Parallélisme

On note : H  C , k  M M' Exemple : Soit M’ l’image de M par H  C , 2  Puisque CM’ = 2 CM, le point M est le milieu de [CM’]. 2. Propriétés. 1. L’homothétie conserve l’alignement, les milieux, les angles, l’orthogonalité et le parallélisme. 2. Les longueurs ne sont pas conservées. Par H  C ,3 A A' B B'  AB  I.S.F.E.C. or : AB  A' B ' . Donc [AB] et son image [A’B’] n’ont pas la même longueur.  A ' B ' Page 1 Homothétie de rapport positif

Propriété : somme des carrés des côtés est égal à l’hypothénuse si le triangle est rectangle Si le triangle ABC est inscrit dans un cercle de diamètre BC, alors ABC est rectangle en A. Symétrie axiale conserve : les distances, les angles, le parallélisme, l’alignement, et les aires. Deux angles opposés par le sommet sont de même mesure. Si deux droites sont parallèles alors deux angles alternes-internes sont de même mesure. Si deux droites sont parallèles, alors deux angles correspondants sont

figures d’insistance L’anaphore On répète un mot ou une expression en début de vers, de phrase, de membre de phrase ou de paragraphe. Rythme le texte, souligne un mot, met l’accent sur un idée pour exprimer une obsession, ou pour convaincre. Le parallélisme On utilise une construction syntaxique semblable pour deux énoncés. Met en évidence une similitude ou une opposition. Rythme la phrase. La gradation On fait se succéder des termes d’intensité croissante ou décroissante. Produit un effet de grossissement ;

crescendo "dans un mois, dans un an" afin de souligner la durée de leur séparation -le verbe souffrir -l'hyperbole "que tant de mers me séparent de vous?" -le parallélisme et l'antithèse: "que le jour recommence et que le jour finisse"pour signifier un temps inexorable -les négations mises en valeur par l'anaphore et le parallélisme: "sans que jamais...voir Titus?"(vers 14-15) -l'emploi du subjonctif qui met en doute une telle séparation et rend probable leur

d’herméneutisme) et chose du monde la plus commune (les poèmes appris par cœur à l’école).  Elle tient du sacré  :  Les prophètes bibliques parlent sous l’impulsion de Dieu dans une forme binaire, multipliant les parallélismes (modèle du langage poétique). Virgile a fait d’Orphée, fils d’Apollon et de Calliope, le premier et le modèle de tous les poètes avec sa cithare au pouvoir charmeur (épisode des sirènes ou de la descente aux Enfers). Les pouvoirs d’Orphée symbolisent

sont une gradation ascendante aux lignes 6 et 7, un champ lexical qui évoque la guerre éternelle. Deuxièmement, le texte B est intitulé « Paix » extrait du recueil Encyclopédie et est publié entre 1750 et 1772. L'auteur a crée dans ce texte un parallélisme. La première partie favorise la paix avec un champ lexical de la joie comme notamment « bonheur », « force », « favorise » et « il jouit de la paix » qui est hyperbole. Et dans une deuxième partie, l'auteur présente la guerre comme un mal incarné

et sa démarche à la fois ondoyante et élégante. Les mots à la rime des vers 2-3 — « majestueuse »/« fastueuse » — soulignent son rang social élevé et sa distinction. • Une femme ambiguë et ambivalente - V. 8: alexandrin régulier dont le parallélisme de construction souligne la dangerosité de la femme. La douceur n'apporte pas la sécurité ni le bonheur, mais une fascination qui marque l'infériorité du poète, sa dépendance maladive. L'antithèse entre « plaisir » et « tue » évoque le malheur

effets qui semblent s'opposer car : 'cheveux hérissés en furie' marque de la fureur, image vive et 'bouche flétrie' marque de la mollesse : comme si tout se mélange, comme une espèce de désordre = un des résultat de la vengeance divine effet de parallélisme avec les vers précédents (antithèse, champs lexical) -v 192 : résonne particulièrement dans l'esprit du lecteur. Sonne comme une maxime alexandrin avec l'hémistiche au centre + symétrie parfaite dans la construction de la phrase : place de 'peur'

: "Tel était Socrate. Car en jugeant son aspect et en l'estimant selon son apparence, vous n'en auriez pas donné une pelure l'oignon, tant il était laid et ridicule".La dénonciation du leurre du paraître par un jeu de synonymie souligné par un parallélisme de construction entre les gérondifs / « en jugeant » // « en l'estimant

« En vous est mon... » Gradation « De vous dépend... » Antithèse « Heureux , si vous voulez ... » Antithèse + Parallélisme Les figures de style utilisés par Tartuffe mettent en évidence certaines caractéristiques du langage de Tartuffe . Métaphore = Langange Galant , Hyperbole = Flatterie , Périphrase = Elmire au même niveau qu'une divinité , Gradation + Antithèse + Parallélisme = Marque la maîtrise du langage & de l'argumentation par Tartuffe à la fin du passage . 4]Synthèse Générale