Oxymore : rapprochement de mots normalement éloignés (exemple : cette obscure clarté) - Paradoxe : présentation d'une argumentation allant à l'encontre de ce qui est normalement admis (exemple : il était si paresseux qu'il organisait au mieux son travail) - Pathos : expression touchante dans un but d'émotion (exemple : ce n'est point un simple

Méthodologie de la dissertation DISSERTATION ET MÉTHODOLOGIE La dissertation est avant tout école de RIGUEUR. Il ne s’agit pas de divaguer sur des sujets aussi creux qu’inutiles mais bien de devenir un théoricien qui cherche à résoudre des PARADOXES (le paradoxe énonce une idée contraire à l’opinion commune, afin de surprendre, de choquer et d’inviter à la réflexion). Évidemment, pour être convaincant, c'est-à-dire DÉMONSTRATIF, cette résolution nécessite une METHODE, élément nécessaire pour bien

et unique et absolue cependant ne peut-elle êtres remise en cause ? II.la crise des mathématiques ou la fin de la certitude absolue. Même s’il y a eu quelque accrocs a la certitude absolue des mathématique avec les paradoxes de Zénon ou le paradoxe du sortie, cette idée va prédominer jusqu’au 19 siècle. Ensuite, la conception traditionnelle des mathématiques et de leur vérité va subir un bouleversement total avec l’émergence des géométries nom euclidienne et puis plus tard avec

international ? En observant les pratiques actuelles, et certaines remarques telles que «Avant d'être Africain nous sommes des gestionnaires», ne tendons nous pas d’avantages vers l’assimilation voir l’ethnocide de nos cultures ? N’y a t’il pas un paradoxe entre cette mondialisation des moeurs et l’individualisation de chacun qui met la culture en ballotage ?