Paradoxe

raisonnement faux qui se sait faux et qui a pour but de tromper l’interlocuteur. DEMONSTRATION : raisonnement (relations logiques entre concepts), toujours abstraite et logique RAISONNEMENT : Discours cohérent, mais qui pourrait être faux PARADOXE : ‘’contre opinion’’, ce qui contredit l’opinion courante CRITIQUER : remettre en cause-rejeter/évaluer-circonscrire. DOUTER : être conscient de l’incertitude : faiblesse (manque de confiance : faiblesse de caractère, caractère vulnérable)

pour les autres. ● Attitude condescendante (L.12, 16, 21 et 28). ● Humiliation (Question rhétorique, vers 15). ● Moquerie sur les conditions de vie (L.15 et L.19). ● Fier de ne rien savoir (Vers 16 et 28). - Savant : ● Modeste. ● Sage. (Vers 31 → Paradoxe = preuve de son intelligence). 2. Le narrateur guide le choix. - Titre clair. - Jugements tout le long du récit : ● Condamnation du riche, question rhétorique (L.9-10), ● « Raison […] petite » (L.10-11), ● « remplis d’impertinence » (L.29),

  Pas de « je »  4 pages min. L’Introduction : Méthode DLACHAIT  ADLHECITA A : Accroche (citations, actualités, mise en valeur d’un paradoxe …) D : Définition des termes du sujet L : Limites – délimitation du sujet : Temporelle Spatiale Matérielle [ex : ne pas tuer  judiciaire, religieux, moral] Personnelle [ex : concerne une personne en particulier] H : Histoire C : Droit comparé – Comparer avec les autres pays I : Intérêt du sujet – En quoi est-il intéressant ? T : Théorie – ce que dit

culturelles. A la suite de cette réflexion, j’ai tout d’abord pensé a centré le thème de ma recherche sur la question suivante: La communication culturelle de Saint Etienne doit elle se nourrir de son passé? En effet, n’existe-t-il pas un paradoxe entre le désir de renouveler l’image et de manière plus ambitieuse, de métamorphoser l’identité de la ville Saint Etienne tout en essayant obligatoirement de le raccrocher à un passé chargé d’une représentation jugée « négative » pour la ville?

nous expliquerons la qualité exemplaire de cette tirade dans la tragédie. Phèdre est prisonnière d’un amour qu’elle estime contre-nature et qui la détruit. L’aveu qu’elle en fait dans ce passage à sa confidente Oenone est empreint de tous les paradoxes propres à l’amour passionnel qui témoignent du désordre amoureux. La manifestation est d’abord physiologique. Phèdre est victime physiquement de son amour et les signes sont évidents dès le premier vers : « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue »

d`Antigone dans le sens que nous sommes à nouveau tiraillés entre l`univers réel et l`univers théâtral. La signification de ce monologue n`est pas évidente au premier abord. En effet, Giraudoux utilise un langage précieux et remplit le discours de paradoxes étranges. Nous essaierons de decouvrir ce qui se cache derriere ces lignes. Dès les premières lignes, la tristesse du jardinier est évidente. Il aimait Electre et se lamente de l`avoir perdue. Il reste seul, impuissant car Oreste lui a bien fait

l’intérieur d’une phrase, d’un texte, d’un paragraphe. Le génie est grand dans les petites choses. Tu me haïssais plus, je ne t’aimais pas moins. Oxymore Il oppose deux mots de sens contraire dans une même expression. Un soleil noir. Un mort vivant. Paradoxe Enoncé qui contredit le sens commun pour surprendre, choquer inviter à la réflexion. Le pénible fardeau de n’avoir rien à faire. Les cordonniers sont les plus mal chaussés. Les figures qui rapprochent deux éléments (analogie) Comparaison Elle rapproche

déclarant qu’il y de l’intolérable, est-ce que nous ne sommes pas intolérant ? Mais si nous laissons toutes les opinions s’exprimer, celles qui défendent la mise en œuvre d’une société intolérante ne risquent-elles pas de l’emporter ? Ceci est le paradoxe de la tolérance pointé par K. Popper. Mais on peut se demandant aussi si toute opinion parce qu’elle est avant tout une conviction, n’est pas porteuse d’intolérance pour ce qui la met en cause. Enfin, du point de vue de quelqu’un qui posséderait

texte «  si j’avais à soutenir le droit que nous avions  de rendre les nègres esclaves ». Hormis l’emploi de la conjonction de condition « si », Montesquieu utilise l’antithèse entre les termes « droit » et « esclaves » pour mettre en valeur ce paradoxe absurde de la thèse qu’il défend faussement. De plus, cette fausse argumentation transparait également dans l’absence de connecteurs logiques dans ce texte mais aussi des arguments pour la plupart économiques qui, au lieu de prouver que cet esclavage

violence « fureur, féroce, haïr, égorgé, sang » + la récurrence des allitérations en « R » met en exergue la barbarie des européens. La question de rhétorique « Qui es-tu donc pour faire des esclaves ? » souligne l’absurdité de l’esclavage. Le paradoxe : « Tu n’es pas esclave tu souffrirais la mort plutôt que de l’être et tu veux nous asservir » indique toutes les contradictions du discours de l’Européen. Critique de la civilisation Le vieillard dénonce la civilisation européenne et