Paragraphe Argumente Régime Totalitaire

démarche suivie sera classique, et conforme à celle adoptée dans la plupart des ouvrages abordant la matière : on traitera succinctement dans une première partie de quelques généralités sur les libertés fondamentales, et dans une seconde partie du régime de certaines des principales libertés en France.             PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LES DROITS ET LIBERTES     Bien que le discours sur la liberté s'y réfère souvent en lui prêtant une essence, il nous semble qu'elle n'est que le

démarche suivie sera classique, et conforme à celle adoptée dans la plupart des ouvrages abordant la matière : on traitera succinctement dans une première partie de quelques généralités sur les libertés fondamentales, et dans une seconde partie du régime de certaines des principales libertés en France. PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LES LIBERTES Bien que le discours sur la liberté s'y réfère souvent en lui prêtant une essence, il nous semble qu'elle n'est que le produit d'une

juridique. Ainsi, l'adoption de notre Code civil a nécessité un renoncement parfois douloureux à de nombreuses spécificités, comme en témoigne par exemple les virulentes réactions des populations des pays de droit écrit lors de l'adoption d'un seul régime matrimonial légal, la communauté de meubles et acquêts, inspirée de la coutume de Paris Note 14. Mais si ce renoncement a été accepté malgré tout sans heurts majeurs c'est sans doute parce que, historiquement, géographiquement, sociologiquement

ce que seul le marché permet de réaliser – mais entre les groupes organisés. Le résultat de cette conception de la vie sociale est évidemment le corporatisme qui, étrangement, a conduit la France d'aujourd'hui à ressembler à la France de l'Ancien Régime. Cette ressemblance n'est d'ailleurs pas le fruit du hasard. Elle est seulement le résultat d'une conception de la vie sociale où la source de tout pouvoir réside non pas dans les individus, mais dans la sphère politique. De ce point de vue, il importe

Repères : absolu/relatif ; en fait/en droit ; contingent/nécessaire/possible ; légal/légitime ; objectif/subjectif ; obligation/contrainte ; universel/général/particulier/singulier. Nous avons mis en tête des parties de la leçon et de certains paragraphes des titres et des numéros, comme on le fait en général dans une leçon, dans le but de faciliter votre lecture en rendant plus manifeste la construction du devoir et l’ordre des idées (de leur exposition et de leur discussion). Nous les avons mis

ténacité et l’habileté de Haykal lui ont permis de déjouer la censure. En négociant avec Al Jazira, le journaliste a réussi à transposer son émission sur les canaux de la chaîne satellite, élargissant de ce fait son audience et la portée de ses arguments. Son premier show lui a permis de régler ses comptes, ce qui a fait grand bruit. Le journaliste a ainsi pu accroître sa notoriété et contrer la puissance de l’appareil étatique dans sa volonté de contrôler l’agenda politique et la sphère publique1

Révolution Française : avant c’est la contrainte et après la liberté. Elle n’est pas totalement fausse mais caricatural. Il n’y a pas une profession mais des métiers, dont chacun a sa règlementation. C’est la différence spécifique entre le droit d’ancien régime, et le nouveau droit. Unification des professions, dont chacune avait sa justice propre. Les métiers étaient appelés jurés, car ils disposaient de la jurande. C’est le corporatisme, fait que l’État reconnaisse une activité économique dont le nouvel

ainsi que disent les anglais) Bilan : « Un pessimisme ‘quiétiste’ qui, pratiquement, aboutit aux mêmes conclusions que l’optimisme Smithien, puisqu’il considère que le meilleur ordre (ou le moins mauvais) est celui qui s’établit de lui-même sous un régime de liberté. » Gonnard 158 Libéralisme « subi ». 10 Section 1.1. Le pasteur Malthus A. Biographie et bobliographie B. Le principe de population C. Les Principes d’économie politique (1820): Malthus II A. Biographie et bibliographie MALTHUS

autant; même si elle ne peut être considérée comme totalement étrangère à cet acte. De quel droit pourrais-je affirmer, par exemple, que les taliban d'Afghanistan n'ont rien à voir avec l'islam, que Pol Pot n'a rien à voir avec le marxisme, ni le régime de Pinochet avec le christianisme ? En tant qu'observateur, je suis bien obligé de constater qu'il s'agit, dans chacun de ces cas, d'une utilisation possible de la doctrine concernée, certes pas la seule, ni la plus répandue, mais qui ne peut être

demande. À quoi sert une citation ? Le but d’une citation est de renforcer l’impact d’un texte ou d’un propos. Ou encore de l’égayer. La citation renforce l’argumentation, elle lui apporte plus de crédibilité, elle apporte plus d’autorité aux arguments ; ou encore elle l’illustre par une formulation différente, ou par un exemple choisi. Elle peut servir aussi à introduire un texte ou une question à débattre. Cf. la notion anglaise ou américaine d’opening joke (la petite plaisanterie qui ouvre l’exposé