Paradoxe

encor. Procédé: Litote Analyse: Il ne doute pas, il en est sûr qu’elle est partie et qu’elle ne reviendra pas. 3) L’incompréhension, la solitude et le désespoir du poète Citations: si tu pars, pourquoi m’aimes-tu ? Procédés: Le paradoxe Analyse: Le poète ne se remet pas en question, il rejette la faute sur George Sand et ne comprends donc pas pourquoi elle est partie.   II. Un poète orgueilleux et immature: 1) Des reproches incessants faits à la femme aimée (orgueil) Citation:

de montrer que son temps est en train de ce réduire | « Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée » | Métaphore de la mort | 1Pensé infernale de la mort. Met en valeur la souffrance du personnage. Registre tragique et pathétique. Paradoxe, le coupable est devenu victime. | « reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau » | Antithèse temporel | Séparation des deux paragraphes | 2 paragraphes s’oppose« autrefois»« maintenant » | hyperbole | Le temps est très long | « il me

auteur invite à redéfinir l’ambition poétique. une problématique : elle explique pourquoi la question posée fait problème (facile s’il s’agit d’un paradoxe). Elle met en place les éléments nécessaires pour la réponse : il s’agit d’une première analyse synthétique. Exemple : La définition de la poésie par son sujet laisse le lecteur face à un paradoxe : la poésie serait-elle un exercice d’imagination ou une évocation de la réalité ? Pour dépasser cette apparente contradiction, l’auteur suggère de

dès que l’on aborde le sujet de la beauté. Qu’est-ce que la Beauté (féminine) aujourd’hui ? Il faut en effet rester ‘naturelle’, avoir le look ‘nature’…tout en utilisant dix produits de beauté au minimum…Nous nous trouvons donc sans cesse dans le paradoxe : il faut à la fois utiliser - que voulez-vous, il faut bien vendre - tous les produits de beauté, se maquiller, se pomponner, être jolie, mais…il faut aussi rester simple et naturelle. A vous la joie d’être en même temps sophistiquée et simple,

l’abondance d’antithèses (opposition apparence de vertu, réalité du vice) et de paradoxes à valeur de maxime : « l’hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertu » (67-69) NB : chiasme mettant en valeur l’inversion des valeurs ou “Combien […] ont la permission d’être les plus méchants hommes du monde”(87) NB : le superlatif « les plus méchants » à valeur hyperbolique accentue le paradoxe, l’inversion des valeurs morales + “on a beau..., ils ne laissent pas pour cela

locuteur | expressions du type : comme chacun sait, évidemment, marquant la distance prise par rapport à l’énoncé rapporté | Figures de style | - antiphrase- litote, hyperbole : l’atténuation ou l’exagération renforce la valeur critique du propos.- paradoxe, oxymore | Incohérence volontaire du discours | - énoncés ouvertement scandaleux ou absurdes- raisonnements illogiques- exagérations | 3. La complicité entre l’auteur et le destinataire * Le destinataire, pour apprécier l’ironie, doit

inévitablement à son public. Dès les premières lignes de l’extrait et dans le chapeau introducteur, nous apprenons que Gwynplaine a une particularité, « sa face riait » « etpourtant il ne riait pas » (l.2). Cette antithèse démontre la complexité du paradoxe dont les difformités physiques causées durant sa jeunesse, sont la cause. En effet Gwynplaine est contraint à rirecar « l’espèce de visage riait tout seul « (l.2-3) et le plus grand des supplices était la durés de cette difformité, en témoigne la

l’enfermement, il utilise, en ce sens, les termes « se lier » et « s’ensevelir pour toujours ». Pour lui, le mariage, « c’est se piquer d’un faux honneur d’être fidèle », la première rencontre ne donne pas l’exclusivité, ainsi il manie très bien le paradoxe et pousse même le raisonnement. D’autre part, il énonce ses théories comme des vérités, il englobe le « je » et le « nous » comme dans la phrase « lorsqu’on est maître une fois, il n’y a plus rien à dire, ni rien à souhaiter ». Il donne ainsi de

lois naturelles, et pouvoir rester honnête. Les réseaux lexicaux de la justice, de la douceur, du plaisir et de la nature sont en antithèse avec le vocabulaire belliqueux qui fait suite, « armes » (l.66), « oppose » (l.67), « vaincre » (l.67), ce paradoxe montre que l’exaltation de l’inconstance de l’auteur n’est que stratégie de sa part. Ce qui nous conduit à esprit de conquérant de Dom Juan. *** Le caractère baroque du personnage de Dom Juan se traduit également par son esprit de conquérant

comparaison entre les cannibales et les européens ● Antithèse (l. 29) : « à manger un homme vivant » / « le manger mort »  = souligne la barbarie des prétendus civilisés ● Énonciation (l. 26)  : « je ne suis pas fâché ») + l. 28 : « je pense » ● Paradoxe (l. 33) : « et qui pis est, sous prétexte de pitié et de religion » = cruauté, Montaigne donne son avis ; la religion doit apporter la paix mais ici ; guerre, massacre. ● Champ lex du massacre : « barbarie », « tortures », « suplices », « mort »