Parallélisme

et nous pouvons appliquer les propriétés et théorèmes vu en géométrie plane.  Exemple :    Dans le plan (ABC) : (AB) // (CD)  (AB) et (BC) sont sécantes.  Dans le plan (ABG) : (AB) // (GH)  (AB) et (BG) sont sécantes.  Transitivité du parallélisme : Si deux droites sont parallèles à une même troisième droite, alors elles sont parallèles entre elles. 2. Droites non-coplanaires Définition : Deux droites sont dites non-coplanaires lorsqu’elles ne sont pas contenues dans un même plan.

compte. Chacun sait ce dont il a besoin. - opposition entre « accommodant » et « habile » (v.28). - discours sur la nécessité concrète et l’instinct de survie - (v.28) : morale : répétition de « les plus »  qui forment deux hémistiches. « a » parallélisme qui montre le contrsaste. B) Jugement du narrateur - « Mais » (v.7,8,22) - « bien moins » (v.23) : les quantités étaient donc très basses. - (v.9) « il cru » : donc le héron se trompe. - « trop » (v.29) - rime « plaise » et « aise » : ironie

mais les mots répétés sont séparés dans la phrase ou dans le texte | « La terre était grise, le blé était gris, le ciel était gris » | PARALLELISME | Consiste à reprendre la même construction de phrase (syntaxique) ou le même rythme en deux endroits d’un énoncé | « J’ai tendresse pour toi, j’ai passion pour elle » | CHIASME | Parallélisme qui dispose ses termes de manière croisée, selon le schéma AB/BA | « Ce n’est pas l’Etat qui appartient au Prince, c’est le Prince qui appartient

certaine relation entre le cerveau et la conscience. Bergson, L'énergie spirituelle (1919) Bergson a un raisonnement fin et précis, ceci grâce à l'expérience. Dans sa thèse il fait une distinction entre l'âme et le corps. Une dualité et un parallélisme existent entre l'esprit et le corps. Dans ce texte Bergson commence par nous exposer sa thèse: il y a solidarité entre l'âme et le corps, mais il n'y a rien de plus, il réfute l'existence de tout autre lien. Puis Bergson apporte un argument illustré

cet H. cherche un bonheur qui fuit devant lui car il a une représentat° trompeuse de lui-même. L’H. est indécis, il ne peut trouver le bonheur mais ne veut ni quitter cette existence, ni renaitre, cette absence de décision est illustrée par le parallèlisme: « Nul…Nul/Tout…Tout » Ds cette quête le plaisir nous soulage :antithèse plaisir/douleur : « par la main du plaisir nous essuyons nos pleurs » mais V montre qu’il est vain « mais le plaisir s’envole, et passe comme une ombre » Le poids de ce malheur

penser à elle. De plus, nous pouvons relever un champ lexical de l’amour très présent « mon cœur », « embrasse », « soupirs », « hymen ». Le spectateur se rend compte que Pyrrhus éprouve de forts sentiments amoureux envers Andromaque. Enfin, le parallélisme « si je meurs, je vous perds ; mais je meurs si j’attends » impose la nécessité de la présence de sa prisonnière à ses côtés. On peut donc dire que Pyrrhus est soumis aux lois de l’amour. Nous venons de voir que cet extrait dégageait deux personnalités

le danger de ces meules pour les enfants Proposition relative « qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre » = renforce la terreur qu’impose cette machine Allégorie «  dans l’ombre » = fait penser aux ténèbres V.9 : Parallélisme entre les 2 hémistiches adjectif + complément circonstancielle de lieux « innocents dans un… »// « anges dans un… » Métaphore hyperbolique « bagne » = image d’une prison infernale et qui devient « enfer » Antithèse

fils et rend visible, à travers l'évocation de son besoin de domination, son évolution vers la tyrannie. Parallélisme des deux hémistiches + antithèse qu'ainsi il renforce entre les deux infinitifs aimer et craindre accentuent l'opposition éloquente entre l'idée d'un pouvoir qui garantit l'honneur de celui qui l'exerce et celle d'une autorité haïssable et monstrueuse. Ø      Ce parallélisme souligne également l'introduction du verbe de volonté : il veut, dont le mode et le temps  indicatif présent

animé en utilisant des verbes d'action et la métaphore de "gîte" pour désigner la tombe: "s'en allait tristement s'emparer de son dernier gîte". Il établit un parallélisme entre les deux personnages avec deux vers qui se font écho: "tristement/gaiement", "s'emparer/enterrer", "gîte/vite". Malgré les antithèses, il s'agit d'un parallélisme: peut-être cela annonce-t-il implicitement la mort du curé. L'expression "notre défunt" exprime de la sympathie pour le mort, dont le fabuliste fait une présentation

plusieurs termes d’intensité croissante. Je me meurs, je suis mort, je suis enterré. (Molière) HYPERBOLE Exagération de l’expression (d’une idée, d’un sentiment, d’une situation). Dans des ruisseaux de sang Troie ardente plongée. (Racine) PARALLELISME Reprise d’une même construction pour souligner une similitude ou une opposition. Rodrigue, qui l’eût cru ? / Chimène, qui l’eût dit ? (Corneille) LES FIGURES DE SUBSTITUTION NOM DEFINITION EXEMPLE EUPHEMISME Consiste à remplacer un